28 . 4Êtem®àiÊUÿa.
distincte* une^feriété de notr^ÿvieille, dont nous Allons
parler tout-à l’heure..1, :
M. Jenyns reprend le nom de Bléeh et donne une. fort
bonne’ notice surMcette espèce, dont une partie rire- paraît
prise de^xcellent-ouvragflhque jjpai tant de plaisir à consul-
t^p ç e lu i de M. Yarell, qui veut bien m’honqyêr de;son
arfiitiéÆa figure;de cet otKH’ageg me paraît avoir la dorsale
et l’anale' un peu trop pointues; clles^sont • toujdurs plus
arrondies dans les1 poissons de-ce genre. L’espèce ^ “conserve
le nomfânglais ballan wrasseyet la synonymiest conforme
à ce .que notfs venons nous-mêmes d^co.nsigrfer.
La vieilljL fraie en Avril, s^hpurrit principalement de
crustacés,;se,,jAent.sur les côtes rocheuses quand elle.a
atteint son emmrte croissance /elle-pèSe jusqù^à cinq liy^s»
. Elle s’avance vers le Nord ; nous la trairvops^citée dans
la Faune tlanoise de Muller a, sous lçinom de> labrus bei*g-
galt;
Quoique Linné n en fasse pas mention dans son Fauna
%uecica, nous la^trouyons'« dans, l’éditiofède Biet'èjus3. Ce
zoologiste lui donne fe nom de labrus aper; Aiais il le
reconnaît pour le-poissofi décrit par Ascanius^jt Müller, et
même, pour*le ballan de Pen-nanL ®
Gn*en trouve aussi aux Qrkney, ou elle prend le nom
d e bePgill Partout elle est designéetcomme une-nourriture
agréable,
L a . VIEILCE VERTJE.
( Labrus Donovanï, flob. ; ‘ou Labrus suMkis, Linn. ? )
Nous ayons regu des mêmes ports de la Bretagne d’autres
l AB mes. 29
ylàitles jffhrilâMp nomade C'beiüe Wèrte^ dépassant^ aussi la
ikmgueuri d’un pied,- a^ant lesmêmefe-TOrines et les mêmes
n,ombies de raÉonsill la d orsale, et que llPjâeGheurS désir
gnenf| par déflnpms particuliers y. fi tés de ,1a couleur des
individus.*«,^
h ■' Leur yieiilfé-"verte a la tete, le dépÉ; les^nl&sbires verts ,1e dessotfs
dtflâfgdfcgê 'jaunâtre flelv&nfcrë-bhvâtrê'.‘tlf& pâ|ë’d’e^dè*és. élau*s‘êp^,é
. d u «fran cei d 11 .yd©s .par mH^ -handehfeptloBgitudfaaal&,.-argentée: quelques
rivulatîons blahches cou^anmt sur lajtgte et-^ujr le v^ntre^Les
cpü-l-e^rs sem^rerahBèrannf f>^hgCfiSU%^adét&ld.u\touiid de la,Médit;
^ terranee m a|nes nombres des .ray dn3^distingu%oiAjfacilement,-ces
' deux poissofts. J
^ u ^ ^ ^ w ê r o n l^ ^ S e ^ ^ iu e DÎln rej^seméfr par Doiibvân \
* sous !ïe nom de mbfus^hnhîztys rirlaæeint en vert, pâli sSaiW veredïr
« bas' d^s^^etÿïelVentée est Ÿêmt'd^qaù'èâtT^' ël? les- flânes pbrtent
Wflix-huit lignes lëi^uddmales jaunes; routes/-lés nageoires- sont
Ventes.--Ce-poisson'es* rare sur la- pôt©. de Cornouailles, ç>ùr le#
pêcheurs le nqmmev^greenjish («poisson yer#)f ‘Les .nombres des
rayons citées par Dqmnran, spntJes mêmes 0Lue*çeux comptés,sur
' TiQs indiyidlus. .;,
.-jiffutton, dans sa.-Faune«de?la Grande-Bretagne, a cité
Igg labms lineatus d’après D onov an^Nous *n’en trpuvons
pas d’autres indications ,dans les autçtiqi 4e cettp époque.
Cest probablement acc.tte variété, qu’il faut rapporter le
labrus cornubiensis, décri^tpacJÇouqha-dâns^son, méumire
sur les poissous de Gornouailles. Il lui dpnne vingt épines
à la dorsale, et le colore-en brun foncé.sur le dos, plus clair
sur les;coJtés, et en jaune safraué sur J e yentre.
. . Mais daps -aucun cas cè labrus cornubiensis ne peut