lourd de Rpndelet, lequel a le corps trop court, trop «haut,
et a la forme;d£ nosérénilabres. * * " - * ' * ' -
Nous doutons beaucoup du rapprochement* de la figure
de Salviani (pl. 88 ) ,-sôus le nom de verdone$ car* elle peut
tout aussi bien être rapportée aux labres dénommés plus
haut, qu’à celui-ci, puisqu’elle n’offre aucun cpr^c i ^,
et que.la description ne vient apporter,aùèup^msekoen^nt
positif. ’
Il n’en estpas de méiéf| de la description de Willughby’,
pour son Turi| ü! viridis fnirtor, qui éoîfvieht parfaitemejit
àmotré pôisson. Mais iGêt^.àut'éur^^^t trompe^qüsto.^ aux
ressemblances qu’il aVait cru trouvé^^treTé|^\;ë%e Rondelet
lîf11 celle devSalviani, et on voit q u ^ ^ sT lu i qui a
iinduit Artedi. en^erreur.
- Bonnaterre, tout^en admettant le nOTn de Linnéavait
désigné "i’espèqéL&ous la dénomination française jd$ labre
perroquet. M. de Lacépède, trbuvantque Blonh avai^dbnnfé
sousle ndm delâhrus viridis un pOïàsoïi différent de* celui
de Linné/a adopté le.no^i de Bloch pourtdeftê%f||$^
différente et’du genre des ^ ir elles-, et à^hapigé, Lr nom
linnéen; de no^re poisson en eelm dèf, labrws psitt aeus,
traduisant, ainsid’idérei; de Bonnaterre \ et il a qte«,S;uiy^ Sn
cela p*ar M. RissoVdans sa premièN? édition/-qui a cÿé
cependant et avec raison leHabrus viridis.xle Ldnn^Jnais
dans .la seconde (p.idoo^il a* supprimé le labrits viwdis, a
décrit notre espèfensous le nomde lahrus saxatïlïs* et nous
sommes.d’ahtant. plus certains ae reconnaî.tre.|jpde'scrip tidn,
qui, est du reste fort -exacte j, qu’iha 'nommé.ainsLà 'M. Lau-
rillard l’espèce dont nous parlons \ et le lahrus psitt y eus
4. De pisc.| p. 420, o.0 ?., 2. Ichth. de Ni'cej p. 221.