; Clestmen- certainement datis
I te Mtsée du prince Adolpfre-Ruduric^sote le nom de
perça mediterranea, e t que Br^nmelffi uTü#tlël.%nti^be
^ a (eeUe qu H. é c riv a it et dont nom Yenoias di*parler. Cotte.
? erreur, a^pë“cop|ee -par Lacépèdfget par M. Risfô.^lais
Brünnibnfâvait ausgi cte^rénilàbre parmi ses labres don- ,
*p*teux ; car -la description qu’il "a donnée ^p . Sj, n .$3 )
icéqyient parîaifeïfeit ^ [u r les couleurs-, Ilmy^a compté’
+ que gn.i,n ^rayollà épineux à la dorsale!
. Bô?énateire a fg.it de cetÇ^escriptîonSôn lébrus coeruleo-
'ùittatus, qui est devenu Yehitjàn murseïllàis <|e LâcépMe.
JËette synonymie a été employée* par M. JJisso pbiir un
• aqjre cfénilabŸe, à quatorze r4ÿons<épin^& a la e s s a ie ,
et quitnesWcealainement pas le p o W )n d qBiiinni ch.
GmeTm aîê&it aussi employé la descrmtion de Brunnichf
. e t en avait- fiât son lahrus unimaculÆi^, qui £péïë^#tt^
ioiârréuni^pari Lacépede, au labre mar^jllais. Mais Gmelin
1 e% a rapproché à tsrt^bmme une*'variét% la description
tirée du Spolia nmris^Jfdriatiôi ( p .07^
C’es§; plutôt à ce' ërmilabre^qu’au précédent qu’il faut
*rapjmr|Sr le labrus pittima de Rafinesque. Je* «né fais ici
mentionde cet auteur que pouriavertirlelecteur qu’il m’a
•été impp^ible dê reconnaîtreduplupart des espèq^ mentionnées
dians son ouvrage. "
* Je ne le regarde pas comme de^la meme esjpècë que le
goMsinny1 de Ji’Oeéan *ou autres Crénilabres, do'nt illfrest
* parlé plus Ijaût , ngrce <fùe ijB pôsition dû la !ta ëh ë^ t:lés
autres diftaibutions^les couleurs "ne sont passés mêmes.
1. Mus. Ad. Fr. Prod,, t. H, p. 85,
Le CrÉJU LABRE Æ Bory.,
(Q'enil^brus Boryarttis, Ràssoj- Crerdlabrus .nigrescem ^T^o.)
Jutroüve ©nedre^parmi les péissôUs’reciliïlis à NJIé
, ,paT!®$L Laurillardq fün4fëlMnilabj&e.
- , ayapt-jorce^che riKre cerclée deqîujaa à * balte. deJdlpectc^dS,
, qui e^|.rcyis^tBe {el san# tache .sur ^ràemhfti^ j la'
têtéet le d o sjo n t d’uiÿ Vert à£sez fqieé £ 1 *yehtre o r§n ^ 1H H |
‘ flancs r^jrés de treize ’Éïntîey'io'nakudi^âlés IleûëÊjlWn ^
' Vay ur-jes' Une!ufées et'ànastortfès^e^^'mêmétemte * sür>
"la’^ürgé et suVleVlëvantfle la dorsale. Cette n*eeire, bord^-^^îeu*,
est d’^jjtt roiH wfdâüSrfe àlaîlfâSë, c ( ^ ^ |^ é 'd e !u^;ran^éé^l^|feufc
dirîàléa dclpbimsÉ‘leus■ air lahàlë*qùi ^ ^ â 'tfg ë e # îi^érlAèl&lèû
il y quagg J ^ V 3ratfgéeSt de points'; ■ la ^àudale V'offre* âdèÜne’ '
^ e s t cfe n ^ée Maîbasfe'^isèlfeué p r ÿdut * b |t d ^la ventral#
; a lavinèn|p';d i s ^ i t i ^ de c^leur^iqÆept; p a r to * ;du Tpl^s bel
„ outEemerTGê
^ i r - sd“g'u® dçs deux Rr4^flg»-qe .q§nt 4gu^jbaifSes^
I ^ un r*lux brunâtre sur la fîr^le 1k queue, sans 'Éfêtendfe
’ sur Tes rayons fde la caûdalé^\>
$ D. ïê ^A r3^ l f tÀ |
Nos individus rsont Jopgs det cinqf^>ix porfts. Les
pêeheqrs de Nice l’ont-doMié à M- Laurillard s o ^ le noiË
ae rouefipié nègre.
En lisant la d e sc rip ti^ He È ..’ RissoJ il es! impbksibl^
de méBonniaîir^ dans ce goisspn son cfenilabrus Borjcmusf
Lesgseules différènubs? consistent en ^cé qu’iBnl pÿrfW (fiië
d’uneiSeule bande sur la q u p e # ë t qu’il leuy doUne'un
rayon épin^ix de moins.;Maif"jé'ne nm f doutei^non plus .
que^e ne 'soit a u s s i^ n crçrrilabiruffiigrescens, car îï
^ ÿ i détermine le dtessmpijsjur le frais,'que^M. LauriHarâ
$ ejécuté à ftice. Oj:, dans -ce dessin'les bandes caudalés*
R t : ■ . * 18. !