
^prudence,; vertu de fe pojféder..v
Ce*~mot appartient à la1 famille
Celtique. Bre , Fre » élévation »
grandeur, fo rc e ,‘a’où bronÿfron,
la ' la - force déf
“l’homme,
Q f t r o u , ramener à la raifon , rendre prudent
; i °, .châtier, J £
Opères., la poitrine, le coeur , fiege de
» cppenlif, /d'as , n , frénéfîë , délire. v
rpptril i x ô i , «en délire , frénétique. ‘
a. $Pe*5u » être fage , prudent, avoir:
du g o û fg tr^ d a n ^ fon fepq
fe poflféder , é^re, maîtrë de f foi :f
- 2.°. délibérer , réfléchir, : 30,-pré-
férer : 40. favorifer . être.porté
pour : 5°, avoir de là faveur » fen-
tir bon. -
. .qiporo/ea rè , lens » penlee ; i ° . élévation
d’efprit ; confiance ; 3°^ fj#e“ , .or-
gneil.
fpporn/ueflias , * » é , dpntl’efprit efl haut,
‘ élevé.
«pporajuu'WAàfy grandeur d'âme, éléva-
' tion d’efprit. F
/ fy a rw i s , Ó X y. b , prudence' y s®, fà'gefle ;
..•a?, intelligence, -
$po v ijj-o s , i , fage , prudent ; z°. habile,
expérimenté. ,
3. iv'erm » ÎS'oç- , p , penfée.
Æpo vTtpa, penfer, réfléchir, ; méditer ;
i° . avoir f o in ^ jo . s ’appiiquer,, Siet-
, tre fes. tôins.
(pp o/h tr / ia , r i , penfée » méditation ,
commentaire.
qwi'Jisvs, é , livré à jCès méditations, ■
i ■ ztyWfflÊfaèi , Ecole ; Ifctt °Kfà?$yëx»«
ï pli que feÿ, nféditations , fes découvertes.
W y P H Ü, •
De. H e y jHeï , H ü , elfillé^-’j pronon,
’cé Fe y Tu , vint cêtteTàmmë':1
. *T»:i -naîtreSfevehif1; ib.'pfgàlS’îre.
y|Sf|i , «loeV qcie'^ip^«
i & ee-qni eft nié : *0. tàhfobr,
j ; tuberchïé.' m
\ <pu<7ts y 4 , naifîknçe , origîMë'^!gééér,a-
, “tion nature^f^çe ï3°*J%hflanee ;
J r*5® ’Ùfpîtt ;V% "figura, /làtufe-, état. - i
I , naturel, phyfîqufej r
I 4>itffi/u.os a la force» de produira,
î ipu-liMp, ê I pere.ï • •
2-„ fcTrt.v 3 r.o y plante , fqucihè, y
j j >- végétatif.
< fé„cqnde, -
^ q>i/faA£^ôj, planter.
’ 4u1euu,"planter'; produire ; machine!?, *
i 3 .plantation, t
• s .• 5.
• 4 ‘îe â 'r a c s^ d ig « é ë - y 'ipn5e r ir e vX ^ e ''
Famille^, tièpt % ' 'eelll 'èe. p iq d , P é i ;
dans les Langues du Nord
» n£:0 , jSIature : i°^c^ra£^èrë-»'
| naturel. ,
s - i r z a , J ôb w j) palpiter » j | a ^ e ,
e p a r la n t ; du^c^eur *^10. midlir.
Déjà mêmerfami|leç^uemufferr '
-d o n t fr e à d eyM^, F ^ :|)ijé|édd
de -§. i
. i 2-<Çvÿ/Aot, «, S y pouls'» 1 j f i , pduls déréglé; |
2 <{»u|»sy tas y h , pouls.- r
S-ytiuiTu , en Dor. pour 1
MOTS
M O T S G R E C S
V E N U S D E L ' O R I E N T%
------ b»
M M ■
t im \ S, guêpe : le Fucus
dés Latins.
En Orient. J5TS , Phuq.
E-itijc/mosy i, cqin a fendre du héisl,"
£-$pxoç j, v t homme'mîncë de corps comt-
™e une guêpe ; 1®. tobufle 3*. Varié..
Srirxou, coigner j preffer, terrer , étran-
; gîer.
S OErixtov 9 woç 9 é 9 guêpier«
. S-$ijx;oK , ra j de nSêmé. î
E'Cptixicty ft9 efîaini de
S-fm<rMoç , S , genre d’harmonie qjjf;
- imitoit lè bourdonnement'des gugpes";
mufique en fauxabourdpn.
¥®tu, confumer , détruire, faire pé-:
’ferir y deflecher.
De Phtha , feu qui confume.
$ton , b , ÇQimsyb , langueur qur'delTé-
cîïé, pfitbîfiéji R
iiihiy même que $®eu.
Qiicri!, wç y b v Confomption ;>- c6Trup-
tion ; exténuation ; -langueur.
4 8 i<risp, être en langueur.
ifhros ÿ en confomptionexténué.
1. $3-/v» » fécher de langueur , fe con*
'!<%mer, dépérir;
r&'S-iVaf .yi acTos, H confoiKptîoi^
«ÿ&iravM«» r i , de même,
Orig, Grec j .
i S ’ivvîi’u , détruire ; confumer , delîë-
cher.
j . 4>©e i p » , corrompre » v ic ie r : 1 ? .
êt*ré 'tué. '
- tJ y corruption.
;■ ; $3t5po4> V, corruption , perte, deflruc-s
. tion.
iâ'apos, i , pelle , corruption, ruine»
. «povftas-, twj, 4 , corrupteur.
4. 4 0E JP ', jio{> 0 , poUX^ s
3*
$©oyof, i y envie’, jaldufie : 10. cen-
fure.
De la même famille Phtha y feu
- qui dévore. 1
confirmé de jaloufie.
<$3-onui , être confîtmé par la jalouffe »
- être'jaloux; t»; nier , réfuter.
- 4>D'«»'*psot, as, b , envie ; jalpufle.
- 4*
iTKflç.» «9î , to<, Fucus des L atin s,
p lanté d o n t on fa ifo lt le fard, dont
on te ig n o it la lainéi,-'-.
En O r , p i s , Phuq.
tyuxê'Nc, abondant en algue , en fuCus»
Qvxoiii, farder.
, r 4 , ford.
<pv*fï , téVîy é ,- nom d’un poiffôn,
. ' S f f