
‘ , 5 lier jtë
■ tre un frein,
'jAjtwruxi^u , relever les èhevsux
. ruban. .-
, JKya»-a^tîr,ü|, qui gorte un rub.an ; &c. ; '
, frein ; bride.
i . ANirigoy » corde qui tient au joug
des boeufs & avec laquelle on les
tire. “
'A'Mirpevo, tirer, traîner»
. VI. A u très.. ,,r
1. AMaXXct, amallet, manipule?, ja-
: veüe, gerbe/fagot, botte, fait’
ceau.
AMctAAteu , mettre en fagots^ eribottes ,
en gerbes»'"
Kft-aXiuov, corde » lien pour mettre en v
faiiceau , en paquet, £
2. am-amu| , vigne, qui s’attache aux
arbres. :
j. amNmv , to, membrane qui enveloppe
l’enfant dans le fçin de la
mere ; z». vafeoù on reçoit le fang
de l’animalqü’on égorge; |
4. âmtg, /Aç, fêâu, pot-de-chambrè.
*! O r. Lat. 42.
V IL AMaibô» -
D’AMBo ou AMPHo, deux, dut
venir ,
AMEIB«, amtibo, alterner, avancer
l’un après l’autre -, zo. fuccéderq
30. échanger, changer »permuter;
40. traverfer, aller au-delà,"
Car il faut être néceflairement
deux pour opérer toutes ces char
p fefe &tfi- ce'tte -étymologie; ^fiàit
demeurée ;|p</Ôn,nüé /rc-’eft qu’on
' n’aÿbît pas fait cette reqiarque- -
Ai^ét^^^|p|||rnèr‘; zv. rendre' la pareille.;'
30. ;rèpbp(ffe /■ 'répliquer ; ' 4®.
changer, échahg% j ’ i^^inpejsftr ;
-- \ "i;
Amî<4;|£ / échange ; i?/campenfatibn,ré»;
tribiiïion.
AMot/8» , changement, échange ;
cjffitude, alternative p.-bompenfation,
fétMbütiôffl 4°. pcinff ÿ ish^itntfnt.':
AMai/8«, grâce mutuelle. ; j .
AMoiÆaios , mutuel, qui alterne, quccor-
^ rëïponcL ■ /{-;'
Mj/Lii&sùtos. , 'alternativement, touti r -
! \ tenir. ■'
A mutuel, qui alterne , cq*» '
M ielpondant.
2. De-là vint fans doute, v-,:
AMtu» > AM-etfapou , .ameuo , &c. ver.
be qui a .préeiïe.meftt les’mêmes'
lignifications.
AMsuvi/ttoî, ;qu’on peut tçayerlér,
A M , '
/Mere.
|AM eltîun mot primitif qfil ngnifie
l Meiô en un très-grand nompré
! de Langues » furrïôut'dans les
plus anciennes : il4 lignifia en même
teras mamtnelfe, & par eott-
féquent lait, qui eftau.lait. Delà
»
r. am«t» * t ornés, amou ,. gâteau
fait avec du lait.
z. amNoî , âmNoj, agneau j mot-àm
o t , qui. tette : ^réot d o n t il ori,y
' ^foimnent, int^riue.
AMNw, agnelle.
AMN/r„ASÏ“N«J , AifeV/ùrté'aghéllc.
2 . 'ÆiWvÀMoç, p e t it - f i ls - , au pjur,
les defcenck'é?; m ç ç -à -m o t, c ç u x
q u ’on 4* no_ur$ij&,?;, ajlaftfe/s m ot
d ont l ’originp, ptoic tout aufli m - i
i-Qôtinue.,
AM , un:
AwitA un, quelqu’anâiqfielqu'e.
AM'rf'^^,|âe',q.ûelrque;pVnj^
AM«»%*fJ de même.
ÀMjfÿOTou/ pan tout où.
D^là,
r. MnJ'-AMaçaucun.» pas même un,
Mr^-ai®'â.»*iijâlle»nart» 4t
’ » nullement , d’aucune mali'MeréV,
>
2.,-fùiîfAMs?.^. aucun.. i
' OiiJ'-A/j.oJ'éi', d’aucun autre lieu,j
Oyif'-aM» , nulle part^-i
ÜV^ratyi.ypçÇd’aucun grijt,.d’aucune va-
_ le u r , ngL^prift^ile, yîL »n
C e mot:, s’ é c r iv it auffi hem , ce lui
q ui ; m o t e x h lan t encore en d i-
- værfcs L angu e gn i fi an t; lui
' -ê e lui. L é s -G re c s y ajoutèrentJpur *
' terminaifon%p/d^bti ;he mos ,‘ pùis'
~h am o '.t en D cù ièn . C ë ' m p t 'é f t
- don c manifeftement un d é riv é d’E,.
C 'e x ifte r ,-è tre .
Nous en verrons une nouvelle
preuve fous la racine E , au m ot
. ME MO S.
AN,*,& ti|^'«cpnjonéljotis»;<|<
AN eft ianelêoBii©i)<%fn quïdéfigne"
l’exiîîfen&J d’une. ichafeJ[,cbmmer
fuppofée ,■ & qui s’eniplbyeinà^
' _conféquen&a^c|le futur & avec
«,Je dlubj^nfÿif,:? à k doit donc‘ fa-
rendre conftamment par un çqui-
. ..vàlen c, M JB I& à- A i jmauiere'.des'
Grammrâletm au} fuppofent que1
dàn&weWtaines.lggt^onsf on ne/
pêne, éh eX'prrn¥er lé Mis. fis- ew
don.njenC'cet exemple r ,
À- nos-{/<%yo.î. t;(tî jçrr»
■ Qufilst p^denf.
Q u e l qu$fgMîte,Fi& i e N epiu rre,
laifljànE kinfi
.'.sjl^a^'dbn'# arnlnpolir1'
exp’rM e f 'la '1 far-cè^’d û 1 tSr'eè : ’
Q u e l lqu’ on.> fuj>j>pfe ,que 'jjôie> te?
F ils de 'Neptune.
mot-à-mot, q u e l^ fu p p o fé *C o is r
~ te F i l s de Neptune^
Mais,_/2efi: une fuppofifôâ r orr
peut, donc’ rendre très-fouveut'Aifiî
Ipar'^r: alors? les Grarqmairiens-'
L’appellent e x p lè t iv e , tandis qutîls»-
ne-l’appellent que potentie lle dans
le11 pre'mier cas ^commeî-rç elle-
' n’àvoit pas une -valeur exprimable-
: dans tous cés cas/ f
; ^ HNf £ n , Sii
Ces .conjonâiqns viennent donc
de e n 9. être.t >. prononcé?