vus en si grande quantité. D’ailleurs,-les nombres sont les
mêmes : il n’y a d ont pas de dôûtey sfêiôn hfoi, p®ur ibwte
synonymie; et quoique M. Bisso ne J. ait pàs d it, il; me
paraît probable qu’il a reconnu. luiVmiêmeiiâstte identité;
puisqu’il a fait disparaître1 ce lutjanus silberti&esa. seconde
édition, mais sans en faire1 connaître lé fsotif.-
Quant à son hatjan Ivkrié; je de vrais aussi gle rapporter ;
et sans hésiter, a l’espècè dont nous pârloms isiflësr elle
porte le même nom* vulgaire, et M. Risso•a étiqueté lui-
même ‘àjBfc Savigny des:: poissons J de • l’espète dê-sfhoti'é
créuilabre RbiSsal sous d© nom de lutjan v a r ié f maislft
Gfois voir, en. lisant sa 'description, quelle ' renferme,
comme plusieurs autres, un mélairge-de bearactères ' du
lutjan Baissai et du lutjan ti^ru
:.Qr, }« iCioisi aussi qu’il-faut encore y r app o r t e r 1 e cré*
nilabre tig r é1 de la seconde édition 'de •riehtbjoiogie d é
.Nice. Parmi les nombreux individus d e cette-resp>j’én
ai qui ont .été nommés, par M. Risso lui-même ,î;it CetO^-là
montrent parfaitement les, Y deux 'taches : sur Yf|é dorSa$e.
Dhilleurs on peut voir qile, sous' lés rapports des.nombÿds
de rayonsjidës formes, de la tache.de l’opermute, de» la
coloration de l’anus-, tous-ices, poissons* sont’d e la même
espèçe." La tête \a f sur lés joues- deux-lignés ndirâtjes 'plus
nettement marquées que sur les autres variétés du-Icreni-
labre Roissal. Les .p oin ts nbirs. dont le .corps est aémépspaat
disposés en bandes, transversales passez nettæssuUquélqnfs
individus. Suivant M. Risso ,-le fond de la couleur e s td é
meme verdâtre; mais; il a,oublié "dans sa description de
parler de taches.- -
1. Risso, Ichth.- de Nice, S.-“ édit., p. £17.
Bloeh avait aussi connu cette esplceyet il en a donné
une figure assez^re connaissable sous le labrus quinque-
màculatus. On ne peut doviner p o u rq u o i■ Bloch n’en a
pas fait un de ses lutjanS, car leèdeiàelures du préopercule
y sont clairemenr «parquées ; il a seulement un peu exagéré
la tache qui est sqr le devant du museau. ert/même celle
jle l’angjie^de l’opercule. Lps* membres ^de^^&pns(1^oiit
âbstflutper$ mêmies., Bloch dit qur’il.a ^OP &e .poissph
d a ^ g u $mi Speugler, et qu’il est^originaire de la mer de
Norwégq.
Nous ne l’avons- pas reçu de ,mers aussi froides ;. mais
Qpusp sjvons^que l’e s p èc êf|^oj|ve / quoique rarement,
dans nofrécfi.©cgah d?Europe.^M. Bâillon ^ tnljaî?é^ydv&’, au
Càb-ipet'âu Boi un individd pêché au .Çjpjsi c, su# n,os, ç$tes
de*ïBretâgtm Cependant L’espêMèdoit êt-rê- rare-, car’nbus
nè-4* ay@ns«réncontrée qu’une seule fois,depuis tant d’animées
que nqUp recueillbnâ* les poissons^de nosyd^tes^îe n e la
trouve imentiohnéèî, dans i,^qçjpai„aûteur 4©^ fa u n e s du
1§Fd^VêtlsÀ:^. A. B. de pri^f©éfGhristiap5d e Danemarckil’a
i^nspr^te, sur sgu ;Çatalpgue des Bq,i.Ss©ps-du Dar^emarçk, il
a- soin dei,fairre s,remarquer que^epst sur l’autorMc de Blqèh.
I ’ M*. de sLacépède n’a paslmanqué dê'Sep.rodmreçencore-
c&tfce nouvelle espace -nominale,' et de sûikto^Bldch en en
faisant, fflntrairement aux priifi^fe,àdq sav classification,
un labr^'y quoi que s’il ^ i |^ ^ a r â ’éda f ig u r é ^ aurait dû,
sanSÿpicun. doute, le" jjlacér' parmi së^iiitj'âns.- ‘
Nous vgyçns par les ^travaux de* Pallaf‘5qneê l’esgjFèce
âVancè; aussi jusque sur les* cotés rheheuse^dte laÆaüride :
eestson labrusceruginosus^du Faünçi rôssiôé (t. III /jp 26A).
II d it que l’es|teep VLt en trqupès, maisynouas- nombreuses
que le, crqnifabre paon. Il-nous'apprend que les arêtes du
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