Mais fe^B’Éfeaüe
’âtyec'le labrus cornubiüs; de Ray, qiû e£t si facile à dis tin gue r
par sâ taché noire sur l^deyant de1 ' s a 'd b rs a e t stir le dos
de Ja queue.’ *
Le Crénilàbre ver^ atrE. .
, ( Créhilabrus nÊfrescenSj nob..)4 ,s
Le pôisson que RioGËf a donne parmi sgs-luljan%. ê tv
qu’il tetiaiid’un marchand hàmbourgeoi.3; mië|?parak assez *
voisin «du labre ‘ roue d’Aféahius f ed/el^^ous ceux que je;’
mentionne ici; mais jç‘ crdis devëirVeûdorëie -cen&idërer
comme d’unè espèfè® ^distinC^.^' '™ *
L’enlumiiïuÉè de Bloch le représente jaunè’iveraKtïe su ri^ dois/
argenté sur le Ventre, rayé d’unè’douzaine de lignes fongituninales
roûssàtresi; lès nageoires àoftVvèrtes, aVè’c deux ‘mies’ rdusséis lôngi-
tudinales sùrda~dorsale^et surtl’arfale : deux* autres, verticales, sur
la caudale. R y a aussi deux trails obliques’" sur l^jqûe.ët,so.us l’oeil;
mais pTôifît clé tâche noire ni derrièrç l’oeil^ ni sur le^.oôtés de la
' quêue; '
Voici les nombres de Bloch : -
| D. 16/9; A. 3/9|C. 16; P.12;*y^5i, |
Ge nëqaeut être le labrusmeiops, VïLest vrai qui! n’y
ait pas eü' dé tache noire dëînèré rêëih Gè réest pusk non
plus.ïë corkwiiig de M. Couch;'’car il Vy a p'âs^dé taëhe
•à la queue.
Il n.e peut être aussi de l’espèce du crenilabrus Lono-
vàni, qui a 4es bandes^verticales sur le corps'ejsur les
nageoires, une taché près de*la queue;/ét mêmé^errière
l’oeil, selon M. YaréÙ. Il paraît plus voisin d’une espèce du
Pallas, dont je .parlerai plus loin. -
J. Lutjanus virescens, Bloch, a 54-
, Let, aS-re B rûnnich.
W '( Crenilabrus Brûnriichii; LutfaniM Brünnichii, Lacépz)
* T^coté d& ces^espèjggg a seîzè rivons épineiix à l{a’ dor-
sâlèÿ et si' varîé'e^danar’Océahseptentrional de l’Eulôpe ,
il faut placer;'aussi plusie ursrp o’issoiis a hbmbreT égal d’é®
pin<^ à la ao^Sale ^ et qui-? sjgdistingqent cependant du
■crenilabrus melops par dés caract*è/jss^ tirés de la gquleur
ou .quelquefois *sde>ieur§f*;deEL|pM-,
i Æ è l est- d ’a b o r d ^ e ïh i q u e jeygçpgar de- 1|om m e X é l u t j a n
B r ü n n j c h , ; que: L a e ép èd e avait tiré* d e Brikin ic h , t e t-.qui
m e n&raît aussi le m êm e q u e Gelüi' n om m é par B lo c h
(■pi. s f r , fig. 2) Jutjamts bvdens>
Jt"cauSè'- dê; la saillie- des1 deux dents-mitciÿferines -deda mâchoire
supérieure, qui sont "plus foftes que les autres Æt dirigées en ayant.
Ce pMsson a du reste J’â. forme de notre crenilabrus la p in a , mais
a.v*eç 1%’ mjaseaü, uh peu plus court.
D. 16/9 J’ A. 3/9 , ete.'..;
II se décolore toat-à-fatt dans l’esprit de vin* mais il conserve
une grande; tach.e n.oire ou Bleu, foncé, -æ* la base de*la pectorale,
qui le faitvâisément reconnaître. La peau du sous-orbitaire est^ûssi
^colorée en bleu; et les trois nageoires verticales, et surtout la
caudale, sont îpïquetéês de-petits points toujours visibles.
S Lé poisson vivant'est jlteint de couleurs agréables; nous pouvons
le juger par lè-dessin que M^LaurilIard a bien voulu nous donner.
Syr un fond olive, qui passe à l’orangé sous J,e ventre, le corps est
rayé longitudinalement par treize lignes bleues dû plus bel outre-
• mer ; quatre traits de même couleur passent en chevrons sur le
dessùs de*B tête, et un' autre, formé un ’ëejcclq s,qr. la tempe. Une
ligné plus pâlê travefâe çbliqûcment de l’oeil ;sous la mâchoire
inférieure. Le dessous dé la ^>rge est bleu; le devant de la tête,
sous le sous-orbitaire, est olive comme le dos ; la dorsale-est jaune