205 D IC T IONNAIR E •
C ’efi mne pIante ^Tf5hfade^ faBS.for-
c e : au fîit^n'Jifoit en proverbe -
plus fade , plîfs infigjdê; qu’une |
-Blette.
■MB&fié'i ■ %ii*^À0 fÂci‘djnMBks É»®'
■ jEÉJtiioÂÈèâwa^'V fsù > inïèttfi'r ^mis' Ari-s- '
toph. nuées.
2^
BAHXpes i BltkkrospJoïMÇ', fansfor-
HéfacKd^sSde Milet l’emploie
dans- le fens de foît , de vrgou-
| reux,
» Ûhn^fay , efpece de légume ; 4®. fou-
-jïèej | -'.jçff
A-gX^jaÿtff:y£f.s force , infirme, ïnvali-
, de yimbécille. .
I v . Elevé.
i .
i. BHAos, feull d’une porte ; il ne
’• vient point de ia in o , aller, comme
on l’a cru»tqais dé ta l
J e feuü étoit toujours, plu* élevé ■!
d’ailleurs;, il n’étoit pas permis de
; pofer le pieddelftis ; il falloit l’enjamber.
De-là, avecla négation vc'
ou be\
Bé-BH Aos , fut quoi on .peut pofer le pied;
ou chacun peut palier : profane,
profaner, foûiller.
Bî-BjrAwirir, profanation.
2. I
BAO©f»f* Blôthros, élevé, haut; a
la tête,; u nG ra n d , un,Seigneur.
f i é ÿà
pActular, efrècede.chaulTure. .
EArwIrw» féodale, pantoufle.
É T Y M O L O G I Q U E 204
| « piin.to'ufte . ■.
-La- chauffure -haufe-*, 'fait’.iparoîcre
plus grah'd :'derlà ce mot.
‘ Y: Rond. '
t. BAAavôÿfigland, fruit^rond : z°.
■ .-bol en forme- de glan'd’ ;■ 404 ve^~
; Iroqil. ,
BaAai-uJ'M , pfqin Je glands. _
•J&tXoertjpâ y tdut ce :qui’cft'dtf 'géÊse'des"
glan ds. .
BaXa#i£u, aller à la glandée , Iccou'erles-
glarçds. m
2.
B.bÔAoç , OèoloS y LaÇs Obolus * -obole
, pièce tde monnoïë: C„e..moj,
eft formé de' bol » iumjèrê1f?qut
montre rtSné1 que m&àh'oie
vient de mon, flambeau , avercif-
‘ feur.
O-BoxiÀtsûof , d’obole, monétaire. '
artuffi^aire;uftiker. *
5.
(ÿ-BliAeç, marque do-tit ôh fefftlvsèît
dans les Livres ^'cemiM'une'iloif
le, une croix : #0. broche-r'-3
M; figuré d?an rav-6iL|iofltSre.! '
GiBBAictsy pain rond'eommc xtâée0 Mf > .
e’eû le même mat. g
i O-BEAktjms , aiguïllelb.u .monument, de
pierre en forme de rayon fd-aire..
O-BrAi^or, mettre une marque ; noter.
O-BeAnrAtor, note délfgneepJrTôbole.
4*
baa«TOf ,r slefot ", qui a lés jambes
tournées -en dedans, formant le
1 cercle.
20? DE L A L A N G U E
BAcuo-jpqjjt,
- ÏAts-jsV‘îg pièmc dU'q'.ota^Jcr.,; '
’Cé.mop dcfign é auffi tous lesl
' Membres qui n | . p a s d^rîs-Iéuj I
^SIîwturê^Y dé-la lç Xat.
" v
it-BidM%, Bolos ; ce-ffn’oVéft trcs-rè-
. f ma%qiiable. 11 de^he'',^flW>îlêj
, ,S’o r e: t. , « les* Grecs 'ont^afoi'i J
* ton-fc'rH'é F0riema:ï beo'£’ ’ Sdleit^J
20. une malTe ronde ; un bol : 30.
unètiï’àtte de terre i ro.' un thâmpfj
' uti foilds'-dé t;errè.1
*BojM9é'fiS ..abbndat^Mimotfés, I
Bo*o4 > moite dstterte , glsbet 'S !
BuAapio petite^motlÿl
BàXjfv\ Brique' d'elferf^Jp*
2, bQ^fniJ y e^nqnignpn;-, mouffe.
jon rü efl'rond. .
, é.
^BqAæliSjen Lat, Bulbus , bulbe,
- .caïeu ; tout oignon ou racine rond%.
B«A/Swd'»s: , bulbeux.
'EpA^âpio#; petit oigâcar, petit cayeu,
A-ba ae^ Ab ale | pMt, au Seignèur ;
'S è’e'ftiun' compofé5d’e BALfSeïgnéàr :
-SdleiU’-n
La vàfte étendue de cette :fâmiHe,
bal * & fos‘V^pp®rt'ÿ^^éitè«aVèc
les Langues d’OKient', la Latinë,
t la Françoife, &c. devient- une dé-
mônilration du rapport dé’ toutes
: G R E C Q . B A N 206
céf. Langues ; & qué b a ï. • sfut un
, motvpâifnéntprirftitif. Nous avons
' i déjà b b f o ' f q ï i i l ' tient" à la'‘famille
qu’il-en
L \f l r â friê'I>rkïïch’ê‘Vès-iritérèïïantf.
Nous aŸîbns vu dans les Or/g. Franç.
/>,agiîml3\,y, 3ç.c. que .^eflr up mot
- -©el,te dél) gnaut, «lesiobjets. élevés
%ui une i multitude d e
\ inots> àî la LanguëJEfa-n^aife : &
[ -dan s-l'es - O rÇ^ LaPixtépyls avons’vù
w'Dqù'é' les,-La-Gήs en' aÿdïèncc'onferfyp
qtfèlqufes -u r ispag. 3/oi^‘
■ .'quelquas)radicauxGrecs, gui æâ-
4 Çq|-I venus.
bot^ ’5,, £oa/2osw{,eio|'lin|., côtêatr,
>iémi.nen,ee 5, zoqmonceau.
‘;^U?TATHEtppétend que cetnot eft
Africain * &.q.ifr'ies Greps l’em-
prunterent à cetre^1 ^tion ^.»c’eft-
à-dire aux Phéniciens. Ce 'qui
. prouve que ce mot-Cplte ou.parler
dans toute l;EuropeîV n^étoit pas
particulieràcetteportioh du Glo-
- be. On en’trouve des 'traces dans
■ l’HébfeuJfD, ben > leqDQUce des»
mains‘& des piéds-, mot a-mm^Q
gros doigt. ÎSlous.en retrouverons
d’autres’,cVacbscout-à-lr’heüre.
Bsvwd'jis, efeargé ,- en ceiline. | \
Bans, terre couivertede câllines.
B « , accumuler , entaffer.