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beaucoup hésité à pfe m^teponsidésèr-tcomnie étant de la
même espèce que l*e'precedent. Jé vOiS’^bpe nd anÆ que
M. Nilssôn* lel‘¥^rdè^fe6ôimê ÆstiticF e® jpriMe raftfé
parmif^S îsçténilalirjss- Je le; trouve-aussi mentionné dfens
leCatalogue dès > .poissons, Idu Danemarck. de ...&,•-A. R. le
prince Christian. Il a-sOin dé- dira«que-c’est une.; espèce
à Fpar^, mais* FaS^. s j y i r q u i uçéthpne d’est\
de la t ^ i e l t é e par un. observateur aufsi-iexACt^-cenime .
un labre, tandis que M. Nilsson en-fait ira crénilabr'erMüller
la-compte a u s s i p a rm i le s p o i s s on s d d S f o ïï f-âufta danicé." ,,
J ê f c fd fe ', a u s s i , ’q u e r f ê ^ t i r ù j ^ i ^ s u h d e À è t f è ^ l ^ ÿ e d o n t
M . J è n y h s ^ a .'fa it' S o n ' labru&tinça j e n e f f e t , i l le d é c r i t
^rouget £t ^ u ?f9i^§ë^gÿ:le,-dos^u?ides.su% de la ligneJatémle^- plus
" p â le au-dgi so u s, eç tacheté de rouge sur }& ventre et sur la.poitrine.
- i a n n ^ p ie ^ tje s opercules vBrtsj aveG 4®s ovulations, rouges-, ^ tp t
IL ne parle pas de tachée defrî^é* Pçeilj et'les- notftbies
sont tont-^-faüfsS#mêMé^*^
Si ma cofîjècture e^^ramfoe ppîssun sefait très-commun
sut certaines cêtes d’Angleterre,, sur pç^fonds jjfpaaeu x ,
frayant en Avril, qt. ge p.ourrissa,nt priacipaj-eiperyt qLq/Srus-
tacés*.
;, Je. dois cependant faire,,reiqarquer que M. Jenyns cite
parmi $es .syponyiMes ^e gilt head de M,. Yarell, qui a une
taclpe,derrièreJfeil,-et que nous ayena cru être, par^qette
raison, de notrê^jpècë d u .crenilàbrus meIops.,X}ojocimp
M. Jenyus d it que spip gplgsop^est ,uq,j^SppJ^JÇQmm^®
dfe/|a; fâppll9- des,Jabroïde&y.AetçeLrem^quf ,, Jpint|t. atjpa
çitatip.n;rm£ ^aislerqMelQtiêSjdçqtes.M.,Xépypf; ^qçjEqt-il
--i. 'HasMnrjr~Pymâ."îzhth. &ƒ.
yert. a n r , w&MfâjÊ-.f S
CH A P. IlJj g R ÉNIL AB R E S. m
oublié la tache de l’oeil ? En tous. Cas, la synonymie fest
en-JeGhé|^descerréUt$ qtië ’uotM1 kvdhs u ejlvsignalées; car ce
poisson1 nR pfflftgaii^y^ie-n aucune feeçn le lahrus tinca de
Einnëjîai de Willuehby.
u 'Xe^ÉR4^ir7Akfeffe'fîè0ëli#i;î' «
£ Çrënilübrus-gdbqus^nob.; Çribbus wra$se, Penn,)
ETest sur la foi- de. Penhant que les naturalistes parlent
de »cëttè espèce, q u h a1 ^
le j&^psu pins eourt et plus .haBt-.-que.':ferf|M^pédent..If hauteur
. étant, 'd’après la figure du zof^gAte anglaisée la moidéi%la lpb-
i(fcgueu%du tronc-. -
6 D, 1&/9 y ; JE^ 13^ V. 1/5.
Suivant Pennant, le corps est élégamment tanheté et rayé de bleu
et dorsale eilkaiaie a'ep-t ,de Tarer jasfe&é d ^ ’^picples
-ventralès et lacaudale,de mênasd couleur,, n’oni pas d.e‘tachès%les
pectorales Sont rayiss de rouge à la base.
L’individu çjait long de huit poucç^ il avait été pris sur
lat.cpte d’Anglespa^-.y
On voit que ce poisson tient beaucoup du précédent :
il n’en est peut-çtre mênçte qu’une rareté« Y68 ichthyol°-
gistes eu. ont» tous parlé d’après .l’auteur de British fauna.
Omelin en faitson làbrus gibbus, que Lacépèd.e a? adopté?
, M.v Yfttéll a reproduit la figure et la description de s^n pré-
q,éce§§CTar* L’esp^ACt^.si .c’e^ .^ 'iw e.3! doif être rarej_,car on
ne l’a p ^ e^çqr^ riCtr.Quyée depuis la publication du British
fauna.