448 LIVRE XVI. LARR.0ÏDES.
tion .de Briinnich^«puisqu’il dit-: macula nigra infra ad
basin caudee.
Gmelin a fait de .cette description lé labrus griseusa ;
mais,-comme i r avait déjà employe pour s'a quatrième
espèce ce^nom,JVL de Lacépède; ia changé lepithhte'Be
notre Crénilabre ; en celle.; d.e cinéreus , en plaçantjj^p.en-i
dant .c^tste. espèç€i | parmi sesulutjaii§ à cété 4 # lutjanm
ocellatus et lutjanus otivaeeus, avec iesquelsre|le&a de[
nombreuses affinités?- ~
M. fiisso a repris cette descrmtioù ‘de Brùnnfch ou peut-
être de Lacépède pour é,tablir dans sk première édition un
lutjanus cinereus, qui ne reparaît: plus dans. lg.^conde-,
qù le crénilabre mgs$àéseitL -est- conservé. Il egt figüréda^is
la première édition (p i 8 , fig. $6)..I l p o r t e l e ndm
dejanganeu. La tacbe.caudalpest moins apparente sur. les
femelles. On la vpît sur les potes rocheuses ■ de. Nice, en
Mark, Juin et Décembre.
- />e Crénilabre de Gotta., ;
(Crenilàbrus Cotiæ, nob.j Lutjânus Go£fre,Risso.)
Les collections faites à Nice par M. Laurillard nous ont
fait connaître une petite espèce de crpnilâbre, qui: pous
paraît dévoir être rapportée àd’espèce décrite par M. Bisso,
.dès sa première édition, sous le nom àç lutjan Cotta. ;
Elle a le corps plus alongé ét plus rond que celui du ctenüabms
massa; mais il le paraît un-peu moiûs qtfè celui du erenilabrus
tinea. Les dents sont plus fortes et plus inégaJLes.-
Pi lflflî;A. 3/8, etc.
J. Pisc. Mass., p. 58, n.0 y5. —2. SysU mt., édition i3, p. 1396,0.° 64.
CHA;P. Ilfe GRÉNTLARRES. 4 49
■’LQUtîte'^of'pSi.ist. sur im5fô»dj rongeât!» griv^évùu : marbré, de
, s b iîU^opd^Wbft^re^^ larggstraii ya du b.outdu, museau à l’oeil,
| u :saàs4tidépj(ss^ |ïn p i^ tre ^^^desg0ùSî^fe l’ôeil , s’étend en Une sorte
W a bride mâqhpirft inférieure ;>jm autres plus’court, le pré-
<§«$$&# ÿ ai.tpe taÂe:hlejàb sufrlev^ltonienfiéménjfedè. la dorsale;
une autre-;' souvent mal terminée,' sqUs la base; de la queue. La
- dbrsaïe’àjdu brun sur sa partie epineusë, et un trèsffinsablé noirâtre
sur la. portion^molle ; la eaudale et l’anale sont pointhlées de bleu.
N o tre p lu s ^rapd in d iv id u $ trdlk'^ôilces' e t demi.
O u tre '‘ceux q u e nous, devons à M. L a u r illa rd , n o p s avons
tro u v e des indiviffiis' d é cette, npsme espece p a rm i les poissons
ra p p o rté s d ç Nap q li de R om an iè j p a r M. lle y n à u d , e t
d p B o sp h o re , p a r M. V irlet,
Le,,CRÉÈiLabre Roîssal.
ÎPtfJCrenilàbrus Roissalii, Ris?so:)
U n a u tre d e _éiçs>‘ créuilabres"a enc.bre é té m e n tio n n é p a r
B rü n ü ic b 1, màissç©hfbndii p a r Gmèlm-âVëc u n e des espèces
p r é c e a e h t è s f ^ ù ^ id e c la é té ^ n o u s^ ad o p to n s u n
dés noms-sous lesquels M. Bisso a in s é p t c e tte espèce dans
sç n ouvrage.
- Gè poisson, dé forme elliptique et régulière , a sa hauteur comprise
trois fois dans sa longueur'tcitâlè j leS crénèltires du préopercule
très-fines, et.il n’y en a pointeur lg bord horizontal.
s4|/91;„ A®. 3^9^|ete., , ’
Outre la tache noire qftie c^tte ; çspèçe .cpnsex;se syr l’opercule
et sur'; |ev|<opsmrbitaire, entre l’egil et le bout du"museau, elle se
reconnaît ^surtout aux deux plus foncées que l’action de l’alcopl ne
décdlore pas, ef qui sont sur là base des trois premiers et des trois
derbiëre rayôhs mous de la-dorsale. Cés taches sont d’iitx bleu-noi-
1. Spot, mar, Adr., p.’ 97, n.° io-.