LIVRE XVI. LABROÏDES.
D. 12/10-j A- 3/1,2 ^ ete,; (
Le.dos paraît avoir été plus rouge ;la tache de la pectorale et de
, la dorsale, plus hoire.
Il vient du Btésfl, 'et éstdonfpdeneuf poücësv
Je n’en fais pas une espèce, parce que je trouve parmi
nos individus venus de Saint-Domingue qiie ae'-nombré
des opines de la dorsale ne va quelquefois qu à'doüzè. '
Cette* e^ëeè a été connue dès le milîëii^du dix^septièiaïë
siècle^ car elle a été publiée par MargraV#^ qüi la tenait
des Portugais du Brésil, sbus te nomade pudianovtèrWielho
ou de bodiano.1 Suivant lui, l'es Brésiliens la nommaient
aipimixira et tetimixira. —
?>1 fe’Origihal dû dl^in qui ëçeornpà^ne la dësçriptib'¥t|^'
trouvé dans les dessins manuscrits, du prince Maurice
INassau, et que nous avons é0nàùhés. à :la biblidthèqhb
royale de Berlin, Ces documens ont èté emplQyés pàt Bl'oCh^
qui a publié dans sa grande Ichtbyolbgie/ ce “dessin du
prfenee^ mais en le quadruplan t |sèlô’n soâ^bîtudn,’quoiqu’il
.jieîÿ aît phs averti stefr 4ôctefci§£jOétté :eôpïfe %@rait
très^esîaote, si le dessinateur me ^s’était pa^mépris sur/ini
léget accident de'couleur- quiextete au bas deri’augfe^du
préoperOule, Ut dont il a'fait Uné forte épine, qùoiqu’éllè
n’existe, à bien dire, ni sur de dessfoiVoriginal, ni eh'côre
moins sur la nature. Il faut remarquer^qapùdant que- la
tète*, et particulièrenaept la bouche e t les ; dents j{#fht
ah,çréesdans la planche de-Bloch, ,
MaÎR q e t ic ltth y o lo g is ie ' r e p ^ d in t j ^ t t e piêftiu.'Cspè:éP
dans la livraison suivante et lieux, fois de-suite ;- car son
lûtjanus ( Bh ^ 5 1 uue figuje b anpe *
1. Margxave, £/w., p. i4fe’H'46>
faite^d’nprës nature, et nous uy&nsdlans le Cabinet du Boi
un poisson des^ché qui nous vient de fânmennéeôlleatioh
de Hollande,„ tellement semblable à-la gravure'dé Bloch y
que ron pourrait le regâtder comme en étant l’originab Une
seconde foîs*y et q u elq u e pages plus loÿi (p025&),'Blo'cli,
ayant trouvé,'dans les manuscrits dii père Plumier un dessiii
dans, lë quel‘ on peut reconnaître' notre*-*èspjète g la bifüreiP*
tipn^qieSS queue eUaUprOiOngeMéot de lâ^dorsàfe prde
l’anale, Filait graver.eomme une -noûvélle espèce-deëpàre,
sparus falcatuê. -^ôos'-sbmmes e^chréhaidës'' dans notre
détermination par la di^ti^ution d'eS CouleurstelleS'que
ndti^tes- ItroWêns, sur *le Vél^'faitpar Aubriet, et qiie -fon
^b.^e%ve dai||«|la' bibliothèque' dtf Mfatéum. et'le'
do&sOnt p:èintsfbleu’#ohffil'éîner^ëivë'iitin étJlè^Wofë^sont;
jaunes,de bord? de la dorsale et.deH&nalcèet lès pomtesâh
la caudale sont aUssi^^é.Çttènoukurh Ainsi, ‘èàuf.feiaeti-
tude^dès'^eintes, é’ëSfi éfàcéfe8 -l4fdi#|)Osition de Réelles que
lious observons*-sur la ,‘ïlature. Bloéhriui' a donné une
ol location verââfrh fOhsééè-^F le%5s^-èt'- tarant att
jâtiné Jspu^le%èntrë. Je ferai- bbSerVer> quë5§ôk ehpsïnateur
a feaP compris*- les dpfesits, en î’géfteïàlppëu achevé#^ de|
Plumier, et qu’il a marqué à toft qMtré3 é p in é ^ l’analef
car danj> notre Yélin il n?y en a quë dëüX. -
r-JCn de nos- individus*‘empaillé^,-et Ve’ftu-s de Saint-*;
Homi-ngue par M. Ricord Ressemble bëaiùcoup*/- dans ses
traits- généraux, à cette’figure ÉJ|3Plumier l'toufr'feônCQurt
donc à -pnOuVer qtle le sparuj faloèttm -.néSt autre que
l’espèce?dbnt nous faisons ici l’histteire. Heureusement que
Bloéh n’a pas ^Vu un- dessin beaucoup -plus -inêorreet- du
père- FeuiUé%:et qui-©met© à la, hibùo^ÿque du RohL©
poisson, sans nom- et sous, le u.0;: aor esh peinpen rouge