L e C s$ | îilabre ^5cell4:. j
oceEàtus',nob.; Labfus ôcellatus, Forstal.)«
fTLa.MAijikTranëegnQmmt'-en abondance un petit* crépi-
lab req u ’il est facile de- 'reconnaître dans la déspfiption
qpi’en àvÊRt laissée Fôrskal; mais dont Pes^èce- a été mal
^aracteriseë et même mnltipliée, nàr ’ceux qui ont |dpié
saWcidü^e'c^tàutéiayr;, et ensuite Brünnicb j qui enataiissi
p ailé;»
Ii|j|©rpà est un ;ova(Ié dont la longueur conti%y, trois'fens jou
t^ is 'feis' ôL demie là-bautetfr. Son préopercule’-est dentelé tout
» ;aufpü«fd,e fangl&jusquèvsür le bord inférieur; eifFutre ce'caractère
firé des formes,:n o u ÿ e reconnaissons A‘,'fô:iÉ d p^ l9^nce'|nres4ue
n noire, qjp^ciçtoswvié' sur le haut de l’o|?tercule après 1% mortf de
ranimai et rniim&après un long séfdur dans^’espit de vin î-sdüvent
ï cette tache, lisérée’ d’un^fen tràat hléü^ôn"hEnfc , dëvxfeht lin Ocelle.
t^eÆadbe- oblqnguede-taème couleur, mais moins»foncée,■ 'èx-iste
^ au-devant dejl’oeil, le^lon^'du., sausrorhitaire.: U^e ÿd h e,
mais «îohfâ arrêtée3 t xÆ *de qhaoue eôté^de la qu'eue; et sur
quelques indiV^us j’en, vms pne petite sur te commencement de la
dorsafe. Liffond dueorps est un%run rougeâtre, plus ô% moins
~ _mèlâ on tacheté de bleuâtre.' Les nageoires sont jaunâtres ,WëcLâès
S e llé s' ldèu pâlei Geué-cî ^pluS '‘^ ) <hohcés' qpSL
* disposés ae manière à fairercinq/l^ix1 ligEte8i<)»dtdeùses:.^ïil4flë
; nageoire;
* ® D. 14/10 ;A., 3/9> elç.^ j
■Nous'on avons un grand nombre d’individus chez lesquels
nous comptons :
m D. 15/9; A. 3/95"etc. -
Enfin, un seul s’est trouvé n’afoir queffeke rayons épineux, de
sorte qu’il n’a que vingt-trois rayons â’ la dorsale, au lieu de vingt-
cinq, en y comprenant les rayons hranchus.
Ce petit crénilabre nous est vend , comme les précédems,
de Toulon, de Marseille, de/Mce/sdeJNaples, de Pàlerme,
dé Messine, de, MâpolbdèiRomanie, d’Alexandrie d’Égypte ,
d’Ivicaret dé.Malagâ: >
C’est b ien , /comme;snous l’avons^ dit, ,1e- poisson que
Itorskal1 B.m6mTkéJ.abruà acellatus:> et^qui a pris da®g sous
ce nom\c|ans la tréi^émet éditionbdii Sjitem a^naturce.
Br ün ni ch2 .è nia missi; p arlé, ,îeÆ, j e crois Éé âme qu’il a décrite
deux} dés ; variétés que nous avons ’signalées jd bjane squs le
n.Qv7*i^ret l’autre sous le n.?„ y ^ d e^ se s labres incertains.
Cette dernière ntetse distingué en effet de la première que
par 4a %achè mentionnée surlaâîdorsale; et-la premièrë*ne
diffère* certainement pas de cell^' dejfiirskab' Celle Joùs le
rT t||ji, est^dèoeiàuelJe,,, labrus$@livacèïTs de Gmelin, et la
Seconde 'son lakrus^yenàsus. Ç^S ïtPois espècesjnominaies
sont reproduites p a& rlp e é i^ ^ -d e u x parmi,seshlutjans,
et la dernière est même inscrite dàjisi-son gepre labre. Sous
lé nom éem hm si æéLLmdatus A, quê Bojinaterreravaitsdéjà
eluplé^é pour changer l'épithèteTte Gmelin.
On peOE&;direrqdfe Mfmsso av bien^ngultèrement embrouillé
rhistoire/de ces elqièçejs ,■ lu i, quFàunait^lû, au
oôntraire, nopslfairê bieh connaître des poissons qu’il peut
voir ebiétudiei si facilement a^Nice.
Nousfsommes dépendant ’parvenus -à -bieiï, reconnaîtra
ces ■ espèces sur ses ( descriptions, incomplètes , et dans les^
quqllesdl a mêlé* ce qu’il prenait aux auteurs qu’il consultait,
malheuréusiéànènt, le plus souvéml »dsins lenipsf êojffitmî
Noiis’sommes arrivés» à ces résultats e n reunissantfrun grand
1. Forskal',* Faum arab., î- Brunniobj Pisc.-Mass. , p. 56 et 5$.
— S.Lacépedè, t. IV, g. 218; Lutj. ocellatus, Lut', oliçaceus.— 4. Ejusd., t. JH,
p. 5o8, Lab. maillé. -