conservant sous la Oaroisilrae défiomiîiation ’tifc làbrui lu*
naris, d après Gronovius. La figure1 de cet autour ^esfc
moijis correcte c©lle de Seba, et serait plus difficile
à réconûattre, s’il ne disait qiu’il a comparé sômindivrdu
avèl celui du cabinet de Seba. G’est sans doute par erreur
qu’il a dit que l’anale a quatorze rayons* mous : il aura
compté tous les rayons de cette.nageoire, qui en a tarais
épineux ^et^onze mous. ÉettÉfigiire' de Gronovius a été
copiée dans l'Encyclopédie, mais dune manière si inexacte
qu’elle n’est plus reconnaissable.
M. de Làcépède a suivi Bonnaterre et Gmeliii, pour
établir ses deux espèces de labre- croissant et de laBîe
Geilan; mais nous ne pouvons comprendre comment li é
été amené à ,penser que le scarus gattus, devait-être mis
à côté de l’oSphromèûe. Il en a fait la seconde espèce de
ce genre sous le nom iïosphronème ga i Nous avons déjà
fait cette remarque en.traitant de ce genrés(voyez t. VII,
p. 288 ). Shaw, copiant M- de Làcépède^ en a tiré^son
trichopode arabique.
Pltïs récemment M. Gray, viefit de publier une nouvelle
figure coloriée de cette espèce, dans les Illustrations de la
Zoologie indienne du major-général Hardwick, planche 9
de la sérié d ^ pôïssons. Il Ta; crue ficffivell#, et il lui a
donné le nom- de ju lu Harâwiehiip mais il suffit de
comparer cette figure ave^jios^difîerëns individus, • pdur
s’assurer de la vérité de notre synonymie. M. KuppeJ a vu
aussile labrus lunaris, mais il n’y a rapporté qu’avec doute
la citation de M. Gray. Enfin^ nous avons encore- potre
espèce dans le julis porphyrocephalus de Benimttnrendonne
dans les Procëédings de là Société zoologiqüe de
Londres. M
v Bloch a donné,‘sOuS lenom dedàbrus lunaris (y\. 281 jb;
une girelle d utf^espèce particulilpi^ mais qui éit bien loin
a è tre ,||jn in e il le scroit, identique .avec le- poisson de
Gronoviu§. t jNpus ^verrons; tout à l’heure de quelle espece
on doit le rapprocher.
Les 'Individus de la collection du Muséum n’ont que
séjpt pou#® 4e longueur«'
jÉ Iforster dit qu’il en" a vi^dun pied et un quart. Suivant
lui; poisson est nommé a LÎeilan’ par lés 'Gmgaiaisl
ds^fiiraU’rïrialu, et par les Hollandais p&pegaay'-’visch
(rpoissqn perroquet)* nom commun à'la plupart déilabres. I
Le Bas peuple dé cette lié'' seul lé mangé.'Cette assertion
est bieu 'oppos^è à-*sâi-qui à, été rappo’rte-a Fôrskal, qui
le donne pour un poisson très - Venimeux, fcët dangereux
même*par le; tact vvenenatùsimus ferurit v ç l lev.iter factura).
Spn nom arabe à Loîiafe^èst' dîk e t bâhr\\a mpg-
Jiàrred: M. Ehrenberg- dit qju qn lé oonnaijË ‘s^ siîe nom
de hassad à MasSuah, et Solander, fous, celui e pattu e\
pàafiii^ d ’Otàïti- j
JÇjO,. G lR p i.ia i CROISS^Ky.
. {Julis pzeniscus, 3 uob.} « -
La mer des Indes noùrnt encore une espèce très-sëm-
blàblé^à la précédente ; maifc
elle a la ||të plus grosse j le front plusbombé, le museau plus
arrondi, ce qui le rend plus obtus; les dénis un peu plus fortes.
Les fourches de la caudale paraissent un peu plus longues, et je
: M eôMpte denx râyoas’de plus t l’anale»
•D. 8/13 5 A. 3/13, etc.;