L a G i REJELE ,PPI^TILLÉE. ,s j
( J u lis p u n ctulatus, nob^) •
O n rapprochera d e ces êspèce^ le> p o isso n figuré .d a n s
R en a rd (fo i. 2.1 , n.° 1 d o n t Voriginal e s ti;a q s £ i||p n -
se ry é dans T ^ ining,.'Ç4î4T f!l!'le cpewtf, | j
pose sur la tète et sur lé Ventre, avec des lignes vertes rayonnant
de l’oeil en tous sens. Les lèvres et le front sont rouges ; le corps,
la dorsale, l’anale et la caudale Saint bleu foncé, pointillé de jaune
doré. Une raie verte traYe|m r»nalet et un limbe jaune Qrapgé
tèrmine la caudale.
L a G ir e l l é -'pavonine)-
(J u lis pav&ninuSy nob-)v ^
U n e a n tr e , q ü iA dîtfte (fcd* 33,;%° $ 9 )
^dns le ,n om de. g o U o n a y ^ p a v o n ,iU ^Æ e t r o n ^ ^ u s s i dans
Y lam in g e t d e v ie n t earaetérisable: Y o isin e d ,e s^ r é e éd en te s,
c e tte e sp è c e a " "I MwffiffHgP è’fv, s i
b corps ros^ couvert de points, ocelles jauneg, pjjhastfQitiçé ;
la tète, de inème teinte’que le corps.,, esst chargée de points OU d e
traits vejdâtreg qui s’étendent. sous le ventre. La dgrsgle.rougeâtre,
a deux séries, de points _ ocellés jaunes ; l’anale, verte;/^deux fâies
rbugesj là péctorde èfst jaiine'; la eaudaîe, de même eoulfeiar,’ offre
â x traits bruns réunis par paires : elle est bordée en haut et en
bas de rose.
L a G irelije nacrée.
(J u lis ,, margaritaceus > noh, ),,
tJ iie p e t ite ^ r e ïïe ,v d i sm e d è s p |é c é d e n t e s , se* d istin gue
f par ses te in ts nacrées, disposées en bandes plus ou moî^l interrompues
sur le.ventre. Un trait naeFé existe sous l’oeil, derrière
lequel il y a deux taches no*res§|<
Le long de la ligne latérale les cètsés sont mélangés de noirâtre,
qui est • quelquefois, disposé Sur quatre ou cinq bandes transvera
jfaies.. Puis ;gqr,4e dos. o n . voit -encore du nacré, soit eu bandes
longitudinales^ soit ien tafmèsÿ dont deux ou trois sont plus marques;
La dorsale et ,1a caudale sont pointillées de noirâtre j les
nageoires paires s*oni jaunes. [
D. A. 3/11., etc.
Kous rfeniaycms qu,e de petits .individus longs de deux
pouces? qui oat ^té rapportés do Vanikpro par MM. Quoy
et Gaimard.
L a G trelle' papillonacée. '
(1Julis papilionaceus, ndb.)
Les mêmes naturalistes' ont pris dàûs cet archipel une
petite; espèce»
,à corps rayé et tacheté; de bléu plus ou -moins obscur, La tête avun
«trait bleu sur le sous-orbitaire entre la bouche 6t l’oeil, un autre
sur le bas du pjréwercule; une bande verticale’descend le lopg rdu
bord postérieur'de'cet oà -jît traverse l’opercule : 3! y a de petites
taches bleues au-dessüs et* àu-dessous. LTn gros point bleu foheé
existe entre la troisième et là qifeitrîéitiie. épînedéla dorade, qui est
tacheté^ d’ocelles lilas plus ou moins effacés, ta'caudale, Coupée
çarrément ,a du noirâtrejau nùlieu de son bord. L’anale est grivelée
comtae. là dorsale, mais sans points noirs.
■ D. *9/115 À. « /Il, àc..;
P&s individus nVnt pas 4^t^b~M|\l7q|g:':pouciei9;
La GlREX.EE' NQTpPSIDE.
{ Julis, nptopsis» K. -V. H.)
Les< collections ïchthyèloglques du Muséum doivent
encoré au zèle de ces naturalistes une petite girofle qu’ils