5 6 g LIVRE t f f f t LABROÏDES.
qui, d’après Pennant, le cite un peu plus bas comme une
espèce distincte.»Mais cte que nous venons db V^ppôrter
fait*vbir que Dono van sedrompe, quand iîicroit que Gmelin
jBjflÉhfcftl auteur du continent qui ait Mt connàitîe cette
espeoe.
- Couch l’a donnée' dàtfs son Catalôguë des poissonsde
Cornouailles , sous le nomade labrus ùotjüus, et c’est ainsi
qu’il reparaît dansi l’ouvrage de- Fléming*. M. Yàrelben
donne une jolie figure, en luirestituant son nom Linnéen,
et en y ajoutant une^synonymïe presque conïplète. |1 y
manque lé labrus vetula do1Biqèif nom qu*il a appliqué*
à unpoisson touüdiffiérei^et M. Jenynsl’kfidèlement suivi:
• i M. Risso J; parmi les ichtbyfâlégïstes qui ont éGrit»|ur les*
poissons de da Méditerranée, a.inscri*tce pqisson dans son
-o n ^ g é j mais il en ^èin b fb u illé^ g al^men td ^^0^ ^ ^
En effet v-c’est, avec «des citations feoeses jde labrüs pavai
de la* seconde édition, mais non de la première, eeluiîtii
étaïq. un crénilabre. Et puis,
et comme si l’auteur, au lieu d’observer, la natureI lû t
compilé dans quelques livres, on retrouve notre espèce
sous les- dénominations de labrus Uneatus>, pris dâns
Pennant; de labrus variegatus, tiré de Gmelin, i|bïde
labrus miæius, dopié^d’Artedi: et de Willugbby. 'De Cés
trois espèces nominales,da dernière senlereparaîtdanSlâ
seconde édition, sans’ que i’autemr- dise pourquoi & a
supprimé les deiix^antite^Et enfin l’on trouvè-cncoïe
dans cet ouvrage les noms de labrus cceruleus, avec dès
citations d’i^seanius,'qui' n’ont jamais été vérifiées,,, et dê
labrus q«yi^gKî> appliqués; a> d’antres espèces.
i f Fleming,'®^- «»*, P/Æ09, o f