Le Grémilabre nqrwégien/
( Crenilàbrus hoimegims; nob. ; Lutjanus nqgt^gicit$ | K»)
Le lutjan norvégien, que Bloch a figuré ( pl. 256}, ej
que ÉSacépède, sur cette au to rité^ aussiinscrit parmi ses
lutjans, est un crénilabre qui est voisin de ces poissons,
et que je fie suis pas encore parvenu à' me procurer..
Il a le,’ corps semblable au \crènilabrus metops; mais, sida figure
de ïffoeh est exacte, les dentelures des préopeKCules sont^pljis
grosses, et surtout au bord.hoîizôntal de' cette espèce. Les. nombres
^ sont'encore ceux du crenilàbrus m'elops, sauf qu’il y'fiforait un
raybn mofo de moins à l’anale. -
D. 16/9} 4 J?l$, e|cM "
Je ne v^is pas que mé^h^ait marquéfde tache derrière' l’oeilj
mais ilgy& en - a une trèsFpro-iiôncéei-jie cbàque- cot-fi de»fiatijiaeue,
. qui ne -se tfeohve pas sur nos crénilabres- mélOpes. Le ,c®>rps ïeSt
noirâtre' ou- violet foncé.-iSur le dos, passant. insensiblement »-au
jaune sons le ventre; il est tout marbré de» grossesî taches - brunes ;
. la dorsale a. aussi des marbrures nojres sur nn fond .jaunàLre;i;Ia
caudale, jaune à la base, ést violette à son bord; l’anale à celte* ribeme
teinte^ les pectorales et les ventrales sont bleüâtres;il n’y apas non
plus de rayures sur les joues.*• '
Tebesoé poissdh1 que Spengïer avait envoyé à Blocfî:
Il est voisinnes’prëcëdëiis, mais il me paraît dèvloir en
êfrè distipgufi,;'.1
M. Rètzitfë xâ ^ t é dàusTSon édition du Fauna süecica
(p. 3p7, n.° ■’j i^ s o u S le noin de perça maculosà, / en
conservant pour synonyme lé nom et la figure de Bloch.
M. Nilsson* nous éclaire davantage sur cette ëspècéf ët'il
1. "Nilsson , Prod. lchth. Scand., p. 76, n.° 4*
ajôüte que- âur les câ<tes <Je ' Npirwége^deÉ^ individus atteignent
jusqu’à* dix poücejij|P
? â le ^ a i^ l^ cm m tin e sur le" littoral de la Norwége et
<fêhs la toeç Baltiqüé.i L
r Lç Cri^ ilabre de Pênna^t.
{Crenilàbrus Pénnantii, nob.;? G6l4‘sjnnj3ïW n a n tÿ
Devra-t-ou considérer commentant d’une espèce différente
dii nrecédênt, le goldsinnj de Remuant*, figuré dans
in-4^ clu British Fauna, et qui a été copié par
Bonnaterré dans...les planches.-de l’Encyclopédie méthodique
£ v
11 ne me'paraît différer du1 précédent que par l’absence de la
tache des côtes' de „fa queue, et'je lui Vois1 ausSi quelques rayures
sur les joues, que ne paraît pas avoir "le „poisson dé" Bloch;'car je
.n e croisa pas qd’on doivé prendre pour fellesj les variations de
scouléur' q,üo la, peinture de fiehthyologistfe allemand indiqué au-
1 dessou^ide^’oeil. • ■
4lx'Ge qu’il ÿ a de certain j cest que ce goldsinnj- n’est pas
le même' que eplui dont Pennant avait parlé d’abord
.a apres Ray, lequel est deve'fili?le labrus cornubius de
Gmelin et des, autres iehthyologistes, et qui a été ensuite
confondu avec les espèces dont noùs-traitons ici.
Le Crénilabre Dp Couch.
( Crenilàbrus Couçhii, nôbt)
Bfl îyatre poisson, tris-voisin de ceux-ci, 'mais qui me
paraît encore distinct, est le Corkwing de M. Couch.'1
b* Prit- zool., IH, p. îSSï , *pîï 47- 2. Couch, Fishes nevp io the Prit. Faim.,
apud Loudon Mag. of nat. hist., Vol. V, p. 17, fig, 4. ’ *•
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