' ■ g 19 7.
; La bouche- e s t,extrêmement-f,petite5 mais elle peut? s’alonger. en
un long;tubeipar. la" protraction ;desj[ intermaxillaires/,, dontjles branches
^oût très.- lon^uesv^L’ohfgçtefleaest sémi - circulaire, les deux
intermaxih'aijîes^etant>',réunis? en déi^Jte'ejsele.îLa lèvre supérieure a ’
îfrès - peu &él?épaas's^p^' est-très - adlé^enite'. à -l’os ^,dôht? la : branche- H
latérale-n’a quë quatre'à cinq petites délits-conmu.es'; la mitoyenne
beule - eS#h'éWontde'#^l'èisêulei dépasse up p^^lkfellèvre , et peut
'■se voirifacitement ;tl^,autr es, Ükentent am trenfeherf corn mé de petites
aspérités,1 Quand la^mèhoirê â^Bïeurie^s’abai^'esipodfe. ouvrir le
bouche, la branche» hoiâ'zontaleiâe'hin termaxillaif eÿ^ule'se,dé tâche
d uvbordtdepâvvô4te'.destsehsî^bitaiÈes^ tp-bén ne|voill pas'du:tout
les maxillaires; mais*^id'é^ieiment^gMes^qpi^todiioh-fait sortir le_
tub#entier. dteda*'b§»udhe‘iv(M^À^ôi^e^?ÈrannhekJto ohtan tes* dans
toute- ÏM^jfengueürÿ- elfestjjouent.<sbnsi la peaumue^du ».devant du
museau ; ellés,remontent sur/‘l^ ctianet jfeq^ÈMa^autëurmu éailieu
dé h@rbite.Le maxillaire semoirtre aic^f^ffenneliMe Janguetle-plate,
arrondie* pari enMbas, mincevéïriun tp®u^e©urÈpfe§i pour s es? cacher,
entièrementîdaiis larétra-ction; deda.bouche||^us',slté|so,îis.-fOrbitaiTet
La mâchoire » inférieuiîe, qtfiamne lèvEe’ÆEèsiépaissëïeti.ét^lu^flUs
elle-, a deux dents mitoyennes korbf^ntales,, un peuphtSi fontes, que
les deux ou.tr’^ g autres, extrémement"petîtes|Fqiai la suivent, Les
branchfes’-horïzbntales/îsont' portées 'assez^ïdin lén,æÈrièg.e-; elles;deviennent
larges?, et: ont un arhcolairë 'assez> grand, qui:sbrt; à faire
basculer-les maxillaires ettamremen.î&^&jit4éf intermaxâ?Haires.< La
langue a.de .làilhièrtéidansskint'érkur.dé 1 aîb6u©he^l|^iest*pointue
et lisàe comme le palais,
Quand^les* râyons -de la. dorsale sont, abaife^ésils .-sont toutià-fait -
cachés-par les éGaüles>dei4^frâ^dépa'nageoip,iqni' ne-Lont Pas
cependant une large gouttièKé^c^p^evçelle Jd®8» sgares: Lès' ridons,
en se redressant, entraînent' et relèvent; a>y4éc eux,lèsi,éeàil]es qui .les
recouvrept-jrla snâgeoire devient,to»l^at-fait,.écailleuse;» oh.ne voit
que la pointe des épines*? efeune plus longue.,portion d e s^ y a p s
articulés. La lopgùeur dessayons, épineux augmente^successivement
r du, p-emier.au .douzième ,>• puis* les ^enx:»pyemiéns^.rayons mops
s’alongent un peu, et ils sont ensuite dépassés de plûs du double