
77P D I C T IO N N A I R E
- 'eXçeîlén t : ^o.^iïifiant, ” ï
, ÏToAÀaxis ; plulëuts ImBampyent;-{ ,
iî6Mà*xp, en "
IIoAAa - hAaÿj.or , .multiple , multiplié $
x 9 . beaucoup plus abondant,
no>ita-w^a£r/a^w, müféipüer.- ' '
. . ÏKxSçl^^^?'3!’un. .ft^,-pl6Béttrs»' -
A. rtAsiwy & IIAe*iy , oyoç , °> « » plus
grand» plus abondant ,plys nom-
.Breuï. '
nXsoVaxif, .plus fôuv&nt.
JTAécÿk^® > devenir trop grand ' être trop;
SSgrand , trdp 'àhondant ; x®,"êtrc redon-’
dant ; j®. devenir infôlent.
TIAiovcLCM-os , plcouaTme ,Surabondance >;
• '_fuperfluité. ,j y
IÇIXeorûjfr/ioe y de.tn>ême. '
TfAtàrarij&j, fürabônaant, iup.erflu.
j , itaeiaS , «doc , « , les Pleïades j|
ConfteUation. bu
dj* y.-; très?«o£&-]
_ breux y le plus- grand nombre.
riAeivaxts, le plusfôuvent.- •
nÀiirs^à^» % merteej'JreHeheiSërp Méttas |
au-deilus de tous, ü
nXfifypiçârtios, enchère.
5. likttçvpjÇofjuuy fe glorifier^le ygn- j
} tpr.
. Sx ;
[1. TlÔAit i taç4 ntof-i
à-motstéumqn d’une.graade mui- ;
titude.
T I o M a ç , a j 'b s , Si, Pallas , Proteârice de î
la Cité. ;-j - Jj!
^n«A«v£r»;Jupiter,»Prpteôeurdii.ne^ple. I
JîoAi^rn petite Ville , Bourg.
I rioAl^u ', fonder une V ille .
É T YM O L O G I Q U E 780
n oA iv tift , 'FondateurdVnfi'Vi'llêl- ■
: JCfcé?*
i._ no Attali *B, &
S hab^ot .de la ville , concitoyen,
réj,, Cito.ypÿiie» :
.„JIsAfliW ,q u i G9[ncerne:..lfes;Ci£0y,eps. *
f flsXffçw ,\dtniniftrèr la Ville,} dç? affai-
,<> sreiiJejyiles, .
I rtoAéJiolaarv adminiftration de;.la Cité*.} de
' r.la-jVill^,,
être «chargé diî-.Gouvernçment y
être d'ans,-la J|l^iftfàture ,• ■ ,$*» vivre
dans une.Républiquc .y j0., le” côiifornjer
â- fes k»xï;
ÎXoAili/céf i, admîniftrat'iônj gouvernement
de lâ'Répubîique'; x°. ’étât’ dé la
"République ; j*. manieré*ctfc?vi.vre®; régime;
'ftwffîîvtca. , r i, de'meme 4°. ce qui
X1 hbrieertî#xàafeiinmisatlba *1^** ^rt fflfc
gora*rtffir.:i :
, ÔoAïlstilésgtfyitdffiÿitlbatetedtla^ÿê3,
i . titoA/c , en poéfie j^èurnoAràb, à
la "Greèqnie|. t i
,.j, rfcrcwsueS|i;y i p e tite V ille ï^ f liï*
blique,. .î i ’
::v' ■ \‘sbï#j%
'iVpîàWe1.'^ 3
Du' prirnitif kiDx bb ^ba. , prôduc^
... tioçt^j jpla^g^j y-igne_ c[.Ri : sM ~
l è v e , <5c.&,QU;efbvenu le xnatrkàis , .
« fe forma la .fafâiiU/e <P-pk~i■ Yièi|,
' : Gôrbtnùrie à tout leiOiob©.'i11
1 E n Cbitfxî,isr,' H oA ^ fl'eüi.1- ff
E n P éruVîèn5,’H ü À ,îr*frûit'ïl,vOEîuÆ-
HuÀ‘;i£lr.- :
En
781 D E L A L A N G U E G R E C Q . P E L 78*
En Maefagâtc^r[% 3, ^ oU A », fruit. »
En Hébreu, N1>n, The-Voua ,ou;,
Tht-loua., -fruit.
En.Éaïcien-y Poua , fleur des plantes.
' 1 m
i.rt'O A , «j, rf, &, en Ionien nol»^
'• plante.
T lo u S 't i! , ( , é ; abondant en plantes.
IToap/Wtÿ .petit^ plante.,
TloctÇu , cueillir des plantes ; x°. arracher
lé? ‘plafttes ftuiiîbles ; inutiles.
Tloa<y/j.Q( , action d’arracher les maû%ï.
lès -herbes,
IXdarpjoe, celle qui arrache les mauvàilês
^Àr.cI®u£H;:i ; 11
IJ o c tçp io r . faulx, ferpe.
z. noiMê/}, eyror, 0, plein d’herbes.
JUvtripoç , de, même.
j . ïxôiet, même que-n««t .:(,a°. année :
elle rapporte'.
1. KTA-Méf ,< 0, Fève 11111 Scrutin :
3,0. bout du fein.-
Kuef/tijÿi,, de fève. ^ ■
T/Lva./uucuo(.} de même ; x°l gros comme
uni: feve.
KèàyUùF,1 â/oî y o , lieu planté én févesi
1. Kua^ieut», donner fon fuffrage avec
des fèves.-
R.u«Âtêèt«î!. qui a; été élu avec des,fèves.
Koàfwfliit', qài ’ébfhVêcVhè reVe» ’ i
KtwM<«r ) r« , petite févèyïh88édfë'? *'
3. riTAMoj, le même qüe ICT^IiÆ
par le changeaient dè K en P ,
ou de P en K.
Orig. Grecg.
4..noayoy,To, de même : 2p. légumes.
rtuctriôr, dfe fève : de légume.
Comme on mangeoit dés fèves
en cprbmémoratipn des morts
j ipifatoîiquê au même mot Tua-'
\ - mos., fé.vjs, vint;le Valdois a-pa-
! mos » repas des morfs , ou^ plutôt
rdffepas 4 l’honneur des mqrts &
i “après leurs'füberailles. 1
De BoNj^Eon , Pu,n , gros , abon*s
* dant3„ty^nrejn pes mots,; i ,
t.
flTNAst? , a/.Qç f Pundax, le fond d’une
| chofe :» i®. la poignée, d’une épée.
■; -1, ’ '
• n E M i a’, fouflè n o . goûte :
| j°. nuée : 40. bulle , piiftqlé.
, De Ton, Pen , çleyé ,, & Fus >
’ foufler. Etî Grec iusaa.
noMct, To, tbuvêVclè : 1 e*.' bôifTon ,
au lieu de Uo/m* : j°. palme d’E-
gypte, ou fruit du.palmier, cueilli
avant fon entière maturité.
HuM-oLÇa, fermer d’un couvercle. •:>
n v Malt as, o , fq.ui a,ùn couvérele.
PO^S:.
:A-noS ,,eo5 }j-tû mot qui ne fe trou-
I v'e qüedans les PHéniéiènnes d’Eü <
| ripideé On le rend , les uns' par le
mot travail oü'fàtigue , laffitude ;
les adrrès par celùi d’élévation,
Qiiel que cefoit des deux, il
E e e