le préopercule est large; tout le bord vertical et son angle, très-
arrondi, sont très-finement dentelés. Le lipbe^eul est sfns écailles,
mais tout criblé de •pores. Il y a trois rangées d’,écailles derrière
l’çeil et cinq ^n-^®s,oqs sur .la joue% L’-opeacule, le sous- opèrcùle
et Finteropercule, sont écailleux. Les ouïes sont assez bien fepdüÉ.
La membrane branchj<pstège a cinq rayons ; elle^est mie* et réunie
à eelle du co ff Opposé pât' qïi isthme sapS écàillèg’ êt assez large.
Les deux ouvertures de la narine; sont sur de déssiis' dë'la tète,
distantes l’une de Fautre : l ’antérieure est entourée ‘d’une papille
tubuleuse. D’ailleurs, tout le dessus de .-la tê.te est, commele’isous-
orbitaire, dépourvu d’éeailles et percé d’un nombre assez- Considérable
de pores; il en existe aussi sur les .côtés.1 1
La pectprale .est insérée sousrFangle membraneux de l’opercule;
elle a son angle supérieur et son bord libre arrondis. *'
La dorsale commence un peu en arrière de celle-ci ; ‘la pôraoù
épineOSe1 fât frèS-basif : la’mollé éSt üft peu plus'haù’te ; les rayons
simplës de l’anale sont plü& forts et plus hauts ; -lia' caudale !èst
courte, à bord légèrement convexe, et a moitié .couverte d’écailles ;
les ventrales sont petites. •
■ ■ B. 5; ». 14/10; A* ^ ;,Ç . lë? J. 1/5.
Les écailles sont très - régulièrement disposées en séries sur le
corps; j’en compte trente-cinq entre l’ouïe et. la caudale, quatre
rangées au-dessus de* la ligne latérale et douze en: dessous : chaque
écaille est beaucoup plus longue que haute. Sa portion nue est
couverte de j&ries concentriques très-fines;.le bord radical est droit,
non creusé; iFy a quinze à seize rayons à Féventail...
La ligne latérale est tracée parallèlement au dos par le sixième
environ de la hauteur du tronc; elle s’infléeliit sous, la fin de la
dorsale, et se rend à la caudale par le milieu de la hauteur du
tronçon de la queue.
• Nos individus conservés dans l’eau-de-vie. deviennent plus ou
moins pâles; mais la tacite noire de la dorsale et celle du d@s de
la queue sont constamment très-marquées.
Mïiller et Linné, »qui Font souvent vu frais, le représentent) d’un
gris plus ou moins verdâtre, lavé de rougeâtre, avec plusieurs
bandeïverticales pliis foncées sur les portions inférieures;
» et dix -oq ^Q^e.ligaes^lpn^itu^io^les et paral%lff,:d’un
lçlqng'Cffel^yv^sH n y ajpag d’autres» taches .sur
■i ^ d c p r ^ t e r i f l l q u e s ,A j j’ai déjà signalées. > !
* ; ,ite ffi® ^ t Jritue nre^ue en'uV^râent ^<ns.3e cote' gaucheàou il
ƒ s^ 'FH oïf | | eïl ün%%e^png^tpbihtul; ü^W'iônôâvç; en arrière et
“ * ^couvre ^fèè du canal* mtëstîttalv * *
GMVéiil ^êèsdpb^leïillI^eriârd ^ab®^' daWdé côté-gauche“ au-
dessus „d^f|ig^ et^|p^>rjjer jusqu’à- la. pcqnte de^Son lobby il «é
, courbe, remonte, dans -Je-creux d u /d e p u i s se courbe et desdend
i| de'nouv^ân:g§p^ reyeni^ Iq en t^ t'^ l^ g de,1a première ,arise; il
“t^ÉËre'B;F jÈ,.y e,u iaisau^ujie smuosité et en se dilatant un peu,
anuS,: *'
Li e>.;jy^it'nire> êstmlince ,‘are/Itèe ët m om in ^ d ^ ^ ^ e i r e
b\dfsw'rëbiMbr^il'1 ’
Nous c ^ ^ 1 f is - 'c ^ i^ “fertèbrés;’a;bdomïnalés et dix-huit caudales
» à la colonne.'vertébrale. Les ’ôÔles^ilït Vjjéèfe-1‘et petites. Le
dessus du - crâne , (est; arrondi . H n ’y a point de *$arè®s-Hrans-
^ dans laquelle jouent JteSnmfermaxillaires.
' WHindividus wriënt de trd îs^ cm q
| en avbns de iSaint-Mâlnÿ^&r M. Ki-e^er^ etiéef
e o n |^ |||,|d»nftes^^.pahiitei du Roi par
M. Àle^apcLre Brongniart.
Müller lui donne, comme dénomination- iotlgaire les
nomis-Je. raatte, berg-neppey strand-karuzse , ' haw-
karudse,, sôe-karudse, et tons les auteurs -de cés» Fauües
du Nord en parlent comme d’une espèce commune sur
leseôtes rocheuses^ '
Pendant que j’imprimais ces recherches sur le labrus
rupestris de-Linné, je rerôis par l’obligeance dé M. William
Thompson , yice-prçsidënt de la société des sciences
naturelles de Belfast, une notice sua: les crénilabres de