Nous lie connaissons cejte 'espèce ..que par un individu
long de sept pouces, que les naturels de la Nouvelle-
Zélande ont donné a MM. Lessbn et Garnot sous le nom
de paré - (f uiriquiri.
,L e C abré: seule. i
(Labrus epkippium , ffpb.) ' ;
- J’ai vu dans la çoU^ftion du Mi^ée'royal de Hollande ,
pendant taon séjour,-a laeyde-, unlabm
ayant les formes et Jes dents semblables, àà egljesrde notre labre à
trôis taches..-
Le fond de là couleur paraissait avoir été olivâtre; un® grande
tache d’un bleu noirâtre, en forme de selle/couvrait le dos^spus
la dorsale, en. commençant à son premier rayon%épineux gJbt en
-finissant vers lés rayons mdus.'La queue^tàit efitourée d ’uiElarge
anneàu noirâtre;®! bleu très -foncé. Le dessus fie.la tête rag bleu»
■ et cette teinte s’étend sur l'operculé : les nagèoires participent Ide
ceS teintes. 1
-D. 19/11 ; A. 3/9; C. 13 ;,P.
CesVun grand, poisson , long de quinze ppuçes y due
M. XemminèK croyait, sàns en être trc^eertainy originaire
de Java, et qui se distingue \Hien, par lé* nombre des
raÿofis %ineu^ do sa ' dorsale^ dest especes de êo'ssyphes
aVeq lesquelles on serait peut-être tenté de le confondre.
Le L abre ■nE- ^ i i .;^
| (Labrus Gafi,nob.):.
M- Gay .nous a prpburé un petit poisson des îles Juan-
Fernand oa,' ;
’ qui a la forme alongée de nos labres/îes lèvres épaissés, lës dents
sur un seul rang et toutes pointues : celles d'e^devant plus graiîdes ;
. le. limbe du pHtiperouIerét l’inieropercule fisses* ArèsrtiM-n$e$».âans
.« é d ile s 5 la l'eue‘en e®ii #ufert&, mais’ plJeA sont, très-petites* Celles
de l’opercule sont faussil^rândes que cellès du éorps| j’en compte
' yingi-éin^l rabgée%4enyijiqil entre l’ouïe et- la caudale: v
La dorsale et l ’anale^sont /bassJPf lajcâudalp çoupée carrément.
D. «/Il; 1* 3/10;L. 15;'
' La couleur est fin aj-oùge -.bran uniforme, plue fqncé sur les
- nageoires impaires; Le^pectorales et-les ventrales, paraissent avoir
“^étè jaunes; '
, Ce pôis§pn n’a q u e quatre p o u c e s. , ,
L a L abre MACB,oaOîtïE.
{L a b ru s nmGrqdputàk^ J^acép./
N o u s avons |m C a b in e t du. R o i u n autre, labre ^ prob a b
lem en t originaire d e Javâ4, ^ 1
qui Trie profil oblfque, le front élevé, l’oeil petit; le bord interne
du maxillaire*pst relevé en'un bourreletosseux, épais,' denticulé ou
.fesfbnné. La mâchofrd inférieure s un hoilrrëlet moins’épais. Les
’ ’ càniües, au -nofnhrë de^èatre', éônt fôrtês et crofcmïeS, et dans.
- Tah'gle dfe la mâchoire1 supérieure’ est une petite deht'saillante:. Les
f’J;fc|dlïes du préopérculè ’Sont petite S c e lle s de l’opercum Iscmt assez.
.grandes, mais moins que Celles du corps', sur lequel on compte.,
trente-deux rangées entre l'Omê1 la caudale; elles sont minces
et lisses/
D. 13/7; A. 3/9^ C.13>P- 16; Y. 1/5.
La ligné latérale seqQMrbesqjjs la.fin dé la dorsale; elle est
composée d’une suite'd’arbuscules divisés en branches nombreuses.
La tête et le dos, jusqu’à la fin dè la^tiorsale; paraisseniavoir
” ^tWvipiets. Céttè tiôniéor à'ë q^ôlOü^en une •fiatidê 'êffMte*WV lé
milieu d®4aquèuè. jusqu’à la catidalei I® reste dit éotpS -est
et-pâraît^nv.Qin.êté jaune.^u.jf.aùgeâtre^ Une large tache violette
couvre les quatre premiers rayons mous de la dorsale., et une autre,