On doit s'étoimorqü’on'âÆt4&^ un poisson
eomjitjin dans la-Méditerranée et dans Fôcéàn, bien
plus facile' à reconnaître et â!! caractériser que la'vieille
ordinaire; car là. distribution (X^éV coulëurs^ ne change
ppipt>.0,-
I Nous en ayons? examiné une>5yingtaine d'individus*,
dont nous avons acheté .nous-,mêmes quelques,-uns "sur
nos marchés de Paris; les autres;,pnt apportés au
6toinét du Roi*;l‘de Brest ^ t^M f ’GarnOt; de;Lorientypfar
Mad.eBucrest de Ÿilieirëuy'e; de"Norvéé|è, parM'. Bâillon;
de Marseille, par M. Cuvrer; de Nice, pi# MMi’Riss'd'et
Hiàurillard; dé 'Gjenes,x de 3^IpI<ss,
IVjtessinppary^.Bibron; d ^ ^ p rsd , ^a^M.'Payraüûeau
et.dlv^ggg pjar.-feu de tarqç||g.,4
I <3e 'labre, a le corps plus*alongé que la vieil]®'; sa hauteur » ’est
contenue que»quatre fols e t ’deux',tiers dans la longueur to^ile. .La
tête est plus longue; elle fait leaders de' laflongueur^du; ponps, la
- caudale,non. comprise. Le mùseau.est plus ?aîgn;< Koejl: est un -peu
plus grand; son diamètre fait le iêjnquième delallkrgeur de là tète;
la distance’ du bout du museau au bord antérieur *.âer- l’orbite est
• double de la longueur du diamètre. Lefpremier 'stàns^-ojbitaire- est
: petit, triangulaire et enveloppépar une peau épaisse,, dont le bord
se prolonge en avant.et augmente l’étendue de laéfupfjace.nôn écaif|
leuse, cornprise entre l’oeil et la lèyre supérieure. La joue, est beau-
îRmpmoms haute- que dans-la vieille. Le bord montant^du préoper-
cüle est -lisse etVérticaL; le bord inférieur est légèrement ©Bliqûéfæt
.descend de l’angle,ver#|e 'bâs dejla brancheihorizQigÉale dè la
■mâchoire inférieure.. Le limbe escetroitf; i l n’y a sur la jouftkjim-
des&ous ou derrière l’oeil,rdiiè sept â büSÈferânge'es^d’écailles, beaucoup
plus petites que celles de la vieille. L ’ojSerculé et le sous-
opercule, sont petites éeailles, un
peu plus; larges que celles.dû préoperculeyil y e h a sur Pinter-
operculé un plus grand nombre que dans la vieille : toutes sont