M. de Lacépède : l’une j d’apïès la figure ( t. I I I , p. I i 7 |
et pl. 28; fig. 2) sdds l en om g l a b r e large r a ie /e t
l’autre, d’après la description^ t. IV, |). 3o4) sous celui
de toenianote large raie.
. Les malacanthes ne sont passes çqryphènp&vqüQiqu’ils
semblent participer à quelques-uns dés :<caraçtjhes de|cp
genre, par la lon^ieur de léursilprsale et Vde/Ienf raualès
et que les nageQHpéîOnt leurs rayonsjpresqtie aussi flexibles.
Cependant c’est 1 a la famille des labroïüe's qu’ils nappar-
tienngpnt véritablement.
Nous les plaçons d^ans le voisinage du genre singulier de„|
laefinolèmès% Je cause^ide leur joue .couverte 'd’écaille^ è t de
leur ligne Llérale non interrompue&et parce que la;flexi--
bilité de leurs rayons: semble être déjà^anmpnè^idans^lei
prolongenaens; Ælamenteux de ceux de la dorsale (Je- n©^.
capitaines.
j; Leur/caractère le plus apparentiÇqnsiste dans 1 eur longüe
nageoire dorsale, où f parmi de très-nombreux rayoia$, il
rfiÉtf est que trois ou quatre en avant quifsoie^sirhples ;
encore i^nt-ils quelquefois tbut-à-fait -flexibj^fsy! to u te s
autres sont branchus.jG’est dé gptte im?lles§e de leurs,rayons
épineux du dos que nous avons dérivéle nom de malacanthe
(de (ju*\cckcs, mou, e t d«îe«i/0#, épine). Ils ont d’aifieurs le
«corps alopgé, peu comprimé ^deS-éçaillc^ petites ; 4’auale
presque aussi Jongue que la dorsale; les£autoes nageoires
médiocres ;• la tête pblongue;Ile front peu convexe; l’péil
médioçrè et placé^en arrière^Ia bouche .assez fendue; les
l^w^;'cb»rûui^.'i€^Éç1ip%^|e leurs ,mâqhpire^ une Taqgéq
de dentsr, parmi lesquelles:il eff est de fo^^jt^çr^çlnes,;
mais leur palaisf:et leur langue n’en ont aucune. Sous , oes
divers rapports; ils se rappr^heraient de plusieurs làbrçs.
aîlidUëls ils tiennent1 aus^phr ;drëé#nté3tins'sans cul-de-
's^é ÉoùiàchaT et saïïs-|.coecùms ^üiîàfs ils eâlimffèrent par
leurs dents pharyngiennes J’ qui spnjt en, ' cardes en' h aut,
êt qui n’ehf offrant,enwpavê^ qu’au ph^ryn^Mi inférieur,
ençqreKy sppt-elles ($ppqmpagjM|£:? de dents en, par^e,; sei^fin
l’épine ■ a&ppz forte de il’angl^ndsef,leur ope.rculei(fçst »aussi
un- de .leurs- caita et g reSt <psse ntie ls% ■
■>> TNéus neacoiïnfeissous jusqu’à préient^quO deux espèfees
de ce genre ra Tune des -mëis d’Amérique, l’aütre de ‘cëlles
des Ifrdèsv’^ .
- L e MAlacant^e ipq
(Màlàcanthüs. -Pïtimierîÿinob.; 6 d i/p k c eÆ 'PM M ie fi\ : BI., ' 1 y5 ;
,Le malacaUjthe, d’Amérique est-ajoiagé^.
Sa' longueur totale, avec là ‘caudale étires pointés, coiriprefedmtut
‘fois et demie sa hauteur, et sans cette nâ^§tll$e près 'de^épf'fois.
La1 IhiîeuèuT de' sa tète' y 'ést quatre: fois- èt 'deux'tiers, ^ttjellé^st
deux foîs 'aussi lon gu e ’que haute: Lepaisseur, aux‘pectorales, fait
,J îes^deux tiers» de la'hauteur. Il résulte Bè !làï.qiM-îésf^giïes;‘duJd,os
tr’èt dit‘ventre sont presque droites, etdêlfës du-profil e t’de la*gorge
; trè's-peuàrquées*. Le crâné ,;le frdnt èt’le müsëâü forment une sutïace
' trèsdégèrëment cûnyerxè^ et ■ qui à' en latgeùr' ëntrê' le&- yeux des
trdïë^cinquièmes de là ’hauteur de là tête.-Lé ddamètréhle'’ Fèéil*|est
du sixième de la longueur dé la tête ; iPèn1i:<$be»pe -le quatrième
sixièméy fdiè -ptës de la ligne du profil. La boüche*§st-,fendue, et
«ÿprènd les trois cinquièmes -de là distànee* du“bout-'du musëâü à
l’oeiL; Les vlèvres sont épàîààésy charnues; ;lë maxillaire petit,
câphé sous "les replis de la peau, qui ne laisse riën'< paraître non
plus du sbtii^èi’bitaire. L’o^fiiié an^Mëtir dé la naHhe,'pratiqué à
■ m&itié de la distance de f ’oeil à rextrêînité du ‘museau,fèst petit,
ëtttoôlé léger ouvert au tiers de la
distance .entre lé premier et l’èèïl, est petit, ovale et sans rebord.
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