CH A P. IX. CBEILtONS. 2S5
L’individu a'^tei?e p&adesr delloiigj il été donné à
M. Dussfânier par les pecheurs%ous le nom de tassard
m a r r o n ! f e nom.. de tassard est? généralement, appliqué
dans nDs^idonies aux poisson^:! à,?.dents tranchantes et
particulièrement à; nos. cÿrb iums. Il est assez curieux de
Voip- que les-‘pêcheuf s on# déjà fait Kcé*' râpport. -
..} , Queilion., brunv , . ,
{€^pUioJks^aSu C oW ^ ‘r ^ ^ f r , tiJV, g|É|gffi||£s H
H La'dès'Cr^JtiOn du second'ISierlion dé CommerSon me
parait ettcdroMifférer dé- ces "dieux espècéfe
La forçxe du corps est" tout^a-faif semHabïe'à ,'cë‘lle ouf cheilion
dme.ij
. • d. V :
. ;CorumecsorL dit que la» couleur n’offre p én r.,,de reroaæquable;
qu.’elle.fst br,urie ou plombée, devenant plus pâlp sur les eûtes ©t
blanchissait sq.us le ventre. dorsale est lanugineuse, variée de
1 taçhei.'^enehgs^ f et j l^nliculairçs. Les .laA e sf^e l’anale sont plus
nombPeu&gs eÿ y deviennent opnuxiantgs’.. La caudale est d’un brun
vefdatrë , el, les, ventrales sont blanches i *lespec£6rales ont une
tein’te brune tre^éfàire'.
fa, Cjomroerson a observé .ce qqhispn dans les barques-des
pécheurs de l’Isle-de-Franceau mbas , d’Octobïe i 769 ;
il était, long de, dix pouces-et demi.
n Le Ctieilion âé F orskal. -
'(Cheilio F b rskalii, nob.; L abrus ïriermisj Forsk.)
iUn\ autre cheilion* »connu aussi à peu près à la même
époque où. Gommerspn observait les siens* à l’Isle-de-
Fiancel,. e&L celui. dont ForskaLa laissé une description,
qui a été publiée sous le nom de la b r u s in e rm i s . Voici