■^gitudinal côloré'comme'les bandes du corps. La caüdale est bleue,
b.ordçe de .vert.dans son 43rdi§s^tj^t;:de»jaunâtrepbriqu.eté swr ses
0 deux bords- Les1 pectorales étales sont;-pâles.. |g
' * D. 8/lS^} Ai etc/
M. Rùppel en a observé des individus de onze pouces
sur le marché de Dj edda f au moisjd’Août.
- M. Botta en a envoyé de -ce port un individu long de
quatorze pouces, et M. Lefebvre en a rapporté, de Suez.
. L à Æiiæi.ÈR^PiiQ..
( Ju lis quadricolor j Lesson. ) :
Cest encore ùné espèèè^rëà‘-V'bisine déiP precedentes;
si même file, en est distincte j que, lalgipelle figurée ;par
M, Lesson sur la planche'35 dés poissons , dans 1 atlas du
Voyagé de la Coquille.
Celle-ci a le dos . d’un beau rpuge de carmin* qui ’colore aussi
l’Échiquier parlés bandes lon^tùditoaiés et vérdcales des flancs. La
tache ' au-devant; de Éfigjpj celle.' bifide' sur l’onereule*, *l£ bandçletle
<Je la poitrine,,une autre sur le frdnt entre les deux yeux, -sont de
la meme teinte rouge: Lédessnsde la tête, l’pperculeyÿÿiïrtçrvalle
entre les ligne^aront verts;; le dessous de là gér^eët le ventre bleus.
La dorsale e s t^ ^ e , de rtrn^i ;dans le milieu. L’a i l e q,st bleue
avec une bande près deëa base de la; même couleur que celle de la
dorsale. La caudale ,a les rayons verts terminés, par; du jaune; la
membrane qui les réunit est rouge. Les pectorales et les ventrales
sont bleues.
D. 8/13 î A. 3/11'.
M^ ésson a pfi£ cStë'esi>ëé| ù Otàïti / 6ù les naturels
la lui Qnt ’désignée soùs le nom de pao. Sa chair èst
délicate : on la mange crue, ainsi que le font les habitans
de la rade de Matawài pour le? autres poissons. Les mêmes
vop^purs ont retrouvé cette gifelle à l’ile de Bolabola,
où elle est commune parmi les* rééifs madréporiques.
Je «crois encore qu’il faut rapporter à cette ' espèce le
scàrus Georgiî, figuré'au n.° 4 2 des Poissons de Geilan.
M. W. Bennett dît que son nom cingalais est lena-girawah,
ou stjuitell patrçty perroquet de mer écureuil, parce
qu’il est rayé comme l’écureuil: de Geilan.
L a Girelle; cyanqgJItïie. ’
m (L ilis cyanogaster, nob. ; Labrm cfanogçster, Sol, fL
Il me semble quih faut aussi distinguer le làbrus çra-
nogaster de.Sfolander, quoique bien voisin de cç J. qua-
dricolor.
D’après la^éqpie du dessin que nous avons',sous les
yeux,.:grâ(?e;à ,1a complaisance que; madame Lée a eue
de, nous l’envoyer, nous lui trouvons ..
la"fornife semblable à la- précédente, mais'les-couléurs encore autrement
distribuées. Le dos est brun;'l.a tête et Jes flancs sont peints
longitudinalement « en tra^irs de lignes rouges; le ventrp es’t.vert.
Là dtjfsàlé, Ÿoùge, a la base'éertei et sa portion molle, ainsi que
l’analef est ràyéi: dë vért, puis dé rouge, et' bordée de blêm Les
nageoires paires sont jaunis. La caudale est "bruneabordée de
■ verdâtre; » " - -
Ge poisson venait d'Otaïti comme leprécédent, et il
porte dans le manuscrit les noms indiens de paa-hu ou
de paa-maa-utha. Sur le dessin de Forster, que l’on peut
consulter dans la bibliothèque de Banks, aujourd’hui au
British muséum, le poisson est nommé làbrus vittatus.