distribution des couleurs confient très % bien à notr e
poisson.
"GTést aussi le sparus quihquèfààciàtùs dè W: Bennètt
( F isn o f Ceyl., 11^ .23)5 les Cingaïais le nomment panoo-
girawah.
Mais il est une autre synonymie ,• | plaqp^letpn eÿ
assez loin de -s^a^endie^ car poisson a pax
Thunberg, et décrit soi|& de nom fa&oiati^;.'*
La figure qu’il, en donne fournit ’les L élémens nécessaires
pour; reconnaître .cette espèce_sous.'rçe nom, si0lor|pé (fe
tous ses rapports nature|f On ne peut çqppevqir pourquoi
çet élève, de Linné n’a pas .classé cette,espèce darnSs le geme
des labres, ,M. Lacepède^e^ employanC^IÈte^nqte de
Thunberg ,, ?a J a if reparaître encore notre^pojfôon‘*ime:
quatrièine^foâs .§qtt§, Ie nom. 4^ ftfo
3tayais*eru£pie«l’on devait \e_spa§MS
ancftarago, d e . Blo c b p i m}ais j’avoue {cpie c e ^ j^ i ’Qr
ch eurent ne me paraît pas po$sjbJe^ en.même tenips£esuis;
obligé de dire que ygqoip^ tp/ut-à-fait à, quelMe^èce^il
faut rapporter, cette .figure, qui est peut-iêtm..eella-dun
labre, puj d’un
Commerspn .et M. Dussumier 's’accordent aLregarder
notre ,tautqg?|p comme un ppi^son rare des rivages ^rocheux
'dp l’Islerde-Francej,ce derpipr,çt M.W. Bennett,le jibment
comme,un bon pojgsqn pour ïa tab^.J:lJg
Les indivi^qs de Cpmme^dn et. de. M. rDussuu^i^ qnt
Ûq.pied de,|opg. M. julien Pesjamins nous ep V^iissi
gnvpy^jde Mas-,Petits : ils
‘1. dKünbèrg, -Voyf âu Jap; Ssi V pl’.! VpF.
2 ,i Lacépéde*, 1-V> JpNMI i1 .
dans les Couleprs.TJn individu de» cette espace faisait aussi
partie desf,èôllëcli6'ris faites à l’Isle-âe-France par les compagnons
de M. le ^capitaine Dupèrfey.Uj-
L e , T^MTO|||JE DE, -
' ( ^ 'TàhtB^ct' Mèrtênsü \ noË^f^
je nç„ crois, pas qu’il,faille regarder.comme une variété
dm précédent, le. poisson que,.Mv J)fertjep§ ppus a fait
dont voi^des principaux traits
caKactéristaqqes.
La tête est verte ^âVëc trois bandelettes étroitjes, longitudinales :
deux au-devant :de l’oeiT: la troisième ’naît' de l’ângïe de* la boucher
i e s soât 'rqses bordées denleu. il'y a sur lp'ppe’rpules et derrière
l ’oeil cinq giutrg^taches, rqges ajoûgé^^dont les 'trois «upérieules
sont1'aussi boraws de bleu: Les ’ lètaes Vont de tk/meme couleur
que I r r a d ie s , rnai% sans liseré. Il y en a aüksi 'de' bleues spr la.
nuque. 'Le coups é&rtravèrsè par cfncf larges* hâàdes hriMes. La
dorsale eStnaunâtre , avec trois raies lôngitudinales’ bleues , dônt
, une suit de bord: tL’Ændesest violette,: bornée .ii’un ttak jpose entre
deux lisérés-bleus. Lav pectorale ventrales,?oàtfi|es^rayons
jaunes : i f en j est dé Même de:*j|«caudale, dont lâ membrane est
brune.
Les nombres des rayons sont les mêmes.
D. 9/11; A. 3/11; C.;<13; P. 13; Y .,1 /^ ,
’L'è dessirÉ: repfé^ente- un poisson' long de sèpt* polices
ét ’ demi. M. Mertens' dft que les individus vivent isolés
parmi le£ rodhers dé l’arcni|>el des Caroline^. L’espèfcè me
sembïe intermédiaire entrer fièUë que déhritè f dans
rartidlè’ précédent / et celle de la mer Bdugè / ‘dont jè Vais