que des silures ,*n’est,pas du nombre de ceux que Garden
-fit connaître a Linné^kussi he le trouve-t>©n jKas dans le
Systetha naturoe, vni dans l’idifion dé Gmelin, quoique
cet qdïfeur autait pu ly plaliP'*d’ap rèsdllG riptiàn fort
exacte' que Schoepf en a donnée dans son mémoire sur les
poissons du nord d’Amérique.1
Cette description a servi à Bloch * pour introduire
respèfe dans son vSystèmeJ poSthume, sous le* nom de
labrus americanus.
Mitèhilï a*to.êntionîié: €è tabloïde*, d’âbord dans: son
premier "Essai sut ïhistoîïé dés poissons- dé New^'ïork,
publié en 1814*5 et eu il le considère 'comme d’un genre
parlifeulièr, qu’il çfcésigiïè'sous le nom de tautoga, -latinisant
ainsi le nom- Vulgaire des pêcheurs de Rhode-Isjaùd.
Le même ajtiteur^ en a--parlé-.ensuite plias au longi sous , le
rapport dé ses habitudes et dis 'difierentes observations
que les ^Américains ont faites sur un j paiSéçm' si conqu
dréux jiniafe sans mieux Signa 1er. ses %araetèMs zOôlégiques,
dans/*èdn^eahd.’»travfii: Sur les poissons de" NéW-Ybrk,
inséré dàns lé premier volume d e là Société littéraire'et
phriosophiqde de cette ville pour l’année 1815 . Il y place
notre poisson parmi les labrcs,. sops le moïà, de labrus
lautûgti, ^shris rappeler le travail de Schcepf , ni -l’emploi
quen aVai-t fait Bloch.
Ayant appris à- connaître les carac^èrçS génériques de
ce poîss&n', nous -adopterons , pour ne . pas introduire d e
noli^eaux nomsj ffiiui qüè'*MitchîinîTOkitJdéj# employai
mais Rétablissement du genre et: de ses rap^qi#ssévaHévi-
^Besrfhreip. , N * . vçp: ^gh. 4*n» JSaiut'fôrschf
f r ., Jt^VlÔ, J>. -i5,G. — 2.,Blqqh, édit. §çhnt- 'igrsl. voStft., i>% 261, ^n»4 80.
d em m eh t- n o t r e xenvm.L l^ o u s - a llonsi en ju s t ifie r p a r la
d é s è r ip t im i sù iv a à te v 1
Le corps du tantogUe. estilonige, comprimé et du double plus
haut de l?a vaut qüf (Je l’arriére. G est a u d e v ^ t de fat d o r a it qu’il
a le plus de hauteur : elle est contenue •^o^ffew'.'et un tiers dans
la!-longueur'totale; Lef profil des6eiiB‘"vèrs l ’extrémité cju museau
P # une enurbè a$sez des
r*yeux. Ces çrganes sont petits; le diamètre m’est guère -que du
huitième ou neuvième de la longueur de k..tête;:;qui ést comprise
trois, fois et deux tiers 'dans la longueur jptale du corps. On ne
distingue pas l^o,us-oybitaire squs la peau épaisse et sühs écailles
, qui|etrefeOwre.” 1 *
Le préopercule est grand, à angle arrondi”, à bords* lisses* eusans
-^aucunes-dentelures ; on n’y aperçoit point de limbe. L’ôpercumîest
larg% échaneré en arrière, bordé' partirne membrane épaisse, qui
ï%s%end atH‘ toutd’é i et sur l^sobs-.opeEGUle, ainsi que.sur l’inter-
opereiaMetTSur fe uia'efeire miérieure.
Les deux ouvertures vde fii narine -sont percées dapsde haut de
la joue, audeyaut de4?foeil; ,Lknt#ieure , qui est au tiers postérieur
de la distance entre le bord ïéatériiiùr de l’oeil et debout du museau
-est petite et-tubulétiSe; la seconde, est un grand trou ovale, près
de l’oeil. Le museau est très-gros et renflé.
La mâfehdiVe inférieure, est un peu plus péiurte que* fit pqririeure.
Les lèvres, et suriout celle d’eii haut, sont très-baisses; et n’offrent
que peu de. plis,' à la manière' des labres ordinaires elles sont
garniesde nombreuses papilles. Les dents sontfortes. et coniques,
et disposées sur deux rangs; les quatre antérieures, tant en, baut
qu’en bas, Sont les plus grasses, celles de la rangée interne lès
épiés petites : les pharyngiennes sont globuleuses comme celles
des labres.
Le surscapulâire est recouvert par la peau épaisse de la tête, et
qtû s’étend aussi, s ü r l’humérial. Il ÿ a dès porës assez visibles et
peu nombreux sur le haut de la tempe. L’huméral a la forme d’un
largè triangle.: