CHAP. X. GIRELLES. 369
blanc. Je regarde:; encore dessin cotnme fait sur des individus
déèéloréi de ?Ja même pspècê ; lé liseré blanc des
nageoires et la forme.générale me.semblent justifier ce rapprochement.*
Les ^individus desséchés,. trouvés dans les
collections ;de Gommerson , me paraissent aussi conduire
à^ce résultat. C’est avec ce document que M. de Lacé-
pèdfe, a «établi son labre demàdùifuei èt dé dessin a été
gravé t. III, pl.*6,'fig?
* MM. Dêsjardms^ ,J Lesson et Carnot y nous ont aussi
procuré de beaux exemplaires de cette espèce.
Jhà G irelée^-cercdée. %
' doUatus n ôb. )', t
^ Mais Commerson avait auks’i observé une autre espèce
voisine de- celle-ei, qui me paraît s’en distinguer,rJS
par des écailles plus petites encore et dés teintes moins variées.
Le corps’ est très-akmgé.
^M.üussumier^dit le poisson rosé* avec des bandes verticales
• *>rè’ngei orangé. Le ventre. et;;le dessous., d e la gorgé blancs ; les
i . opercules’ doEé§,;ayeG Une petite. tache’.nôire à l’extrémité. La. dorsale
et l’anale blane rosé avec des lignes longitudinales orangées ;
la caudale jaune clair; les pectorales ont une teinte plus faible.
Selon M. Dussumier/dë. poisson, rare à l’ïsle-de-France,
s’y nomme colombine. H'MaSif très-bon. J’y rapporte le
dessin colorié que Gommerson a laissé dans ses manuscrits,
et qui représente le çorps ro&é avec rvingt-trois
bandes^ verticales rôugo plus f o n c é ^ t tontes les rnageoires
jaunes, sauf les vêntraJes^Gë^dessèi est devenu dansLacé-
pède le labre cerclé^ il l’af fait gravéf t. III, pl. 6, fig. 3.
Je regarde aussi comme de la -mêmé espècê le poisson
$3. I! ■ * * I A , ■ • là V- "4*7 "