L appat iOE^itiXire 4ii §opt de§jmdllas0ieX voisitts
desrmÿes;ou:des venus et dqs. crustacé^ É
Mitthill en* distingue plusi;eurs variétés. ? ■
L’une,;SOn
a le’ fond de la couleur brun, avec Ides bandes ou dés ,zèûes dé
. même.cohleur. *
: -Xpne secondje est son ;
' ' TÀuy^eÀ aüBp|f,l-.r
Il qui » d&{,n|i^es ^rfô^e4nfs? dopnaçt ' cetjtp teinte général à tout
,, Jji rpprpx.rdu r ppisspn
JQjcie trDisiinap, que Mitchill a-dés%né^ÿir une|épithète
plus vague , sous le nom de
T a iJTOGA ' ALJfA, ’ * '
. aurait encore; d’autres mélanges.; de nuances ou- de -taches.)
Gët auteur distinguait encore dans SOnîiprtenfîëPEssai
un ta u tq g a coerulea, qu’il disait être; plus ra ïë ' nte dé-r
passant jamais sepf à h u it pônces'angjlpSj Sekiîdùvant dans
les mêmes eaux que le blaçh-fisJi, se nlmrrissantcles mêmes
animaux' ét/incotnmode ; aux pêcheurs, p a ré e q u il’ èidè^fc
l’appât des haims apprêtés pour' le taütojg ordinaire; Il
vit ^long-temps hors de l ’ëau, quoiquiL ait moins- d é té*
nacité vitale que l’au tr e. Mit eh ill n’en a plus reparlé dans
sôn grand mémoire sur les poissons de New-York.
Il me paraît^ probable qu’il a jugé j j u e j s è n ’en était
aussi qu’une simple variété, et , en effet, les nombres des
rayons sont toujours les mêmes : peut-être aussi que sous
le nopa de blue -Jish i\ l’a indiqué parmi ses .variétés de
son labre chogset.
. Le-ifXAtpQ^îîE? A' «
Tqutoga fasciatiiï non! ; Lhbrusjascuûm, *Bl.', 2ffl) Labrus
. 'jmtgmQsus t ‘
,,ff,Lés biérs 'dû* l’Inde ’ dntiàu'SlSr-iëurs* ■taütogupS'. En
uii oe&fl’Isïë5- figûrë‘^pà*h ' 5 XuparaVaiFnpar
1 C ^ h n ie r ^ n , é t ^ l u l f m' a r g u e 6 ' u l é f r t s
tranchées,.'par- lesquelles on;, p M j a i f ^ mcnémem le ca-
î^mtérisqr, *a rjEæp,1plusieurs n b rn ^ v'ht: a-été méponnu <§©$
nàtu rXlistés'. '
t ^t-cwïft et-enbvalXX^uHKpsa WuteurTak fcjtiers
4 * de Sâ: V g j f eÆ b .S°n épnss eur 1 e*tiers d|e(sa ten eu r. Lâjjourbure
1 ’ d u ^ ^C T .c è ïï^ u ^ e n ^ eS sO T fT a ss^ re e u li^ s et serablabl^ La
hauteur du -tTquçan de^ua airéuCvirêst pas .tç tw â ^ it E^moiiiq de|
celle dmcotps. La tête a nn jacf.es asjez, semblable à celui de nos
carnes^ sa. longueur est comprise^ trois qois. dans celle du tronc,
en n’y comptant pas la ca^dàjlê, dont la longue®; égide à peu près
r la moitjé de ceÜdde la tête.,L’oeil Jestplacé sur lé haut de là joue;
il est (peti|, et rona j ^son diamètéetne. fait quelle /septième de la
têtéj]ïïy£st éloigne d u Tbôut du K^^au jsïeCTdis longueurs ’de
( I diamètre,-et on en, inigfrreprès de quatre .sousHui'Le sçras-orBitaire
antméur ést caché sdhs la peau nuequi I^chuyré: elle est percée
* d’un assez grand nombre ffe\pares : lés Autres pièces ^osseuses qui
complètent le cercle de Fqrbité 'sont lisses et .sans rueosrtirL%s( deux
> ouvertures'delà-narine sont petites, égales, et Imités deuxun, peu
lubulpuses. Les lèvres sont teès*épaisses : la supérieure a huit 4 neuf
plis ;-l’inférieure jest, étendue »ten,.d.etix.^ ailes;UrèsdjU'ges d e. chaque
.côté' des brp|||p&. de la mâçhp|re. jDeùx canines’ droites .projetées
en avant, saillent, de chaque mâchoire-, qui pprtelé long d a horif
“des dents courtes, et coniques. À l’angle ffyy a une canine dirigée
en avant; il n’y a pas de dents sur le rang interne. Lés .voiles membraneux
, supérieur et in férieu rso n t très-déyeloppés. La langue
) est libre au ’fond de la bouche; sa pointe est large et arrondie.