Donoyen 1
dos nous paraît- sëulementun'peu trbp jaune,Jubile *aséte
Turtoiî3 etrFëiiyns4 le^’ebmptent
égàlëmêât dans leurs FautÉeâj-tàfls Fleming n’etfa pàs fait
mêntïdti dans s o n a n i m a l .
t L’espècç l ’avancé ’aussi' sur les cpies^sêptentrionates de
l’Eurppe;, car, outre le témoignage d’Ascanius^ nous la
voyons mentionnée par Muller. \ sousrle nom que,.lui avait
donné son prédécesseur. JLinné. 1 a notee dans \ ^ t au^ a
sueçica; étRetzius,'danssa:nouvelle éd itio n ,^ ^ ^ comm^
femélle du labriîs exoletus, poisson du Nord ,-à preopercule
dentelé'et à* cinq épines anales. , * >
Cësi d’ap^s 1 assertion d ^ pêcheurs que
â prévaiû clîé?,plusieurssayains de. Suè^moû5 dé;^prw5égçÿ
maïs-je crois que la sunilitude des noms Vulgaires a dohnél
lieu .à quêlqu^confusîpn H&àr nous avons Q N B j qqe les
deux sexes de notre espèce, qui tou&l'deux sont identiques
[et se rapportent parfaitement à notre labrus trimaculatusf
n’dnt jamais que troisrêpinesa larklé^je TO|s^d’aile ui^ què
mon opinion ést d’accôrd avec celle de M. Nilsson j^dül
Stockholm , qui a dans W lÆfes'-à‘(l‘Sçan3 ma v iç^ i J#>re
à trois taches, et dans ses crpnilabres un labrus pxoletus.
Notre poisson ne* paraît pas se trouver sur les ^o,tps
d’Islande, car nous ne l’avons pas reçu | | | B j mers,., et
Faber n’ëri fait pas mention-..
M. Fiss'o â, dans sà première édition , décrit le labre à
trois taclies; et depuis, observant que quelques individus
1. Donoyan , S r it . f is h ., p l. 49*-— 2 - * r ii. fish.> P - *86. —
~ LMan.of vifi. an.}f r 3t)6. — 5. Faim. dan.,Prod.,f»Ab,
*.• 385. ; m i !f
ont un e che^u^leilIpy'aïSfe» d’|;d%&aLe^f 1. çeuxcip
dans^/s^sdéood^lditiiôn j un labMi#ffkadrimaculatus,
ne“parlant plus» du labrus tr im a e u ^ u s ^ u e ^ ém 0 ë d’un
IjWonyilp doûteùx df^%ôüvelle demandant
S S S ^ d u d ^ fe^M t^ frah e e ||st B rn le m^me quefeçlui
de. l’Ôxean on : il,, v
P a fip psqn l’apa suppi mnu dans4iôè' *ïcMbajiQlo6ft^ de
l’a d e uneipornyÆletesgècp ,.n om-
mée labrus luvarus, ce poissoa/,3|^.n|0,mmant eMfj&jîÇihert
luppanu luvaçu ou r ’QSsigwiu j le pipetoier dèy0E&ti®ms étant
gCÊ^riqùe^^^^d^sd^lirês^ '
Selon M. tinco
oa ra /fl. Du.ténijM'^Iùllcr ,^s'p^mmfs, nurwefîejns lui
dpnnaigiJt le é ^m ^ lc ^ iI ^KiXqal, qui n’egî p lu sS ^ p à r
^ hl^dsson, mais?qui indiqu§4gs yuivans, Rôdsnàcka^ ou
Sypiga. I^ur nos'l&oî^djeÆretagüqiOn le npiffim e/o rdmairer
ment coquette, et eeux-qüi ndus venaient au Grèïsh>ÿtva*ient
particulièrement le nonpdy ’eounî^t.
L é Lab re; -/tO urd.
’ ty^dus j Linn.
Il nous reste Ji parler maintenant égy^Sj^èés que nous
croyons Appartenir â^la Méditerranée ^ufè^%^rÿhOus ne
ïêÜ Wvonà jamais vüé^ vënir de n©s'vlîèfesfde l’Océan.
jNous allons ctMhm,ëucë^par^^|fe^0ht nous possédons
on'mus grand nombre ae variétés, 1et. ribuS regardons le
ppjssop que, nous ..allons décrire ,fournie étant le labrus
de Linnét ^gst du moins celui, qui se rapproche le
plus de ^a description de*. Willughby.
1. înd.d’itt'-Sic., p. 2.3 jjn»° -i44>* et Gara». Spi, p.,381 n.° rop