50 lïvre*xvi, labr.oÏues»
être, comme le cr<|it 1SÈ Cgjicb*, une.'varié|P'de la gir,ellé
ordinaire ( labrwtÿulisj. ■ :i
, MM.'Fleming!t J‘emyn's|çnt.intrQçdtait cM,poisson dans
leurs ouvragesÉs'ous'-ce m,êmen^)çi de labrus lineatus; et
1 Æ.-Yarell1 qui ne me ^paraît paâ^ayciir copié, du moins
fidèlement^la figure de Efe»novan,M{ comme.dl le,déclare
lui-même, donné cl^teespeoesur l’autorité deGeuaturaliste.
Noaks leronsI||fiser.ve^ que «p. ne peut être ,^eojume
j|ÉÊÈa^ell l’â. cru, le labrus psiitacjis de -B^o «lequel ?est
p risse L%ejpède, et n\est* autre que le labrus viridïs dp la
M,édr|erratiie ,,et to u t-à -fa it distinM^par-^ formes plus
a l ^ ^ $ . ï i ‘ont touS‘ CQpmly§inombres de^DapsOyan', qui
sontlcéux de poSfedifférenfës va,riItés|de;ygrèilies., sans -faire
attention, qu’il tâÊS £U.-cfkamemenfc|grreur de- sa, partfe®
attribuant finit rayons-à la ventre^ède»ce labre,
dont que-cinq, rayons-mausravese’le^piemi^: épineux.
Nous avons reçu? de-Saint-Malo des iéeilles qui sç|ri’ap-
portgnt parfaitement, au poisson de^Efo^van,* sils umsont
pas des variétés de notre labrus^) ëTgylta^'
- Qustut au Urêf$:€&rnhetfàe Pennant®, nou^tevuns ici
faire remarquer que cette.-espèce' est encore trop dffiteüse
pou* être introduite dans.un ouvragé de la naturé-de celui
que nous écrivons* ïbnie&t pas dabord-certain quede poisson
de Penûant-soit l&comber de Iâgo% qui tta it un petit
poisson rouge, à corps Ypeu près semblable 4^nos^M>rMf
H| Jiritt.:fish., p '37^. — 2. Pennànfi Bnt.Mâoh, n i, p. 5-8-,
S. fiai, p. jffijjPP ill
pR^P.. I. -LABRÊS. 31
miætys^ovc Tâbrus trimacitlâtus, et dont il nfa pâs?dppné
les nombres des |rayons. ^
■ Penna'ntva^ cru lerêj|ofiîiakrfi dans un poisson rouge?, à
yeptfé jaunâtre, aveu. une% andéyblan-ehâtre'ou argentée lé
long--des flancs.- Il comptele^Vra-yons âiiïsi qu’il suit:
nombres qui, le rapprochent 'de ;nos|^ieilfes^p
La %ûfte de pennariti^ lité^ébpiéfpdans; l’Endyclêpedie ;
Grueliri/Lacépède.otfPadoptéàejabrm cômberj^eh, ce qui
eHip’lu^^ubeux, les auteur^meS* (Faunes anglaises, qui,
sans l’avoir retrouvé-; - l’ont’sigoaié lcdiS'm,.e une espèce des
pojtes-sdfe^eé^pays. Ainsi Tùrtorr, àFlerùmg^Jenyns l’ofit*
nommé*'dans,.leurs ou®ra^èsi „M. Yar-ell a même „reproduit
Urfènouvelle copie de laffigrjÿç de Remaantymais ce-savant
^èst' appuÿé.sd ’un é nouvellë%utor-ité% puisée-Mknaîles ■ ma-
nuscrit'#d& Côfich.
/ "Quoi qu’il en soit,’j^,est toujours un poisson pemccmnu;
ft-qui-,ilorsqu’il le ^séra miéfixj rentrerS^assi^dîàis no§
Viâriélp8^ïd:es^ vieilles „ûômmu^e^^aiusi que Mi Cuvier Fa
déjawdi-t dans une -note du Règne animal.
; Xer L ab re f-ViARi-A» * ‘
'\îjabrmyhîbcîus, Art., Linn.),^
Je-kpaS6e maintenant aux. eapêees cammunes-è l’Océan et
à-lâ Méditerranée-; -etïije vaiÿcbmfiience-r-ipàr mné .ides plus
^bandantes sur Éfêgapi tes/quûa été cependant mal connue
gt mal carac^crisée^jnEqu’à^eé^iOur^quoiqimiles;,différent
ichtfiyT)lo|is,tes, postérieure À Willugfiby, lui aient chacun
as^ghé un nofii- spécifique ^chaque fois qu’ilda reconnais