iin grand nombre de cas,fixé la synonymie existante,^ les
naturalistes aurofet bjen la générosité de me savoir gré de ce
premier résultat.
J’ai ppndantjÇe travpil ^ei|eçtiû^ipjç un peu les divisions
. xtXkis un "premier aperçu, et
j-’âi précisé les caractères; des erénilabres, en établissant les
genres,des cOssyphes, des -eténolabres ej.des aeantholabres.
J’ai aussi débarrassé les chéilines, dont je traiterai dans le
volume suivant et en retirant tous les Jabroïdes à préopercules
peu écailleux, mais dont le reste de la tefte est nmct la ligné
latérale non interrompue. Çe genre des tautogues sera^ ;jé
l’espère, considéré comme une bonne amélioration. J ’ai aussi
rétabli le genre cheilion, et marqué ses affinités avec los
malacanthes.
Les naturalistes voy^eurs ont ooûtiniïé à nous apporter
le frttit de leurs recherches. J$Ous devons de nouveaux
remereîmens à M. Gaudicliaud et à MM. Eydoux et Souleyet,
qui ont fait d’amples caMections ichthyelogiques pendant Je
voyage de la Bonite.
M. Gemaart, consul de feanee a Macao, nous a aussi
donné de nombreux poissons de la mer dè Ghine, dont
quelques-uns sont déjà cités dans ce volume.
Un des ouvrages les plus récens et les pins utiles pont
l’ichthyologie des mers du Nord, est celui que MM;- Bries et
Eckstrom publient m ce moment sons le nom àe Skmtdina-
viens Jiskar, dont les peintures, faites d’après nature, sont
d’une grande exactitude. Je regrette de n’avoir pas reçu
l’ouvrage, pour citer complètement à leur place la belle
figuré dxxlabrus berlgjytaj représenté planche %, dans
la première livraison, „eï celle .du^etenolabrus rupestris,
planche 9 , figure M^de la deuxième livraison, et de- Yacan-
tholabrus exolepts, planche ,9, figuré % La première est
conforme à ce que nous avons nous-mêmes obseryé sur . ce
çténolabre, et la seconde me prouvé que j’ai euaffison de
séparer le poisson de Linné de celui de la Méditeiiànée. '
Au Jardin des Plantes, Décembre 1838.