le ion g-de l’os une rangée, de petites dents coniques*et droites : le%
internes sont un peu mousses.
La dorsale à de fortes1 épines assez longues'', et là membrane qui
unit les trois premiers rayons se prcupnge, près du premier'et du
second, en un filet mou plus long que le rayon; les autres^pro-
longemens membraneux, quoique plus courts ,• sont' euqpre assez
sensibles. Les rayons mous sont plus alongés que les premiers;
ceux, de l’anale le sont beaucoup plus, .car ils, touchent à ceux, de
la caudde, qui est arrondie. La pectorale est petite, la ventrale est
pointue.
D. 9/11; A. 3/9; G. 14; P. 13; V^/5. g
|j Les écaillés sont grandes et finement, striées'à leur surface; j’en
compte vingt entre l’aute et la c ^ j a l e , deux ràngées ’autde'ssus et
cinq au-dessous de la ligne latérale, gui est fortement infléchie spus
la fin de la dorsale.
Le poisson est entièrement décbloré^par faction ,de l’alcool;
mais utie tache noire s’est conservée sur le haut de la membrane,
entre les deux preibiers*rayons de là dorsale.
Ce poisson est lo n g u e quatre pouces j j ’en ignore la
patrie. Il n’y, en a qu’un seul indivitju dans le Cabinet du
Roi. Quand il sera mieux connu, il est très-probable qu’pn
le distinguera.^énériquement. Il a . des affinités..avec nos
lachnolèmes. j
• ' DES ACANT^OLAB-jEt|S,. ^
J ’ai cru devoir faire u n genre particulier des ilâbroïdes
à préopercule dentelé qui présentent quelques modifications
dans la disposition de leurs dents. Celles de la rangée
externe sont cpniques et groSses, e t p a r derrière il y ç n a
de petites formant ùne bandpntroite. ,JJn second caractère
consiste dansées nombreux zaÿona.ép in eu # d e b an a le .
i . Cesipoissoras correspondent, dans les lâbroïdes^ à iio s
■centrarchui de la famille des peïcoïdes. En les retirant
des wénilab-isfeS; pjr.ëëîsé^davantagè lès caraetére's? de ces
difTéréfis gèi|r,és. Je n’én connais q u ’un petit nombre d’es-
pècçs des*mers djËurope", et, dont cel|f|â.é notre Océan
Septentrional me sqnt moins bien connue^ cpïè celle de
la MédXtèrrariée.
Z /A cÀntholabre BaÊloiîi.
( Acantholabrus Pculoni, noh!)''
J’^i. pUj en ,e;|et,, ; v.oir plusieurs individus de l’acan-
tholabre de cette mer. Je ’lui consefyë|a^.lfépitbète que
M. Rissodui avàit donnée^ous le xuim àe làtfariÊM Mâllord,
d'èstsa première^ditio'n, parue nous-avons dans le uabinet
du Roi1 nb poisson ‘désigné’ sous dénomination par
cq ^ jc h ^ i|^ l^ |sté dès i8 ia l ^ t qu’iin àiltrë'cfc|ï la mêïne
espece, et ainsi étiquete par M.bMsso^ des
,c|)lleétions formées à Nice par M. .Sayigny.
Le P°.%SjS»a J®' corps tassez régulier : sa hauteur fait, le double
de l’épaiss^ f e et'. est comprise quatre fois.dan&Ua longueur totale ;
celle de laTtfte èjggte çette même hauteur, du corps." Le museau/èst
assez obtus èt arrondi; l’intervalle qui! séparé- tes deux.yeux est
convexe, et le,’diamètre de l’oeiLsurpasse_,un peu le quart de la
lo n g u eu r,^ la, tête.'Le; sous-orbitaire èst; prèsque^ntièiiem&nt- au-
. devant de l’oeil. Le bord vertical du! preAperçule est oblique en
avant*son angle est arrondi ;de .bord horizontalgleseend unpeu eh
■ dessous; lesfdentelures, fines et'ég^les--, ne. dépassent'pas l’angle.
Toute la j<p®,.'liopercule, le soüs-gopgrcjile) et,l’interqpercule, sont
couverts d’écailles; elles avancent aussi §ur le-, èrâne jusqjuçs entre
les yeux, de sorte que Içbltut’du museau, le premier so^-orbitaire
Cig-et lès branches de 1k 'mâchoire inférieure , sont les seules parties
de la tête qubnefsoient pas écailleuses. La mâchfireinférieure paraît
* dépasser un peu la supérieur^, surtout quand la bouehe est ouverte :
. l3: * * a3