Cettë espéëë àttéirit 'SWBff pôïtcél. ;3b crois qü.’élll*ést
distincte de la precedente malgré ses affinités* surtout à-
Câiisf^e, la raîqppïi;ede la dorsalç.
Je Regarde çqmme identique la girelle si élégamment
figuréfe par M. Bennett dans les poissons de Ceilan (n.°i a ),
mais je ne puis dixe sous quel nom, palce que la feuille
de texte manque à mon exemplaire. Ihà peint plus vivement
la bande latérale rougef- la ràï‘e^|de la dorsale ^st
vert foncé* et s©n Fond estr jaune.
C’est encoreA^|elie, .que. je yappprjela ligure que MM.
Kuhl et Yan-Hasselt ont envoyée de Java soqs le nom de
julis prostigniaj è t qui ont^emt les fàîes vetticalea#io^
lettes, la bande longitudinale pourpre* et la dorsale verte,
à raie lilas et à hortere-jaune.
C’est aussi près de cette espèce quo je placede labrm
pulcherrifhus de Forsteë, qu’il a dessiné à Otaïti^ et*d.©nt
j’aLyu la ngüre<dâns la bibliothèque de Bank^Sur uniond
vêrt, il' avait de§ bandes noires' terminées, de jaune 5 unù
bande longitudinale rose j là tèp, verte, rayée de lilas; la
c|udalqÿyjpte^ Imrdélp du Wfjjjjfa
Jg la retrouvé austó dans Benard (fol. a8j m0.i5S |^oua;
le■ nom-dé' pheasant.-Si le poisson n’était pas de la même
espèce, il en était du moins très-voisin; en effet l’original
de Ÿlarnmg nous le présente vert^vàrië dé bleu, de jaune"
ët dé noir; deux raies rougessur la jdu#'^^ë'$'âM^1raûge;'
leldng des cqfés de la quèuê ; six demi-bandes noires sur
le dolf la rdorsale rjtyéè* les autres nageoires jaunes * la
égmjâlebordée derpuge.
L a G l RELUE XRIMAe^ LEE., •
j i Èriimmidàlw i Q .)
■fiÇS?WturalisIqj.de. l’expéditiOn d e çe, c élèbre n av ig a teu r
p i «affronte a u jo u rd ’h u i les glaqçs d u 'p ô l e austral,, o n t
■apporté d e Varxikoro u n e gfrelle
à -nuque bombée,» à caudale tronquée. La plus grande hauteuf dépas
s e^un pe,mle quart de la longueur tàtsSe!, Les dentsdfafitoyennes
sont saillantes : celles ‘de- l’angle sont doubles , la ppsténBiçe* étant
la plus petite, Les, éeaillesesont -^eiz grandes,%nement,&tMées .- la
portion radicale l’est‘entièrement. J^,en compte vingt-quatre sur la
longueur, et huit au-dessous et deux-au-dessus de la ligne latérale,
qui, n’est pas rameusef
IX, 9/ÏiV a. 3/11, etc.
hß dos a conservé 4es teintes, violettes susr un fond rougeâtre ; le
ventre * argenté , n est, yerdâtre ;:la. nqqpe e^t(. ip^ e ja e, de
' points, bleus * et chaque écaille, du dos, et ^ s fla n ç s a un trait bleu
vertical. Au milieu de ht longueur du Ironçoàaçie, la queue, etau-
d^ssqs,, ded ^ig p e latérale est une granda tache noire. La-tèta^yio-
^ le tte ^ des tachès bleu ciles^ sur, la tqmp^ e t j’qperoule!; une gragde
taclie de qefte teinte, covwre le squs-orbitaire et une autre l’inter-
opfereide.,1# dorsale, décolorée, aoncorfsdes. traces, dte points ronds
disposés en séries entre chaque rayon, une raie, longitudinale àu-
dessus et un fin liséré le long des rayons? içous. -
La caudale a une teinté unifarpäe. jaunâtre j.,i’anal& a sur la base
;une bandelette hlanoh&ijet au^essua une;autre hleuâtrey lissée de
plus foncé; une petite tache est à l’angle de l'aisselle. La ventrale
est prolongée en filet.
Le poisson fraisa, suivantM. Quoy,.le dos ,vert,le yentreargenté,
les taqlies dés joues ët dîi dös d’ùn beau rouge vermillon $da portion
épineü^êde la dorsale Verte, l’autre partie bleuâtre; lës rayures de
la dorsale:sont rouges> la caudale, jaunâtre, est bordée d’une teinte
légère: de carmin* l’anale-, bleuâtre, a une bordure rose, une, raie