CHAPITRE II.
Des C Q Sw p n e s ^ ^ b s ^ p n u s f .n o b .|i
. .Nous croyons d cw k séparer des labres, despspèees qui
semblent avdin des nftraâtàssgeHtmuns aux poissons de m
genre etaux erënilabres, et'qni compilent un groupe inters
médiaire .entre des deux geüresdiA Guvier.
- Ges p b isso n s-o n t jtàb s le s m â x illa ilis ÿ a r g is ,je t d eM è rù
la rangée é x l e ^ 'd fe : 'derrts§p ointups i l y e n ' a d e p e tite s
ro n d e s,, grenuesy-serrees.,- donnant^», xeSrjesp e^ feÿ n fe^ r^ e -
tC T ^d g d e n titio n très-motable e t facile -à,ye co n n aître . i .
lies piètfés. ojÆrculairçs-sofüt} généralement plus
lensn^et songent tQutpsjsant c o n v e rti 'spusrune Æi^asse
d^êâtllfis sembîabïes ^celles çfu cQrpfc Ç^;iia^è^rès yerti-
J S l i l J n t OTSSï ^potégiff''par ^des^ailles relèvent,
ous’abaisânntayef te s^ y o n |i et les cachentquand ifesont
îtSutr à - fait ’abaissés1 sur le dos ; dnais*elî éîftieffS'rm^ï, |>as
ùnç gdüttière profonde, semblable à celle des pe¥£h^iâu_
des sparts. ■'■■■ : | g| , . f
itpësra autre particulawé de presque toutes ces^êSp^s’*
Consiste dans les créneluros souvent trés-pronôncéeS- du
bord montant'du préopercule.Ges dentelnrés ne paraissent
Quelquefois que-vers l’angle de cette pièce ; elles y sont si'
faibles, qu’eUes-Aetablear ne plus exister.
des crénilabres deGuvïer; mais ceux-ci Ont, comme nous:
le verrons tout à l’heure, des dents si distinctes, qü’on ne
peu1? confondre les deux genres.
Nous avons emprunté aux Grecs le nom générique de
ce nouveau groupe* Sous cette dénomination àe kqmuQos,
Aristote a parlédè pbiésqns saxa|||es , qü31 regardait comme
les remellës desès jc/jcX%Ce nom étant aussi celui de l’oiseau
s i^m m u p cbéz nous, le merle ^ jiêd<yu(pos à été traduit p,ar
merula ou türçkts; ÿton lui aMonné.la même traduction
en ichthyofogie $ 'xle$ ce qui a déterminé Artedi à faire
de ces dénominationsides synqnÿmosrde ^es labres^ mais
on ne peut certainefïîent les" appîiqüerqAinsi qu/il a voulu
-le'fifre, à aucune espèce^ et-ce n’est même qu’aveU-' doute
quelles doivent être données comme synonymes de genre.
, Le CossyP’He Boni an.
< {Gpssjphus Éodianusit nob.)
L’Atlantiqüê nôûrrït ûù de'AeS Ïabroïdeîjk dents grenues
qui | E | B Q R B B ^ qui â'aytp btséçyl.par la plupart
des n||;uraHstes'desç£ipte,ursçle p^ÿons despotes d’Ame%
rique,.-mais.qui a^peu presque autant denoms qu’il y a eu
d’.ol^|e^ateui*s pour en parler.
' r Effitoplps est alôngé êt de forme ovalaire assèz'^ûKêre ët *ûé-
gmtei La ^hauteur fait ïè quart de là lohgrieüf“ totale, prise jûsqu’à
r&xtfaémité des-ifilets prplbh^és' de la caudale; l’épaisseur hkés.t pas
^moitié de cette JisrCeur. _
La lpneueub.de k,tête égale la hauteur dueoi*ps. L’oeil, de gran-
• deur médijcre, est pïaOé,surilehaut dfeâlfjoue.et à la du dé la
p¥ètùiè'retmoitîé de la longueurvdë la tëfe; sori'diàmètrte est Compris
a;'Cïnq bii sïf'foil dans la ; distance’cha haut dU'tttàfeé&U A l’âineïé de
l’opercule. *Lê ‘sous-orbitaire est large, haut et-sans écarlles- le pré-
dp'efçple-a tôute sa surface5 ëcâllëuÿè^ même sür îe limbe:- Où voit
des écailles semblables süfriiitèf'opei'dtile et la mâchoire inférieure •
l’Opercule et le Sbus - opercule sont .couverts par des ée'aille|.plus
grandes ;flé bord membraneux est âssez large; le bqrd montant du
préôpercnle est nnerhétit' crénelé. '
La lèVre supérieure ès*t épaisse, plissée, et fecotivre utie nÊibhoire