quatre p o u c e s , pris a Naples par M, Sav%®yr à q u i n o u s
tr&uvorîs également
d ^ ^ u f - r à ÿ ê â s ;%&i^x là ^o rsali; mais qmi eh àhrifofom de |
plus, c’est-lndire douze.
M. ^ayigny nous l’a .'donné comme d ’une %üleur vert .dê rher,
uniforme, avec un fin^iséré bleuâtre sur le bord des nageoire
f. verticales, eedont on v q iten p o p la. trame, ;
* L e LABrfë^EïtiîÉ.'
( Labrus mérula* Linn.) "
On trouve dans la M'éditerrànée Un labre‘d # it les formes^
épâïssôs rappellent daVeltage Ailles de notre vieille d^r
l’Océan { la b x u s b e r g j l i u ) .
Sç^ corps, en^oVale aloEgé, §sfc cependant jpoins; étroit ‘ét moins
— long qm^elui des to u r ^ dont nous venons île, panler#Sa hauteur
' " ^ ^ ^ % i s . ^ l i x o l s J.quar.ts d^s^a„longue|Uf t o f , ^ La longueur
” la t t t e ^ ^ ^ 'h â u t e u r du tronc. L’oeil, plfcé. sur le l^ut. de la
“ joue sans-enfumer la ligne dm profil,-ësj pa'rfaitement>ond? à |> n
^ iam # e est-du sixième-de la longueur de la tête; il est'éiôfgnéTd.u
- bout dm ff|jtean-de deux fois et^ demie-èeTfriaètr&, et la fente-de la
Louche égale une*fois et demie ce diamètre. Les lèvÆes^on* «rès-
épaissesj- je compte fax ou sept plis à la. supérieure,-mair je^â’en
, V(b| s p a s^ Rnférâérare. La uaâchoip d ’en haut' a seize délits, huit d e
chaque côté, coniques, droites/Ijminuaiit gradueilemfnt à p jp i r
desmitoy ennes; i l y en a^dix à d ^rze ajlsTmâchoire iôférieure^Ues'
J(Mu semblables aux st^ifeoktis; «r derrière fcdles-cl on en ypjl
une (rangée plus q^titfts, qui fit .semblables,
à la grandeur près, à celh%de la ipigée externe. Quand jla
bouche .est.feiïnée, on aperçoit encore, l’extr^mite pq&érLeurg du
maxillaire/laquelle hsi're&ouvfkte d’tme peau épaisse JLé vqi|.ç sur-
ê maxillaire s’avance vèrS5 Féttréimtê! d u ’tUusèAu/ slhf^ecoüpTtfla
jjwfe supérieure. ëêftejpeau, abondante.«»^éryptésnTùq«èüx,:reçhii-
? vre lé sous-brbitaise, le dessus de lia tête, et n’a aucunes galles.
Dix 'à! dôüssë' p'<frefe sônt disposés ém cercle autour de l ’oeil ; d’autres
i percés,’ lèlpttg delà tempêâu-dessmisderarticulâtio'ndu préoperteüle,
‘ > sur jP siêu^câf ulair#; y^forrEteïtt deux;àf ries, réunies en cheVr'on sur
le vea|px; on*|.mvoit*lé .long dm bora dutpréepercule,:et enfin 8àu-
devant de 'l’-oeü^miti^s suivent une; difectiom parallèle* au bord
Jirfétifeur du- sou-s-^jbitaire.. À ur dessus, kâe gesj os on distingue les
'lîés#* ouvertures de la narine, d on t 1’antérieure est un simple petit
trou:, qufön prend rait* %çiJ|ej^n,t, pour poru - »
Le bord-inférieur duJpreppercmk despend^bliquement vers le
déssouffie lamâchoire inférieure, et; fait ainsi un Angle rrès-ouyfert
e t apondi avec le b^rd; vertical ; le limbe eu e s ! assez,étroit. La
jo«e. «sr.oopeipte d’une dizaine de rangée d^petites égaillés. L’o~
percule, de-, forme triangulaire,? es t agsez distinfp .rlu squsrPpercule,
qui a très-peu d’éeaillesstu sa- surface; celles de"l’opercule sont
•grandes^, je-n’en.-, vois que deux, ou.troisisur lin-teropercule, qpi est
•assezîvélâî^gi: em/apiisre.,; ; j.;
Lèsde^s mémibrànes isthme
assez large, sans écailles; les ouvé^Èfès. des^oi^esme sont pas |rès-
bâillahtes , on nç compt’eiqme, çnq.rayops ,à la membran e des% rSx-
lÿtifis, Le? hörd menibraneux. de l’opereulq, qui semble-se cmitinuer
avec >la membrane branchiostège, r^QOUYre la plus gmnde partie de
l’hùmelRl etvQU'*s®pmli'F^3(}^|
; ; 'Lapeetoralee^tferge, a»Qndie,du sixlèûaedelâ longueur totale*
ses' fÉs^on.M&on| ä-brahehus*, Kg qu|ti* éwliyi|sion.Sm I #\
s : La dor^er e ft ^ té éu n Pffcen arrière de la basej;de la na^oire-
de1 la pqilrhie. Les raÿ<mi épf«Hx>. à partir du premier f qui p’a
gi^ètqueiehaiûèmedela hamteUn jdu, çprps, augmentent progrßs-
"sivement jusqu’au .dix,T- huitième, qui mesure à peine le quart de
cette même hauteur.
K L|i.'porSôh^mq|le^t arrô^e^: et ,|t| p lia grande hautejur n*pst
pas» tcftit-ll'-fait^éuble .de celle de ta.Aapni&r« <|pme de la dorsale.
La premièr%dsf l’anale répond a lafieri|iä,e de la dorsale , et la forme
de la nsigeoire est assez semblable à celle d e là portion wollende la
nageoire dm dos; mais elfe; n’atteint pas aussi loi» gqps la queue-
Ce tfbnçon de la queue,, mesuré du pied dit dernier rayon à>la