J|-5g LIVRE XV||^LABROÏDES.
5son| clairement marquées, et cependant M. Risso n’en a
'paç^fait mentidn dans la des^ption de son crénilabre
noirâtre. ! * ,
IP C rénilabre a ; sou b ç iis x> or^
{Crenild&rns ehrjsophuÈ, Risso*),
f M. Rif% paÊe^encom d’un crénilabre, voisin de ceux-
é- i et que ie^n’æi ^ r e t% u v é dans les nombreux individus
d e la x p ll& c t io n é u Q ab in e t d u Ror.
Smyant^et auteur le epfp|§fepv^aire, d’un ^ a u vert pré um-
( forment sans aucuns t a c h é e desspu#*st argenté; la.bouche est
Mellftre, armée de dents amSfcrieures plus %®?s5<ül% bamje durée
cdîoBg le sotacil; touteslés nagëpires sont vertig^fe tache delabase
* '•fies pectorales est d^couleur verte et f o f c é e .^
I. ^D. 16/KU A. 3/8; C. 14; g*&4;
~ La femell? seule aurait , selon ]V ^ R i^ o ^ n ® c |d ||a e h e sur le
r bout dé la queue.
i Î A f i l e ^ ) * n est de quatre ^ c i n ^ pouces* Il
b fiS q )a rm i les ^ c h ë rs , é t||e montrPfen plus grande
abondanfp^suï dOetobr<f.;
L e CRÉNIEABREDE BAILLON V
^f^&eûilabrus BçâUoni, nob.5)'
> J;’ai?ecii de la b#ie de S a iiM a lé ry ^ rè s VemlîBuchpre
« 5 la Somme, par M- Bâillon, un crénilabre qui a gnçpre,
une tache .à la^ba^e de la pectorale ,.?;et dont
.. le- ç o m est assez semblal# à Æelui <te »pîre
hauteui«tût le tieil^de la longtiur du corps, la cau&le nOfi com-
> prise, et qui est c o n n u e huit fois dans la longueiïPtotale. Laatête
| plus’ çourte que la hauteüriP bouché est petite; les dené sp»t
> éM è s, sur un seul rang.
D. 14/16 ; A. 3/13, etc.