L A cANITEO LABRE B t ' jj
w ' ’ ( É ÆÊtb^iiBffÈMWçàs, Linn.) ' ; ï
Lipné llvai-t désigne par rgpitfiète d\éàsoletus un labre
qui lui paraissait anomal dans le genre tel qu’il l’entendait,
a eatise des cinq épines destîfce anale. Je ri’al jamais'Vu ce
poisson.de l’Océan septentrional, et cependant' il me paraît
être1 différent du précédent, càV 'Linnë ne lui^Éompte ;.
que dix-rï'êuf rayons -épineux a* la. dqr.sale, »et il lui donne des
lignes bleues sur le egarps; Othori .Fabriçius.1, qui n’a fait quel’entrevoir
une seule fois en naviguant, l’indique comme bleu et brillant.
Voici les nombres tels que Linné les a indiquas, et écrits à nptre
:notre manière: J
D. Î9/8; A. &/8;L/î3;-P. 13; V. 1/5/
Xîe poisson paraît très - rare, et ,sil©n le voit"cité dans
toutes -les Faunes du Nord-, il me- semble en géajetobque
cejtjsuila foi de Linné, Othon Fabriçius excepte.. Streem2,'
Muller3, le compte-ut parmi leurs poissons. Le prince royal
de Danemarck le nomme comme -proVenant. M es^Mtes
occidentales de la Norwégè., Outre les noms de Blaa-
gomme, de Blaastaal, etc>;, çqpgimuns à d’autres labrofijea,
je trouve que Fabriçius a indiqué, comme dénomination
dans l’idionie des Groenlandais, le nom de. Keblernak.
Millier, trompé-par fe§: rayures bleues dont le corps de
ce ’poisson est orné, l’a cru identique %vec, le labbïis
coeruleiis d’Ascanius, eVcgtte erreur a été reprodurtegpar
M. Retzius, dans sbU édition du Eaimà'suefii.çta^eh l’augmentant
(Êcore, car il a ajouté à'éette synonyraie fautive
1. Faun. Groenl.; p. x66. —^ S c e n dm t.L fA # »67. — 3. Faun. Dan.,
Prod., p. 6, n.° 386.
X^rstwiped ^«^Ae.^Pennant^^Gomme-Nariété 1eJabqus
carnms Ae B1 o dp^||^ÉÇ-uë| â%^L*pa-rlé plus haut.
'LaiÇ^pède;<kon%|pl&ë^|)armi -leûm-labres : fie
p.re n ^ m ^ | lé -nora.de L i n ^ et lé^ M nd séus-celui de
labruslpfintacàn%hu$\ Je trb'#m|?âT^i'• dâiiV . l’ouvrS^e de
M- Nflsson un llàhrus$em.èl,et]bL$j ' e :hê 'savant
n /b v“fè&pi <:pb ieux ^Sa^dorsale, et
seulement ^ept mou,s, %
bien de *la incniei mpcce^f j
i ’ ; L ’A càWÏH0 LAB'REAiÛE^Q©Ü.CHv -
(5¥cànmolaBrus ‘fcâàchii,
- M. Loüch^-pubbéj'î dàns'■ le RèouShcl^ M !^ )q d o n 1
la |e§içriptidn et la figure, d;üp'iacantbblabre, qui me paraît
différe-r dé^ celui de-' Linné,y *
principalement fiïàr }lé nombre des/ rafons^1 ca/-il a six épines à
l%n.âLe et vingt,et -une à 1a’-dprsafe. ,f omib-ifS;tm.ts.’snivant
notre mapiéçe, :
D. À.* 6/1; » 15; P. lffv^l/5:.
.^La*> i^ulçnïr est un brun unffoRmèjfet bpillant / pïuâ. clair. sousdç
ventre; le sçurcil ejt noir, et;unef t^ h ebm n e le
jdos ‘de la- queià^^Aa basé.d^raÿ&psyde la caudale. L^s'ipectprales
sont jaunes; les autres' riageoifés s ontib o rfi é es - Anette teinte.’ -
. M. Yarell2 a ^ jffd d u it d’une élégante la
figure >deM.‘ Ooùchy et l’a d o ii^ v a iu k i que-son prédécesseur
l’avait fait, çommé le labrùsluscus de Linné, qui n’a
cépendànt.que trois rayons épineux a J’anale. On le trouve
aussi* .répété .dans- le .Traité fie/M/Jenyns3;- mÿs cês deux
auteurs- n’en- parlent que d ’aprè&-feÉouch. *
1-. Çmch j apud LoudofiMgg.
ri.° xax,^V 51. Brit. faA.f’f» 3o2. _ S^J&njns, BrU. an. Emgd, p.^oa.:,- *