s’est servi* et-qui rép©a<foàgSe?'.bien,'•par' sa eouleui^feleu
foucg, a la phrasé un peu vague- du ‘premier de .des naturalistes.
Le merle de Béloh,'bfeb presque* indéchiffrable |*ët
on ne peut le ranger,. àvqc^quélqtte apparen ce“d'e .pïpDa-
e nop labres. .Quant à la figu^li?e
Salviani (p. 224, ph 8 *&), n-est très-probaMè' quelle appartient
à un pî^tsson d’un,, |dût/autre gënreét même d:Jînë
famille differente^ à caüseid^neuf. ràÿbhs epmeux <dê"sa
dqrsaîe* On peut aussi.admgttrè qnqWillughKy a:lt etés®$|f
les yê'ux notrê;ÿ|^®p, quând il allient le pëua€fe?fî^0^ky
à pern4 Garactêfistiquès, de son-Woftième tfciirreb^ï
Brannieh^ 'njd&s.à laisse une assez bqnne (description,
maigre' saBrièvete/dé^ôtrê espèce, dans s'on labrus lk>’éhs'>
puisqu’il,a eu sein de^signaler là' eOuleur<',ËÏW
deSmageoires du poisson qui a le ^ îp s brun lividd jvéiçis
penSons sëiilèment que là description n’a n à s^gfait^ ^ff
un individu frais et sortant de la !mér * mais rieto nW-peut
prouver que ee Soit le labrus livens que Li-üné a^delrîidâos?-
le tome second du Musée du prince.Àdolphe^F.rédfer^ 5 \\'
ïlisso a aussi connu-pptrepoisson, mais il en a embrouillé
toute la nomenclature j Par il' e£f -facile de le.^feonjf^tie^
dans son labrus ossifagus, qui nest pas celui j f e Linh&T
Pour cette e£ppe~, sous ce dernier nqm?Ma^o na Bit
heureusement aucun changementdans sa Ifëconde éditiqng
mais il n’en est pas de même des deux espèces nominales
que l’on* devait s’attendre avoir trouver ici leur jj&àtev
Il a dans sa première editlqn un labrus merula, pour
lequel il cite la figuré dgAIdrovande} mais iï ne lui donne
que dix rayons à la dorsale, et une couleur bleue, mêle'e
i. Willnghby, De pisc., p. 3ao, n.° 3. a» m Brfipaich, P tse. Mais, ^ÿi &
de teintes,fphis -ôu moins ferrnginensès.'Dansr la seconde
édition lek b r e .merle conserver ektè teinte, mais l’auteur
y ajoute un e bandelette*lqngitudinalé. bleue et des nombres
to ut^diferens : la dûrsaleayant dix4 rait“épines.Les ventrales
sont- cependant.lisérées de blemcu de violet. .
- a.Nous ne trouvons plus de Zaèmy /ïVenadans cette seconde
édition', sans que fauteur nous, dise pourquoi cette espèce
n*y parait plus., -Celle de la première est toute différente du
pQjissjqm de Ijrünnjch, et devai^etre faite d’après quelques
Variétés demotTeJabTm^^urdus^^i0 jbfS€us.
Je trouve bieuü'eu'colk un labrus liyens dans l ’ouvrage dé
Çôrnidfe% mais-eetèercitationt,né petit tout-au plus ÈÈÊM
qma ^ouveyï^fesïstenéTÈ de labres!sur la- cote dé--Galice ^ée
d^ujÈron ne pp^yyàit,,dlMnterj'qiaisc-on itè peut, d’après elle,
qn ^ucpnqjpianiè^ en déterminer respéeàï é,
Z-e L ab r ë ' l iv i Dp1.1.* * ’
i l ; (JLabfus.: j liyidus-s n©b#)î ty
, fPaîinrJous *êés nombréui Jabrés^dé la Méditerranée,
que j’ai - spus Jej^yeux, feni vofltpîusîéurs individus ^1
ijui éal mæctemsnfc la mêmf^fqî’me -qued^ précédent, les mêmes
wraMienS» ^ins les nombjFés, une disposûiéi| semMa^fed^jé»ailles •
mais qui ont toüjyune teinte plus pâle et pqiforme; la. dorsale grise
ou\viofetM; fpqntoneée; la caudale noirâtre; les pectorales pâles;
les ventrales très-foncées et sans'traces de liséré; b ’anaïe-a le bord
noirâtBgi Sp cM&ateihrë‘'sé fond sur l’-olivâtré de’sa base; elle n’a
' 'point- de liséré violèt.
Nos. individus sont venus'de 'Toulon, de Marseille ç.t de
l^àplëS',, par MM. Delalande et Sàv'igny.
1. Gomide, Ensayo de los pèse. Gai., p. 5i.