le soin de remplir aüssîtntqü’il âurâ ToCCâsibn de publier
quelque notice Scientifique‘Sur'<5é îàbrÔfdfe.,J**'
L’espècè n’est pas "confine^ autour ’'de l’Islë-de-France :
MM/ Qnèy et Gaimard én ont observé au hâvre Dotey
de là !P?ÔüyélI%-C5uiueejinè vàrrêtlf, qui â Stiffelè miRèu
du d os une tache jaunâtre.
Nous la sïgnalons à*;èkuSe d e la p é th e différeïÆé deS
éOAlèürs'quë Ces Uâtüralisteê Oit indiquée^ 'Cè-|)0isson ,
d û t ils Ont* dfifiïï^ ® e ' Ht), figcfté d p ë t
une" d e s c r ip tio n to i n ^ III, pâgë .^ôl , .de -la Relation
du yoyage.d^é-rAstrëlabe, en le i êgârçtânt- èomme le labre
large raie de .t^cépèae, est peint de couleur pieu.d’azur
sur le; et sur le* ventre j Cette teinte aurait aurda tête
dea irèfiets de carmin, qui ne sont pas exprimés. sur< la
planche; la bandelette longitudinale-est noire, lanalë ,a
le bord jaUntWë^/Siàr de" dos il y a une tâche oblongue
jaunâtre-, raÿé'ê dé-" trois traits, bruns*longitudinaux. *Le
nom d ë e e tte èspèéfff ali port Dorëy i ’ëàt £iûotono¥ar.
- Rsetr pu ttitifie^ sur le poumon *%bd identité avecè celui
de l;ïsle^de^France. Je ne dèale pas qtfîl soit de la mênîë
espèce, malgré-là phrasé un ‘petfobSeuïëitf édigée par les
naturalistes qui en ont- fait la diagnose.
NB. Je netparle py VAspidonte qae M. a fig^îre^ pl.- ig ,à g .‘4>
dans la; Zoologie de l’Astrolôbé ,J>ârce que j’ai recoftlm en faisant ce travail .qüe
ce petit ,poûsonj, qui n’a que trç>is /ayons âqxven traies et les ouïes nuvertes. par
une: fente' linéaireet. verticalej istdç.'1?'famille des blennies, .et voisin de nos
Blen^Èchis. Trompé;alpfk paï la resSeoeMancè'dès couleurs, j’avais pensé qu’il avait
des affinités avec notre malacanthe dé la mer des Indes.
CHAPITRE IX.
. I)ès-Cbeiîions.
■ Cotnmersonj en observ-aùti avec tant dé soins les poissons
dé TI^^dëd^anGéy y^vit une ou déni espèp^ voisines
l’unes dfe* l’autre , .ayant beaucoup d affinité avec les labres,
mais s’en distinguant^ suivant la méthode linnéehne, par
lafcsônce^de prolo'ngemensîvfcutanéà^urrorfsides .rayons
épinfeux d ^ Ia Sorsale. ïls pfîraiéttt : d ailleurs un autre
caractère, dans la ^atureimolM do tons ceux qui sont
Simple^ à la nâgëoire. Cét habile naturaliste consigna ‘ces
observations dans son journal, et donna provisoirement à
cesnpoissons le nom générique de çheiUpn, le faisant dé-*
river du grec %ëi?ws (lèvre), pour rappelé r:k& affinités que
cm genre, quM; avait âvép les labres.
Il donim d’ailleurs la description dé deux espèces,- l’une
faîte &vèc le plus grand dëâi», rahtre cdmpafedVemérit^
et en peu-plus ^courte. Ce&matéraaux ont paru, pour la
dans 4e quatrième vokime de, l’Histoire’ des
poissons de Lacépède, qui 'en W' fait un extrait, et qui a
publié ce genre en méconnaissant les rapports que leur
avait si Bieir assignés Gommerson : car il le placera" cote
des genres; harpe -, pwmataméië&Mio&omé, que nous: ayons
démontre être dès doubles emplois d’espèfeês bien connues,
et classées dans, des familles différentes les unes des autres ;
il le rapprochait du genre pimeleptère, qui est un squanv-
mipennq et tout aussi éloigné dés cheîlionsi
TLacepëde d’ailleurs ne se( doutait pas, en copiant Fors-
fcal, qu’il plaçait dans ses labres un poisson de ce genre