plus foncée* presque "noire,;$s.t sur la base de la pectorale. -Les
—joùp£, l’oçciput et le dos ; JPdessüs d e lâ ligne latérale, jusquPsous
la septième ou la huitième épine dela^dorsalé, sonteouverts d’une
grande quaütité-de petits points blanchâtres oit violets^
L’individu est long d’un pied et porte la ^jnôiiiîâatiQn
de tenoub, què^üôüâ’ne t'rouVÔns point dans Valeptyii^
ni dans le Dictionnaire malais. <
.Ceïfé description est .faite sur le poisson* qui a sem^à
M. de Laoépëde pour établir son labrçmacrodonte1, a|nsi
nous sommes bien certains d^iiôtre symmymie.
Z/e- L abre^ du Japon.
' ^(Labrtis Ja p onieus, n o h )
_Le Cabinet de Berlin possède un labre du Japon, voisin
du précédent, et qui lui a été donné par. M. Laqgsdôrff.
Cette espèce a le même profil, quatre canines trèstfortes et .une
petite dent en arrière sur la partie antérieure dû bourrelet,^lequel
est plus épais et plus relevé qu’à, la précédente, mais "il m’a paru
lisvse. La dent de l’angle.de la.mâchoire supérieure est peancoup
plusjbrtê. Les écailles, d’égale grandeur, ont leur surface finement
a striée. La ligné latérale a des arbusculës«plns coiirtsét moins bran-
. chus. Les nombres sont' semblables,
D. 1ISfl; A., 3/9, etc. •
La couleur parait avoir été brune ou rougeâtre suç le dos j la.
caudale est foncée; l’anale a sa base violette, le milieu jaune et le
bord bran. . . -
Oe poisson s’appelle au Japon nohussit ou nabekusara-
k a s c h is . Il est long d um pied. .
!.. Lacépède, t. III, p. 45i, n. °u5, et p. 5a2.
L e L abre d e I ago.
{JLahms îa g o n ç nP s , Bowdich.1)
Nous citerons à la suite d p cés labres, examinés par
nousrmémes! une espèce que nous trouvons indiquée dans
la relation du Second voyage .en Afrique de;B;owdich‘, et
qui a.i été ipubliée p ab sa courage use r compagnea aussi distinguée
parlelévation et’la nobles^de s on am ë , que par
laisolidité de sbr^n|trüction si yariéé dans les différentes
branches'derMstOMenaturelle.
C’est un poisson-ayant quatre dents à l’extrémité de chaque
. mâchoire, ünpïéopercüïe rayodné,. un opérdulè écailleux.
D. 25; A. 14 * C. 12; P. 18; V.'8?
Ce poisson brille d’une belle couleur rouge.
Il O té observé a. Porto-Bl-aya du „CaprVert, et à l’em-
bouclmre p e .la Gambie. ‘
^e doute de. l’ëxaçtitude des huit rayons de la ventrale.
Mad^ Lee (/ormer/y Bowdich) parle d’un rang de dents
en velours, ce qui pourrait ne pas convenir à un labre*
mais '•cependant la figure ne me laisse aucun doute sur le
gèbre auquel nous.rapportons cette espèce, de l’Atlantique,
que nous demanderons.aux voyageurs. L’espèce.doit être
voisine de notre labrus suillns.
L: Excursions in Madeira and PortâtSàtitc; fy M. Bowdich, i8a5.' Append.,
P- $34:, fig. 4;.
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