la tête à la queue,Mv. Dussumier, qui l’a vue fraîche, d itq jié I©
< corps <est v io ^ Jtrn^éj |îV^rdef|çj|s-petifa.pôiùtsiverts très-brülansj
Le déplus de la tête est plus clair, rôg&g le tMinç;, les jou,es son^tra-
versées par 4’nmvert. très-éclatant et d’un violet
plu§.c|air que celui dû corps. La do^rsalé et l’anale, violacées, ont
dans le milieu une* Bandelette dun vert’ Brillant et cfês petifs^poïnts
' de même*couleur sur toute son étendue'. La caudale offre la mëmfe
disposition de c o ^ e i^ s j^ d ë plusÿiÿ estBordée devblâfiW; l’anale
est lisérée dé bléU ; les^^êctoralés, à base orpn^éê^tit^l’extts&nité
jaune; l’aisselle ,est verte-; les:ventrales, vertes eh,; dedans, ont; les
rayons colorés en ygpiletiiJextéri^ur,
Ce poisstm e s t'ïa r e% l’-Isle-de-France. O u tre eèüx q ù ê
nous* ^ v ô i i s à M. D u ssum re r, M. L a m a r e e - P i q ù b ^ ^ â
e n v o y é d e fo rt b e au x exemplaire^ a u Muséum. Ils Sont
longs de? tre iz e policés;
È à GlRÈIÆÉ D E t). ' .
Xy Lfulis Qcùmardi^ Q., Atl. Slfag&ttfâ t a b . f i f e
MM. Q ü o y e t G a îm a rd o n t r a p p o rté d e le u r p r em ie r
v ô ‘yager avéçT lu 'c a p ita in e F re y c in e t uneguirelle ^
dont le„premier rayon*ne la dorsale <ëSt alongé én filet*, dont .les
ventçâfës^toiucli^W; à l'anale, mais qui a les .écailles plus petites ër
les couleurs diffireni^*^
Là tête ét le aèvarit. du ¥corps sont b ru it jaunâtre; la,, partie^os-
térieufejdu d |p e st ro i|; la dorsale, pqintdlée à sa base, offrè'çijeux
lisé^ s bleuâtres; l’analéest bordée dé vert j la càüdaïë’ est jaune.
Le dessous de tej|orge#sk||leû; un trait de njême; COulëUr remonte
duÿoauseau sur l’occiput; deux bandes violettes lisérées de rose tra-,
s verSgttt laaoufi;
^L ’in d iv id u , lo n g d e n e u f pou<^%m é té p ris -daps l’arch
ip e l des S a n dw ic h , à File M ow i, o ù les indigènes le
nomment inàrêcS louaïné. M.; Quoy l’a dédié à ; son 1 compagnon
de voyagé et ae fatigues, M*. Gaimard.
^"Si^ai^côtisefvé le nom donné panM/Quoy, je n’établis
pàs, comme lu|> que résto^ée tiif été ihcônnue des’naturalistes
quand^l l’a publiée. En effet , ’cè ^ e aü poffsoh est
figuré d’une mamèi-e* très.- rç connaissable dans |e rëcueil
de dessiqs de l’apairâl Corneille de Ylaqiing , qui le nomme
ik'an TQupa.,- i
. A la yé?itd, Rena.rd n’a pas reproduit la figure de l’amiral,
.et- celle' qu’il donne ,';II*e partie, pl, 3 , *fig. g , est loin d’être
au^slïbpnne-;
Il le nomme payequiet de Baguewal, c’est-à-dire, perruche.
Je retrouve qe.ppisspn de-ns | Yalentyn, p. 453,, n.°
33^ sous, le nom malaisYfozw soelang ja n g ongoe^ ce que
l’auteur traduit -par poisson p&t^pr%^jkrodÂ
Il que la te n té cfia, la chair ;çgaLe. la beauté des
cduleur|*JT
L’espèce est donc répandue jdans toute la mer des Indes,.
La pIRELLE“ AÿNEtéE.
W ^ J u l i s 'awm lu tu s, qob.) |
Lés mers de l’Inde ont encore une ^girelle remarquable
par f éclat de ses’ çouleurs qui se distingue dés précé-
d entps par la petitëæé de^^ê^ëôanlés.’
J’en .compte, plus de cent entr^ foui^ e | fa caudale* dont les
* pointes,sont légèrement saillante^. CeAppissons nç conservent dans
‘.’Tespvit de vin que traces des bannes dont le cOrpsiëst cerclé;
màù pëhdaût la la tête est d’un fieau* vert rayé d^er|ui^i. Le
’corps vert, à tèin® vîôlacéès%ir Je dos, est traversé par quatorze
à quinze bandes verticales jaunes. Le^iectorales et les ventrales sont
•^joli^ires très-clair; lu dprsale a la base jaune éclatant, le milieu