^tpr©ëmi*nentes^I^^itk|te que Pline.ajôufè âu mojt îàfapus
mè e^nfirmeipas cette cqh]eCture£ qui ^ailleiïrs est^cô’ntrairç
au" selfs Mtàché à^Cefhùlfqoar tous les grammai^lens.^
„ 0è imm.në^e ^ tro u v é dans aucun dateur ancign-, cct
qui porté à ctoire qu’ilfétait peu oisifé / et qxte, p^|4êtee
m'êmëintaginé par un po’ète, il n’ÿqamais désigné une%pÈJ|e
narriqulièfe. £
^Qùhi qu’il ^ fo itjfeÈ ip lo iV ’eia afaitnCffedi J ’a^pnsïcre
aujourd’hu%eri^iOTthÿologie(:t il' s’app'lique' à désunissons* a
1 èyfësg|» ss e ^h aîu ü ëg , proéir^fetes^plissées,, qtuarft tous
des ra j^ o ïts^ a rq n é s’entre eux, q^qü^connsposent clmis
rio tre^ysfèm étuhelfamille àdaquelle M. C u v i^ ^m pp$fn.ê
nontde LahrbïÉes. Le^n re ,q e l^ ^ ’Artedi l’avait entëndu1,
c.Qpiprt:n^t ae’sTpoiss^ons peupla plupart delà Mécpteïranée,
q u l a membrape b r|ûÆ o 9tè^.^ôutehue "par six
rivons-; âeg jleifts fortes^ux mâchoires*, "des^plaques Ôs-
seu^ef^et* cfentegs IJÊk ncgîibve aux pharyngien^
supérieurs, ét d*unb seule aùx inrerieÿiçsjpllrlangue et le
palaisfliises?$ Pes*Mvrè's éjlàiaséi-ret- charnues;/ reepuvrany.es
dents; les#r-ayons de la dprs^|e de nature épineus#ët molle,
et la membrane qui Réunit les premiers ^paold’qgéÿ erî" filet
ch a rn u ^ r^ dÊ*la pointe de/chtque épine; enfin il*ajoutait
à ce® ;jca^t^les*Jabspÿee * dàppendicejTpylopqüe^/. e t il
faisait reifiarquer{que Ip ^Rps7;était cbuvertrde grandes•
écailles lisses' et molles.
ij (Qe genre comprenne neuf espèces, qui toutes, sauf la
huitième/'étaienthiss£Z'bien*ràjprqohée^ l’une de l’autre
pt)ur#composer un^jgroupe naturel^ La hnitiènm, a la vérité,
n’a aucun dé§* d ira c tè ^M p S plfis haut, et '!Àrte®ne4ÿ
J. Artedi,LLèn. XXYII, pfS5,'
a'introduite que par une êonfusion, dont nous avons déjà
• parlé-à farticle .du se^rc^ü^hëpâtus^ M
«SÆenombte des espèces semble âtiginenter, dans la synonymie
3 *; mais,déjà l’auteur sécapt-e des caractcres, qu’il a
posés pour legenre labvn^j ainsi sbn L a e r u s totus r^ibes-
cens^ caudct bifurca, es Wellcome- uu de nos serrans3; «le
Ijk^tv^ pulehrèi^ vmrëus^ptnnù ppctoralibu§ in extrëmo
rotkndis,f est reproduit une^shcondé fois .dans son L abres
rostro supsiim feplexo^ çauda in ê ^ tr0 io^pir^§ulari ; et le
J ^ è ^ ^ d k pw ^ c ^ i^ ^ i^M L p tE rà le ^ ^ t niwr€Kpjamjis;^ n’en
est peut-ëiÿe.*encore qu’une troisième répétition. Quanta
l’espè^tby§ ) qui $sfe-i£ë$0nue telabm&$'tç)n$cçdus dè Linné,
il és| fort dîfp.ëîle de là reçdnnakr^’etjelle nous,paraît être,
P ^ l’entâlseinent des synonymes qui* jpsont rëdnjsj fin êtje
imaginaire J®qui par sa’CcimcCfi’istique s&ule poûrrmt#4trë?
rapproché’idu labrus n i îo , deTCnti le labrus mixtus dh
Systemà nàturoe. p
Linné, 4 ès sa dixièmejté^ition, augmente^beaucoup la
confusion comiûencfie par Artëdi; aussi nbus retranchons
dëfà un plus grand nombre ïd’eSpècés des labres de Linné.
Il en mentionne quarante, parmi lesquelles nous avons déjà
signafê plusieurs pereoïdejP pus du moins incertains;.ùn
sciénoïde wisinÆes prisfipomes «pb des h émulons5 ; un
autre; qui appartient probablemer^ à la famille del poissons
à pharyngiens labyrinthiforïn^6, mais sur lequel nous
naÿpns encOTe que dèssidees for^ ineertainesw;
1. pajvf.; Va|v, Il, *r ?•' üfltoâi, 55-
— S. t * J.- Hy ItftiïïW anthias; Labrus
hepàius; LàbVui auntus ; Labrus 'Giùi'zai Labrus föUiiSjr*£- 5. Labrus striatus,,_
6. Labrus opercularis.