wm m
Turton d!onne à ce' - labrgtc oinb ê r , dansas!?: Faun^ de la
Grande-Bretagne, trente -gsfc un r^ÿôüsla Mjdorséie jamais
eommç il n’indique* pas^s il }®a une épinede plu§ -.à îcette
nageoire pour former ce nombre, on 11e s# t pas si l’on doit
ra?pproch.e<r^spn labre combe r* de la vieille rouge.-ouî de la
vieille^brun^ffi»
Quint au• coQkJ^labrujicoçuiis)$fl me parait-êtrebdiffé-
rfent, et 'n^us démontreronlscplus sw|pf quetëfest^au labre
Mê® qu iT4 e^sembfe: leplus«^
'-■ ‘Ce lut Bonnatétre.qui plaça le premiëï-notre’V^lle dans
le catælogtfe ide^siî^^&^podrM’Ërà^cïé^ldr^^tbodir
que^'lsous* le oe>mvde laèjieBer^ylte^ sans, rg|oarqxïer qu§
sur limâmes page il vep^t^InâSqu^djéjlo la meme espèce
d’àpïèssPetàanfeîl sous le nomade ilabre Balïari. ^,
% - BloiehWétant. procuré deî làigrner.*du ^ ê rd ‘Aun^|fle^ces
vieiffi^, lai{fif-repTiâenter planche' 2^ ‘îdesa grândte
IchthyoI^gÜ- Il l’ap p â t labre tdcliêt S l abrus.maculâim
tout en Eéèdnnaissànt que^êSiit'y ^ ë ^ g jm â aÂâeknius;
maiÉaF né^parm pas^dei Pennant. '
JBïen que la figur^e^filo eh/soit très:* d éfectueusiPuüras
^mmes surs de’cette identité spécifique, attendu que^ous
4tv®iis^étudiéi'let>poiss©n'même de cêvnaturaliste, que
M. LichtensteiÈPa bietf^voulu nous prêter. /
Mî de Lacépède *ê$mÈ Bonnàtefr^et Gmelin^fde:1so r-të
qnon retrouve p àrmbsesiab rês un L. Ballan, un L.-Bèrgylleg
mais il donné un nouveau riOïkjà notre fab-re, en employant
• la note et le dessin .qui ïùi avaient -étéfeommuniqués par
M: JNoél, jde Bouen.*$ou& kvonpretrouvétcg-dessin parmi-
Ses papiers -, de façon que nous ko'mmeSvassUrés.*que 1erlabre
n&uâtriên, .décrit diaprés ce dessin, n’est autre*que la .vieille
commune*
(vf, Eiffel, nous trouvons une «figure eueop$ r e co n naiSsable
de nôttëHvMlle dans \0^^hpfo,gieal\ miscellany, de Shaw
(pli 42^à^ mais il lei.èkéit, trèMausseinent, une variétés du
labmis(Mnoa de Linné., qui n’&|que quinze ray.éns épineux
a la dcas&fôÿlet-.qurseefr ùn de no^crenilatecs^Lai^uib cijÉe
plus haui,.^.a ékeL'Eeju oduite^dans la Zoologie, générale du
ipênaîê<auteur.(t^ part^ypl^pa
? Dônovaü. éïii>dohke aussi une,..assez bonne* figurëH>sous
le faux nt»m de labriïs tinea.' ;
#5*tlPpuHslf^ naturafetes*quenous venons de citer oÆceplp^
^ànt oubliera meillep.ré^gifre de k|«vieille gui'sé trouvait
d an^ D uhain èjkSq us le nomade vieille omearpe de mer,
Getî’&teur (repf-ésentivJfort exactement notm.poisson. L’a-
mtomielÉ%u’il aÿpiitè -àweette' planchea, afelé copiée*des
mânuSctitsçLe D uverney^Les | depts pharyngiennes s%nt fort
exactement des^ncést,‘comme d ’ans la «figure de-Pennant.
Lilkamel a;vait rê'|u5l?e poiksofcdeGraifville.’ I
► Plûutard Bloch|ït attention, àescette figure de DuhauieL,
ebilla âm^dans son-Bysjçme posthume ymaifeà faux,’car
il l’a rapportée^ son lab'rus vetulcv, tandis quil aurait dû
la qifcer ,spus le labrus maculatus.
SQri-labrus veüuld, comme nous-leidi/ons plua- tard,
est'une .figuré dénaturée du labre mêlé; ( labrus midefus
M M M
Fleming 3,':mégligeént tous les noms de'ses^rédécesseurs,
établît liespètê rsouS le fiôm Me* labrus BaÈanm$ mais il
Confond âyen^elle \&dstripetl wrasse de Pennant et de
Donov'an, qui est.devenu le labrus lineatus (notre labrus
m ix tu s \ et il cité-sous ce\mêiiie norm,comme une espece
1. 83; -—2. Traité des pêches, sect.4> pt. 6__3. Règ . anim,yp, 203.