. Il le mjflseQte trois fois aussi losftgs^Tae laree^oppritné; à
* mâchoires légales bouche étroite, peu feüduqj.à délits régulières. ^
Les nombres de. l ’analfigSOsnt eBoespe uu>pcu diffépens.^gg
i ® .4 6 / S - ^ 3 / 9 ^ f e d 4 j V . 1 4 -;i-V v 4 /5 ^
L^coTileur_de la*oetq.-ët du'lfo8;eâtt||dhè ; le s .$oté^r f ^ t i f u i^
verlWïidrè ave©: de nDibbreUse& baua^.^ougef et brillantes^ les"
* o p ^ n le s s%nt rayés de rouge eTOejvm; uneWchè noire est marquée
de c h a q u e _côt& de la quétiè. ^aTs^autèur* n e ‘parle ms de"
tache noire derrière l’oeil » et je n’en v « s pas nôn plus :sur 4a Ogure.
Ge n’est dontepas îe erënilabre mélopc; ee n’e&t pas non j
plus le-’êrêmlabre norwégien : Fespèeé1 sè- rapprèche^plus-
du erënilabre bossu; maïs les proportions et les rïo-mbrès
diffèrent. En tous da¥^è né petiselpas comme M-. Ya^ l,;-rit
je rie erok, pas qu’il faille réunir te poisson ksonMubrys
goldsinny. Si les; individus qui lui ont été5 enivOyës par
M. Gouch le confirment dans cette opinion, il fauCavdüer
que là* description de cet .auteur Yt .sa ngurersOnt bieri
incomplètes.
M. Gouch a trouv^cet^pspèc| gÉùg la cote d^Cc^n^al]^
Le, Crénîlabre de D oîîovXn^ ’
(Crenilabrus Donovani^ n oh ; Lahnÿsçorfmbius, ÜonOTamTY
Donovan Ysu aua&i- un erënilabre confondu-par lui, soius
le nom de labrus cornubius, avëc lïp goldsinny de ÎR'aÿ ou
de Jago,et qu’il représente "
d’un yert plus ou moins dore ou rougeâtre sur le dos, traversé par
six bandes verticales'bruues, -dont-trois remontent, sur ht dorsalé,
qu elles laissent de grosses touches.. Les côtés et le, ventre aevieiifieni
jaune verdâtre, plus ôu moins argSatés, et sont rayés longitudinale-
J. Tionov&ny Nat.< fttM of, Brifo jfrh. y yc>\. IH, pl. XXXII.
ment de verdâtre «ou d e Meu- : on voit une tache noire de chaque
, eôté^He la queue, et une bande bleu foncé à la base de la caudale.
La p egtorale^sur ^insertion des rajjgns un arc bleu bordé d’o-
■- 4’angërÎLa na ™ire du dos est.verte et couverte de petits traits bleus
’ sur la membrane entre^hague rayon épineux-: sur la portion molle
ce, son|*des traits. La camdale est arrondie et jaunâtre au ïnilieu,
plus -verte au bord ou pointfflée de citrori/vjerdâtre sur Pânale,
dont le fcmdjest "gris verdâtre; il yfi a (feux^rèsseS taches^ghlonguèlf'
b îln e s, et’lé rèste' est pointillé de.verdâtre. Il n y a point de rayures
sur la “joue ^e r Donovan ne parle pas de tache derrière l’oeil.
,M. Yaj’ell a dopné une seconde figure, non moips jolie,
d e ^ g ritit crénilabre, carions ses caracjpjrçs^cpnyj^nnent
' parfa^merit au goldsinny dé Donovan; je luixvois* cepeu-
oanFunp tache noÿÈq derrière r -,
y oici.l^ nombres tels que M./Yarell ïe^« compte :
■ D. 16y8j A.; 3/Uri; C. 14^ P. 14; Y . l/§s. ,
MM. Donovan et Gôuchindiquent leurs poissons comme
étant rares sur les côtes d’Angleterre. Selon M. Yarell, celui-
ci%erait plus faéîle kJs'è procurer; car il en a plusieurs individus
depuis un pouce etfôfemi, jusqu’à, quatre pouces
de longueur. ,
Comme il n’y a point de rayures sur les joues> je ne
puis le croire de la môme espèce que le Corkwing de
M. Go ri ch.
Je ne le crois pas le goldsinny de Pennant, qui a des
rayures §ur la joue, et pas de taçhes aux^côtë^de la queue,
Ç’est^encore moins le labrus cornubius de Risso.
M. Audouin a rapporté de Granville de très-petits in-
dividuslfle cette espèce ;dls «n’ont que deux pouces à deux
pouces et demi. On voit encore les taches de la dorsele
et de l’anale.