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iprps. Le bord é s t / n ^ ^ ^ j i ^ é le sous-opercule et l’iaïeroperculp*
Les. lèvres J ^ rtt.épaissesï\mais^^n^pfeueri dgssaus. Les six dents
du /nilieu sont .assez, gçosÆ%, efeA^mchues. Les s rayons intérieurs
Üe ïâh-dôrsale sont bas. L^nageoires, sont arrondies/
D. 18/1 Ou *
- Lesrécailles sont'ilissEs,^ Mssgzi. émisses;, peu grandes ; j’ieii trouve
quarante-six entre l’ouïe et la caudale, six,’ âia-dèssus de la ligne
latérale et dix-sept aü^desëousf tü n p 'faille est plus longue que
''"hatite'et-n’a tjue dix à 'à ouze ray;0if^a l’'éventail. La ligne latéralésd
courbe Arès-peu.^^^â fin de*a^dorsale.'1 '7
La couleur du poisson conservé dans reay.-de-vietesj; un brun
plus ou lïfôins verdâtre^ ^%lej^ueljOni^^t^^ principalement sur
les nageoires, des teintes\iolmei>. La dorsale, semble avoir conservé
de petits oçe&sfpms pJdeVqùë-le ifmtaî/'
Mitchill,1, qui l’a vu frais* indiqüe^pfésqtiOdes memes
teintes’: un fond bleüâtre passteïit- au veriy des-opercules
plds ^erts, ainsi que l’anale'nj^fè^^entfaies 5 ^quelquefois
le d<aSi.€St nuageux et variéf de .tacites ©rangées,du’
G’èst' un poison' qui atteint rarement plus derjhuit
potïê'ed. Ifa d a vite très ^tëdàcey*-toi dme quand7 il est hors
de leau.
^^îesï'’ le bergalî ou le, bluefish des pêcheurs de /Sfèvv-
Yôrk, le chogset des Mobegans. Il vit dans les mêmes
eaux que le tautog ( taütoga nigrà nob., 'îabrus,\tautoga
Mitéhî§
A |H riom de bergall nous a fait retrouver le làbrus bur-
gall de BlÔcn f1 mentionné "pàfS ehoepf dans le totaéVIII
de$ ë^Mts deè üatutalistël^ao Bérnn. Lés ^ombrë^sont les
mêmes* -
Le docteur Mitchill cjte une variété renfàrquable de soin
î. Mitchill', Phil. tram. ojfWëw* York, yol. a , p. 4o3, plV3, fig.