Ce poisson no (dépasse pas trois pouces." On le trouve à
Marseille et à "ïfïhte:r **■
J^e ^ énilabiieVrlj^u^
àv ( Ç r e m ^ im s ^ ^ u l e u S y Risso j 31 éJijR, pi. X | fig. 3 *
Nops croÿons devoir rsépàrer,- avec M. Risso,- un^ffëtît
poisson tout aussi abondant que le précédent ^ dahl la
Méditerranée, mais qui nous, pâmît: avoir n
le do'rps plus doiïrt,"la haüteur n’étant que tmis fûTs et demiêdans
là longueur totale) l ’o<ale dii corps pluà"ré*gîiïier;.le museau moins
obtus j constamment seize rayons epineüx à la dorsale.
"... mJËÈÈàiËÊÈ^ .ptc. 11
~ Les couleurs sont plus claires : c’est un brun unifprme'wsans jélnte
. bleue sur le dos. Le trait soùs.l’cfcil est peu marque ; ;la . baset. de la
caudale est d’un, beau jaune, qui tranche vif et net,ayec le-noir de
la moitM^externe de la nageoire, laquelle est. libérée.de:jaunâtre;
la pectorale n’a -jamais de noir ik,son extrérïiité, mais o,n vfijjt àj sa
base un petit trait plusj ôu^moins elï’acé.|‘ÿ-
Sur le frais, Mi-Risso le-décrit comme ayantle' cqrps blèu céleste,
irisé par une?infinité" de nuances d’Outremer, de fro^e-^ de .po’urpre ;
le ventre est' d’un aurore tendre ; l’iris d’ùn^ose brun; les nageoires
• soptbleues; les .pectorales.e lle s vfentrales'très-pâles. 1
1 liés nombreux' individus que nous avons reeus ^ e Marseille
, Hé’Montpellier, de Toulon, de Niée, n’ont que deux
poucgs. J, deux pouces et demi. M. Domnando vient »tfe
nous en envoyer un d’Athènes, qui a Irois^pou-Ces, quatre
lignes de longueur.
La femelle fraie- à la fin du printemps. On voit .cette
espèce apparaître parmi les algues marines en Mars et Avril.
' LeJ> (qftÉ»EA®lp.j vi®® irpwfi rbi* i
( Cr'enilqBrüs dhloroîo^^üs, Rîssb1;)1*^ i
Je trouvé^daps FIcht^^lo^^d^ÀÆ^isgo (2.eéd., p. 3.1^,
pl. 1 a4 7 dt ) ÜP crénilabre
qu’il avait mehtîbnn.ë /avi l i la "même fpitfiète paçjpi, les
lutjans.-^ Jçi première. ëditipn^êt que je'n’aj pas vu dans
les collectionswdu,Oabinet durR
, Lg cqfps.est vçijdâtre, nuancé ? de mug'e^ar^yer^^Rèpetites ( li gn.es
obscures ^avec une tache boire"sur Ja-*WQlrfioU*dot^àle de; Ja queue.
L’iris’ès't vert, à cèïèles-dbÿés,'lês%^ageoîres«aiiéest;!ua dorsale
parseméei de points .^ojrgjes., l^4cau^k»Æpayèrs^kfl’une|b^nde noire
_ àntëaJhase^ et pointillée »dè.rouge.
' " D. Ï ' è / A r \ 1 "
r Cette es^èéd se âoïûmè iàtisanèiÈ^ qm^pr-bn%ë?'<^ue
lés ,,^rêèKé\ïts' là ‘ fcônfii)fiden?0a^é^f"C¥ëniiabre^Roissal.
Elle me paraît cependant ne nas ifi^ ^ ll^ e h ir J^loUtefbîs)
sïO’ôrr comparé %s Jî|mfcés-dtS^deux ëditiÔiisMé’ l’ouvrâge
de?jlissO j^on vBit qu’élféS/Sont as'^ez diff^renlêl^our que
l’on pfiisse difficilement conclureJ rl€h de^pdSitif d’après
ces udo cum en$:^i,
Le CS;Êÿl LAR-REj jAjS.(^lèiÉ.j) j‘_j{
( Crenilabrus arcuatus, fiissü})3té
Je n’ai ' pu rapporter à aucune des -espècès'Mifp osées
dans le Cabinet, les caractères tirés de la description que
M. Risso a insérée, sous ce nom > dans la seconde édition
d e . sb,n Ichthyologie. ,
Le dos dé ce poisson est coloré en pourpre obscur; il est moins
foncé sur les^ càtés, plus clair sous gorge ..et le ventre, qui