-, X^s écailles sont mince«; comme^ëmBranettSîpl’ leur bcfïdïïOn
ne voit à k loupe.que des «tries .très-fines, unpeui>p#uleuses et
parallèles au bord? La .portion radicale est un carré;lopg-, sillonné
par vingt .à vingt-deux stries rayonnantes» qi^icdiftposënfellévfintail,
dont les extrémités entaillent et festonnent, le bord radical. On
^compte quarante-cinq rangées; çiftrç l’ouïe et la eauMe.^ | O.'- §
La ligne latérale, tirée- parallèlement au-.dos par le quart de la
Hauteur, est composée-d’une série'de petits tubes obliques de.tbas
1 en, haut, 'et séparés les uns des autres. Les écailles-sur lesquelles
1 peht ^uivra le tracé de cette ligne, sont un peu plus »petites
que pelles'qui j&wrent le4ronfe- I.
■ Quant aux f l e u r s ». mqus regardons ïcojdmê caracl§â^u<|ida,
cette première espèce la,teinte uniforme des-nagfsok.es, qui-, ^ ÿ 'è s
le dessin que M. Laurillard a ‘k it à N i^ u » qu’il a eu la bdfté de
nous-»donner, sont d’un ver# clair plus pâle que. le ^ d p s ^ ï^ n s
aucunes taches-ni ocelles. L’anale est môins>fen^e»qu^'k dorsale;
\ 1 S-'caudale a une teinte plus,jaune,la peotoralf?esfe.bordée'de^u-
geâtré , et les^ventrales tirent tout-à-£ait au-jaunatçe^Qgs-n^eoires
deviennent blanchâtres, plus ou^oina_pâIes*sur nos individus èonservés
dans l’-alcool. - ^ \ "
La couleur du corps paraît très=sujette a,.varier ; mais-noqe, la
trouvons toujçgurs verdâtre sur /le-.-dos ,<plus ou ^xnO.ios^-lavée dg
jaune,, é tir a n t plus au jaune sur l’abdomen.; la g^ge^et-les parties
antérieures étant« argentées et tachetées de blanc, -nacré. yLpë-darge
bandelette, va. de d ’oeil; à la caudale par le, traverkde$ | g | | | | èllk
est le plus souvent argentée. Noik,voyons^que%ans Ja lcqueur les
tei^es ventes se .changent ën>brun ,rougeâtre»v et**qüe .lës4fâèh©s ■ se
relèvent par lèur brillant argenté.
Nous en avonüde tels, q u i f ffrént d’aiUëursides v^iatilfes iaps
Jës nombres de leurs rayons,-que nous- ne devons pas négligence
^ .citer.
' Ainsi il en est venu de Marseille, de Nb?e, de J^aples,
qui ont a la dcfïsale
d. is/ià-^ètc.
. -Ndns >jioiïs4 omines;pr#luf é suidés nlarchés de Marseille
et de Tiglon dès1 individus qui. ont
; ' 11): l«/42 /Wc. ’
tGjeux rapportés oie PaJ.erme par M. Constant Prévost,
donnent
1$11. «
r que r^n^dôit à .M. iLaurillard , a,
D. 1 ^ ® «F
* ■ Srur. ^aiTtÿ^j individus non- seulement les tech§%»iinai^|la l^n-
dele^e^^roit prifiùn brilknt. nacré* qui f~dpnpe up
,,*®nen8fquej;ongérait tènté.deles Vegârdejr-G^ip^^^.autre-
esjreçeSff Kon.ne voyait pes nuàrid&sbien établiesj'éntre la plus ou
moins papàut^Conserya'tion Æ lâvbapcfe. Ils varient dé'-même' par
les;nombres de leurs rayons,
e^cm's' co.pservôns de ces individus a'bandg, arg#ntee des
localités suivantes" : Marseille^ To’uloûj Ntplgs,- Me|sii?e et
Il tous paraît que nous dëf bns râppojtëÿ â cette variété
le turdns viridis .major de Willughby\( p-, ^20 car
il dit positivement que les riagjmrdfe d^i ventre1 sëraes'stvaieht
defltoxdîe^'Mjju^ :'ëfest donc
leï Onzième labffe-d^Artedil, ef par conséquent .lèxJabr;iis
Uirdus de Linné. C’estjàyep p lu s s e do lie qiïç nous.y
rapportonsiles.variçtéssde. ,t*ourd de Rondel^Jg J^uSjjcjpyqns
cependant que'celui qu’il a sbus le njom de eæocoetus
(fc VJ, p. ïqS^cbap: k'5) l ë ’représente-assezd>ien.o]Ntbus: y
adjoindrons, maîs^avqb plus d’Imsitation^iin' cinquième
t’aurd (p. 176)’, pjuiV s on, iïe!uviëmé*% P > k f 8), et'enfifi son
t. Artedi, Syn. ; p.,5y.
i3. ' ' - ■ fc. W W 7