bord, et une à la base de la nageoire. La portion ntolife a ief tiers
inférieur rougeâtre , le reste pâle et domine incolore-Snr les individus
de la seconde variété, je vois la nageoire plus verdâtre et' des points
entre tous les rayons épineux ; la tache ntiire sur le devant étint
plus ou moins bien marquée. L’anale a une suite depetitspoints
noirs à sa base. €es points se-montrent âûssi' sûr la poitrine, sur
le ventre, sur la queue, et en plns grandil la'tète;
dont le dessus de: la*tête-est’brun. Ltaebaodeletîoe dé cette cduïèur
traverse du bout du museau à l’oeil ; puis elle reprend derrière
l’orbite et s’étend sur l’opercule, passe par' l’angfe et va finir lluç
les flancs; à moine de la longueur du ëorps. Le dessus de lai ligne
latérale est noirâtre. On voit quelquefois au-dessus de la limée
brunfe une autre argentée , mais qui; ne ; lai suit - pas aussi' loin.
Les nombreuses variations des teintés- àvPièés^-’jletïtsI
poissons ont suggéré à M. Riéso l’idée | d’en distinguer
d’abord deux espèces, et il en a méme*|plus tard établi
une troisième.
La première, qu’il a nommée
L e Sublet L amarcr
yCoricits LamaréJffi) ,
1 a, suivant sa diagnose,
le corps?; gris obscur,- y#rié de teintes durées et .argentées, et
marqué dé lignes ou«;de points rouges. Lë plq^.grand nombre
d’individus auraient lel'dos bleu d’outremer ; les £pte£ teintés d’au-
rpre ameuté, parsenaésde points .rouge-carmin. Les .nageoires ^|n.t
variées de plusieurs couleurs ; l’iris est doré} l’oeil a l ’éejatdu. rubis.
M. Risso en â distingué une première variété;; ; ^offrant
les memes fonds , *
• mais qui manque de points rouges;
et une seconde,
jaune doré, verdâtre, avec les opercules pointillés d’obscur. ■.
La seconde espèpe est
* Le .^Ûb» t4#ebpatre. 3
Elle a le cprps ver|hvarié.'deqaune, et la tété traversée pas' dés
m lignes, violettes.,Leivert-foncé*du diès,-passe au dorié sur le ventre;
a;deslnage©iim,jsont;.d’uni vm^éadre?;. les-yeux spnt: rouge argenté,
avec' l’iiB§j dorés. \
Il distingue, de celte vSecoaa^e^-eÊpèP6 t^pis variétés/
<§hez- laquelle le jaune'domine ;
une «seconde
^loûdeîV^ërt^étëifd «ut toikt®fêtcorps ; ’
et une.tmj&^pe,^1®
•’ qui’, offre i|n mélange aê toutes lés gradations du vèrt' ei duja'une,
sânsraiêSvïolëuès.' J
U a nommé ,lajtrbisième espèce ‘
; - - Son do§: es.t brunirÔuge jpfes côtés portent une bande longitu-
dimdeppsç aégçnîlS. If* ^a^e .^e la queue >ést. t a c h t^Vt- ;
() .couleur du do^ dépend de la -dispersion^de tachés d’un brun
obsGur, mêtéesjffl. d’aut-res^ ouleur d’outremer, sur un beau fond
-rosé.. Le, m^nc^ afgenjéjlây^dfevose qui s’étend* Sur la gorge et le
. se^ a r ep flâ ' tçintgdu m s par la bandelette argentée
et -rbsée. L’irïs est’ dorepleâ yetîx' ont l’êclàt du rubis, avec des
- rëlbts ar^âtôsfp'lesi'ûagéblréà jaune et de rouge. Sur
les première rayons de la dorsale existe une tache bleuâtre et la
I ri caudale ept ^,m%rquée a sa basse d’un point noir, très-petit. La tache
. ^3e la les femelles.
M. Laurillard., qui en a rapporté- de nombreux individus