envoyé ta peinture, fôifo siir lie 'vivant; comparée à *la
précédente^ elle se reconnaît*
parce- quelle a une- taehé- bleue t^afife^aire - entre le second et le
troisième rayon dès la dorsale; et elle se rapproche cependant du
Gipfredi, parce que les rayons dé.sa dorsale sont égaux* et'qrfdle
manque de tache sur Ms flancs». Elle lui ressemble ( encore par la
couleur rouge du dos', par la tâche bleue de la, pectorale et.-de
l’operfeule; mais, elle paraît en différer,- par son ventep, d’un beau
rose vif; par.mne première bandelette» çppjposé.e de petites lunules
bleu nqirâtre, étendb$ depuis l’angle de l’qnprcule jusjûue- sq|. la
/.aneuf^St par une ie<çooeJe- band'e^atme^,seOTe;d^ppiûts,ir o ^ e s ,
qui prend naissance dans l’aisseUe de la, pectorale, et qui va jusque
sur la queue, Toutes fes nageoires sont rongea: la caudale.seMfe est
bordée d’orange. L’iris est rougeâtre; il y a quelques nuances bleues
sous la gorg&tât sur le limbe du préopetnule.
Cette'girelle a été-prise à Brest, sur la fin dé-Mai iShô.
Elle éêt confondue pan l'es pêcheurs aveef |e lajiÿe vàrléf
sdw le nom de coquette.
L^mdivïdia a p tp j de^neuf poucea"de' longueur.* "
. C’est bien évidemment à^cettè ^p e c e quil Faut rapporter
lé labrus/hfcY de Donovan1, qui est, je pens ey répit o-
duit par lui dans M. Yarellyet qui?§ê trouve aussi"clie|
d’après le même document, dans Fleming et dans Jenyns.
Il venait des côtes de Cornouailles.
L a CrIREliLF ÉLÉGANTE.
{Julis sp&cmscu^ Bissa«)*-
Noua ayons trouvé dans les ^collections faites à Naples
par. M. Savigny, e t a Messine par M. Bibron, des' girelles
de l’espèce nommée par M. Risse julis speciosa.
$Ç Donor., Bni. fisB,, t. IV; ph 9$.
Elle a lés mêmes formfes4et )es mêmes proportions que les girëlles
précédentes; mais ses couleurs sont arrangées par bandes verticales
rouges |u r un fohd jaupe.t La dorsale a une grande tache noire
, sur ses,premiers rayons, qui ne dépassent nas les suivans. La base
de la.na^emre paraît jatüne; la partie Supérieure grise, bordée de
: Wanc. L’anâîe à srir. Un fond faune une bande .violette sur le milieu,
et un Jïhéré de mèthe ' cûuleûr. L e jfèü t' de ïâ iclhdale ést Vert
mêlé de r^ügëâtre, et'lé desSoùs jaune olivâtre.
Nos individus atteignent six pouces- .
M. Risso re^ard^cétte; espèce‘comme moins abondante
que les autnS/gireïïes. Il donne
,,apfsfdps un ^ q ^ é -h ru » ; des bandes pâme dî§r alternant avec
, d-’aùtres, incarnats^survies flancs. La stête est ornehde lignes rouges
e^de bahdes jappes -sur un fond argente; la dorsale fauve', bordée
B B B ^ H ê ^ d fe ’tâcbe blëu indigo,' én«Mreé 'lfun cerclé
aurore.%nale traversée,de deux bahdes jaunes;une taché bleue
dans Moelle des pectorales; lés vehtràlès blanchâtres. <
Élle* vit parmi-' le1^ d’oraux de la côte k de Nice., et sé
mëûtre en Juin e t en’Juillet» ’
Cettq ésp,cce rentre dans'I’Atlaritique^' ét oh la trouvé
a+'Madère.’Nous ® jïvons reçu' des indiyidu£ parmi les
p c ÿ s o iis ^ c e tte îlè , donnés à M. Cuvier par W R, Brofvm
■Nôus -enrayons vu aussi,un individu long de huit p'ôtees
et *demi parmi les pqïÈon's recueillis' aux Canaries par
MM. Webb eVBerthellot. Il offre cependant cètte partie
cularité'quelles trois premiers rayôr^s'oé la dorsale sont
plus* hauts que les suivans. Je pompte vingt bande's ver-
ticafes sur.les flaneg. La tache € e l’opercule e t de Iais^elle
est biéh marquée. La.caudale èst to u t-a - fait rembrunie
vers le Haut.# 1