, ;, droite, à feord.GÔüïpriiné , élargie ea dedans, dé façon que le palais
ést'trèsfétrÿt. Il y a quatre clent^ coniques à fextrémité de chaque
mâchoire; les déüx-mitoyennes sont droites .et-dirigées en .avant;
les autres dent? sont petites, e | en ^tubercules j'usqp.’a l’angle de la
mâchdiFè, oh il y â ' deux autrés dents Ion gués. "ta, saillantes, la
dernière étant totf^Srs la plus forte. Lés 'dents grenues sont sur une
v bande /étroite: Le palcds ^d’ailleu^s , jèsf d i ÿ “ fesr]phâr}^pn^ ^ p P
.rieurs ©ht trois ' rangées; ; de tubercules' cfun beau blanc; dont les
... in'terneis^pbt plûs^gros e£ correspondent aux moyens et gros tubercules,
du pharyngien inférieur._Ges dentâ" grenues ne^&ônt pas portées
sur de longues racines, etdilërent, spus ce rapport", des dents
pharyngiennes .des b ^ e s^ gg |gygj •■»A
La dorsale esiïWssé^i': sqn ongine efprfôqme entièrement,cachée
sous'les écailles qni.iremontent du d ©4vshf ' lesf ra|ons épineux de
cette nageoire; jln,
- prennent p lu s s e Wuteur^ét^s’alongenf en pointé'du en un^filet,
~qiu'aitêïnt'-jiilqtfa la caudale :‘f;e sttoCles* cinqüièm'e ; ^sïemè 'et
septième raytîns mohs qui s’afongênt ''àîfisi.' ’ ' "f*7
La causale-esticbi*péè carrément;, les mÿdns qui laibo'rdent;en
■dessus et en -dessous donnent un'prolongement^filiforme. L’an#e à
sa portion «î.olh s e rn b la b le .i^ ^ la .dors^e ^ ^ p ^ tth ièm e ,,
neuvième èt .dixièmg ^exterminent eja filet ^ sço |itio n
'' ^d ie tp ù u rle premier, r^ q n ^ ^ -Je ^ a ^ e n t^ a iie , quitoqche-presque
à fa n a ^L e s pctorâîes sont ^rrondiçi. . ,
D. 13/4'; X '3/42; G. 15-j P.1
Les écailles sont, finement ciselées,,assez grandes: j en'trouve
trente-quatre entre i’ouie et caudale. La ligne latérale.,
d’une gérm.de.tqbérculesest plus ou rfrojms rdtaeuse, parallèle a la
courbure du dos, e tf$q rend à la queue sans, fairç d inflexion tres-
sensible ; elle sânble. presque .droite sur certains individus.
' Quanf à la cojolênr, elle paraît avoir été lie de yin'OU;pOUrprée,
4 oïf quelquefois d’ùn beau rouge orangé spa^le dos; le ventre est gris;
le reste despotes èst" jaune citron ^ainsi que les nageoires. La dorsale
gt la pointe de l’anale offrent une tache noire plus ou moins foncée.
Npus en avons reçu de -nombreux individus, parmi
lesquels un>.est long de qdatoræé’ poucesv:. Il nous Vient de
Saint-Domingue, par M. Ricofel; M.Plélren a envdyé'de
Porto-Ri;eo et .de Samt-^Thomas-ÿ MjVl.jDelalaride et le duc
de Rivoli, (’pot pris au;Brésil et MM. /TAbadie nous l’ont
rapporté. d’Qlqida : nous. ve^ons^espèee- s’ayancet dans
I.ei milieu de .rD^éan qus.qu’à Sainte-ïïél eue.; par M. Dussu-
mier e<n^axdjpnné?au Cabinet un bel individu pris sur ces
cotes j mais cet ob^ervateiar, lé regarde comme un des
passons rarqs d e ’lile.
■j jj.S.|lon M. PLqe, il se. nomme patate rouge dans nos
Antilles.
, Ejâm lei3çofnn!att,.stp,ps 1^ nom' de; pevro colof'ado k la
Havane^ ^Les Espagnols daignent "sous le nom de perro
(chien) léXjpoi§soûs. à •de li ts. caaines. saillante^. tâpÉe aipsi
que ;nous ^voyons cette dénomination appliquée^ nos
lachnolaimes..
prineevMapfrigehdisent que. ,ce, poisson
esit de la taille d’jfihé perckq-ou -d’une^carpe,. et que sa
x^aixyest-'tendre suivait |i^ateshÿ,; il httèiijdraït à deux
pieds de'long 5 .cépendanf.Pairs leysOmptmparmi les petits
poissptfs, Margrave e$$de seul qui dise que Ion mapge ç©
poisson ;às Riô-Janei^à?« î
* Parmi lés collections <|iite rfBus devons â^MC'Graÿ-', nous
avons trouvé une variété’si' nd'tkble de" de tte ;ésjjède, que
nous avons;lfésite lQng-teWp^àl- he pas Tén distinguer.
L’individu a l’oeijl beauëoup plus petit, le front plus large ,- la
ligne latérale sefesiblement plus' ârquêe, les filèts aés nageoires plus
longs-f et-je-trouve que c’-esV le sixième seul qui se prolonge en fil
a la dorsale*, dont les Nombres diffèrent*, £